Economie

Du 9 au 11 octobre dernier, Madagascar a participé à l'édition 2019 de l'« Youth Connect Africa » (YCA) à Kigali, Capitale du Rwanda. Cette grande réunion d'envergure internationale a notamment été une occasion pour près de 2 500 participants en provenance de 13 pays différents de discuter de l'entrepreneuriat et de la contribution des jeunes au développement. « Pour cette édition, outre l'entrepreneuriat, l'YCA a aussi été une occasion pour discuter de la place des femmes et de leurs droits mais également l'avenir des jeunes.
Mais jusqu’à quand ? Cette question revient sans cesse dans la bouche des passagers de la compagnie aérienne nationale, Air Madagascar et de sa filiale domestique « Tsaradia ». Les usagers commencent notamment à en avoir marre de la situation actuelle du transport aérien dans le pays. Effectivement, deux années se sont déjà écoulées depuis la signature de la convention de partenariat stratégique entre Air Madagascar et Air Austral. Mais jusque-là, aucun changement à l’horizon pour la compagnie nationale malagasy, que ce soit en termes de tarifs, de qualité de services ou encore de diversification des services proposés aux clients.…
Un secteur stratégique. Si auparavant, les extraits de vanille étaient souvent destinés à l’exportation, le ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (MICA) envisage désormais d’écouler le produit sur le marché intérieur. « Le ministère soutient le secteur privé et encourage l’investissement à Madagascar. Dans ce sens, notre département prévoit de collaborer avec les opérateurs pour vendre les extraits de vanille sur le marché local. En effet, toutes les vanilles ne sont pas forcément exportées à cause des exigences du marché extérieur, notamment le calibrage et le cahier des charges.
Une meilleure gestion pour de meilleurs perfomances. Soloniaina Andriamanampisoa Rasamoelina, président du Conseil d’administration (PCA) de la JIRAMA, la compagnie nationale d’eau et d’électricité, a présenté samedi dernier, au DLC Anosy, la feuille de route du plan de redressement de l’entreprise aux opérateurs membres du secteur privé, ainsi qu’aux représentants des consommateurs. Ainsi, la JIRAMA travaillera sur trois principaux points d’action, surtout dans l’objectif d’atteindre son redressement d’ici les deux prochaines années.
Naina Andriantsitohaina a rencontré hier les membres du Groupement des entreprises de Madagascar (GEM). Pour cette fois, il a débarqué au siège de cette entité située à Ambohijatovo, non en tant qu’opérateur économique mais en tant que candidat à la Mairie. Pendant une heure et demie, le prétendant au poste de premier magistrat de la ville d’Antananarivo a échangé des idées avec environ une vingtaine de dirigeants d’entreprises sur la manière de rendre la Capitale agréable à vivre, de même que les secteurs où ils pourront travailler ensemble. Naina Andriantsitohaina, qui est à la fois un ancien président du GEM,…
Mettre fin à la gabegie. Dans le cadre de la célébration de sa première bougie, le Conseil de discipline budgétaire et financière (CMDF) a organisé, hier, une journée de réflexion sur la bonne gouvernance financière à l’Hôtel Carlton Anosy. Cet organe institué auprès du Premier ministre a profité de cette journée pour présenter les résultats de l’étude sur la pratique en matière de recouvrement de recettes publiques à Madagascar. Durant la première année de son opérationnalité, le CMDF a connu un bilan prometteur.
Premières constructions. Le problème de logements pose énormément problème dans la Capitale, et pas cette dernière seulement. Pour y répondre, le Président de la République a décidé de mettre en place le projet des 50 000 logements. Pour Antananarivo donc, la construction des premiers logements débuteront bientôt du côté d’Ivato. « Quarante immeubles seront construits. Chaque immeuble sera composé de 4 étages et de 16 appartements. Ce qui fait en tout, 640 appartements de construits pour les habitants de la ville.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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