Economie

Tout dépend de la technique de production, mais aussi des conditions climatiques. Dans la Région de Menabe, le haricot figure parmi les secteurs prioritaires avec le riz et le gros pois. Avec l’appui du ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche dans le cadre du projet AD2M (Appui au développement du Menabe et du Melaky) initié par le FIDA, le District de Miandrivazo voit alors sa production augmenter à vue d’œil.
Pari réussi pour les organisateurs. Un mois après son lancement, l’eFIM, la version en ligne de la Foire internationale de Madagascar (FIM) enregistre déjà plus de 25 000 visiteurs issus des quatre coins du globe. « En effet, grâce à la nouvelle technologie, nous pouvons aujourd’hui établir une cartographie des visiteurs internationaux de notre plateforme. Nous savons que des acteurs économiques de l’Allemagne, du Canada, des Comores, de Maurice ou encore de Dubaï et de Singapour sont passés par l’eFIM. En tout, une quinzaine de pays sont concernés. Une prouesse absolument inédite et inégalée par n’importe quel événement économique à…
Nouveau marché en vue. Avec la concurrence de la vanille artificielle et l’instabilité des prix, Madagascar a dû mal aujourd’hui à écouler ses produits, sur le marché international. Pour solutionner ce problème, les opérateurs ont ainsi décidé de s’ouvrir à d’autres marchés et ne pas se limiter à ceux de l’Europe ou encore des Etats-Unis. Dans ce sens, des opérateurs ont décidé de miser sur le marché iranien. « Un premier échantillon de vanille mais aussi de girofle de Madagascar ont été envoyés en Iran la semaine dernière. Les opérateurs iraniens ont testé et approuvé les deux produits. Et ils…
Miser sur la qualité. C’est sur ce leitmotiv que la campagne de vanille pour la Région d’Anosy a été lancée avant-hier dans la Commune de Mahatalaky. Selon un producteur local, « la plateforme d’Anosy ne peut pas encore rivaliser avec les autres en terme de qualité dans la mesure où elle n’a été remise en marche que depuis quelques années. Cependant, il s’agit pour nous de garder la qualité qui a fait notre renommée, et cela de manière à entamer une campagne fructueuse ».
« Faire de 2021 une année de performance après une année 2020 catastrophique ». C’est le principal objectif d’Ambatovy, l’industrie minière spécialisée dans la production de nickel et de cobalt, pour cette année de production. Cette industrie a effectivement repris la production le 23 mars dernier, presque une année après la mise en arrêt, pour raison d’entretien et de maintenance, de sa mine située à Moramanga et de son usine à Toamasina. Et avec les perspectives encourageants du marché, et ce, malgré la pandémie de coronavirus, Ambatovy entend bien en profiter pour soutenir son redémarrage.
« La qualité n’a rien à voir avec celle de chez nous. La fabrication ou la vente de produits de contrefaçon est sévèrement punie par la loi et de nombreuses actions pénales sont déjà en cours », déplore un opérateur local, connu et reconnu dans le domaine du textile et de l’habillement, après s’être rendu compte que ses produits ont été tout bonnement copiés à grande échelle depuis un certain temps et mis en vente sur les étals des marchands un peu partout dans le pays. En effet, la contrefaçon est un phénomène mondial qui se généralise et touchant particulièrement…
La bataille à laquelle se livrent le Groupement des Télécommunications de Madagascar (GTM) et l’Autorité de Régulation des Technologies de Communication (ARTEC) se poursuit. Tout à commencé après l’intervention d’un représentant de l’ARTEC devant les députés durant laquelle « il n’aurait pas défendu les membres du groupement d’un côté et a donné des chiffres erronés de l’autre », selon les trois directeurs généraux des opérateurs, à savoir Airtel, Orange et Telma. Ces derniers ont uni leurs voix, un fait rarissime, pour dénoncer ce qu’ils qualifient de dénonciations calomnieuses de la part de l’ARTEC. Les lettres échangées entre ces deux parties…

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Editorial

  • Nécessité impérieuse
    L’Assemblée nationale vote la Loi de finances 2026. Après moult débats souvent houleux assortis de 24 amendements, les députés ont finalement adopté le Projet de la LFI – 2026 dans la journée du mardi 25 novembre 2025. C’est la première fois dans les annales des travées de l’Hémicycle de Tsimbazaza que de vifs débats agitaient les réunions en commission, en séance plénière des représentants du peuple. L’adoption du Projet de la LFI 2026 suscitait des intérêts particuliers des parlementaires. Le ministre de l’Economie et des Finances, le grand argentier de la République, Dr Herinjatovo Ramiarison, devait signaler une note positive et encourageante face à ce regain d’intérêt et d’attention que nos élus éprouvent à l’endroit des Finances de l’Etat, le « nerf de la guerre ». Pour la première fois dans l’histoire des législatures du pays que les députés ont bien voulu prendre conscience des responsabilités qui pèsent sur leurs…

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