Economie

Connexion internet - Telma lance la 4G+

Publié le mardi, 24 mars 2020
Vers une transition vers la 5G. Offrir toujours le meilleur de la technologie aux Malagasy. C'est ainsi que l'opérateur Telma a officiellement lancé le basculement du réseau mobile de Madagascar vers la 4G+. « Nous continuons à investir pour offrir le meilleur Internet d'Afrique (et l'un des meilleurs du monde) à nos clients, contribuant ainsi à réduire la fracture numérique pour tous les Malagasy et suivant l'objectif N°22 de l'IEM visant à moderniser les infrastructures de télécommunication de Madagascar », a déclaré Patrick Pisal-Hamida, administrateur directeur général du Groupe Telma.
Les opérateurs ne sont pas sur la même longueur d’onde. Après l’annonce du confinement fait par le Président de la République, Andry Rajoelina, dans la nuit du dimanche dernier, tous les employés du secteur public ont cessé toute activité, sauf ceux œuvrant dans le domaine de la santé et celui de la communication, sans oublier les Forces de l’ordre. Pour le secteur privé, les entreprises sont loin de s’être mis d’accord. En effet, les mesures prises diffèrent en fonction du domaine d’activité. A titre d’exemple, une entreprise spécialisée dans le traitement des données informatiques a déjà pris les devants depuis…
Dans un pays ou le paiement en liquide occupe la majorité des transactions, il est maintenant temps de tirer profit de la digitalisation. 41 % des Malagasy possèdent actuellement une porte-monnaie électronique, selon la Banque mondiale. Etant donné que la Capitale se trouve dans un période de confinement pendant quinze jours, les secteurs vitaux comme les pharmacies, les stations d’essence, les banques, la compagnie d’eau et d’electricité restent à la disposition de la population. Afin de limiter les interactions avec les autres, le paiement électronique est vivement recommandé. Comme le cas de Banque malgache de l’océan Indien (BMOI), l’institution financière…
De l’énergie pour faire tourner une entreprise. L’Alliance pour l’industrialisation de Madagascar, en collaboration avec le Cercle de réflexion des économistes, a publié, jeudi dernier, le rapport du baromètre sur l’industrialisation. Cette quatrième édition laisse montrer la persistance des difficultés structurelles, notamment la faiblesse du pouvoir d’achat des malagasy et les problèmes énergétiques. D’après le rapport, l’industrie et les services à Madagascar consomment annuellement environ 608 370 MWh d’électricité.
Les stocks sont amplement suffisants pour tout Madagascar. L’annonce de l’entrée du coronavirus dans le pays a un tant soit peu créé la panique auprès de la population, plus particulièrement dans la Capitale. De ce fait, bon nombre de consommateurs ont fait la queue auprès des différentes stations- services de la ville, durant la matinée du samedi, de peur d’une pénurie. Toutefois, à la fin de la journée, chaque automobiliste et motocycliste ont été servis à leurs besoins. Et la longue file d’attente s’est vite dissipée.
Tout le monde doit se sentir concerné. Aujourd’hui, près de 80 % des entreprises ignorent ce que deviennent leurs déchets, une fois dans la poubelle. Ces chiffres sont notamment le résultat d’un sondage réalisé par la représentation de la société AC2V (Activité de compactage et de valorisation Verny) dans la Grande île. Une centaine d’entreprises ont ainsi été questionnées sur leurs habitudes en matière de consommation de boissons conditionnées dans des bouteilles en plastique et de traitement des déchets. Et effectivement, le sort des déchets est particulièrement sous-estimé dans les entreprises. Des solutions de tri ou autres pratiques ne leur…
Les stocks disponibles sont suffisants. Dans le cadre de mesures de prévention prises contre la propagation du coronavirus à Madagascar, le ministre de l’Economie et des Finances ainsi que le directeur général des douanes ont effectué une descente à Toamasina, avant-hier. Cette descente a notamment été une occasion pour vérifier que les mesures mises en place sont parfaitement respectées. Cette descente a également permis aux autorités de faire le bilan des importations en PPN (Produits de première nécessité). « Face à des risques de manipulations malintentionnées de la situation visant à augmenter les prix des PPN sur le marché, nous…

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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