morale et intellectuelle au respect de la loi. On part du principe selon lequel personne « n’est au-dessus de la loi ». Du Chef de l’Etat aux membres du Gouvernement en passant par tous les titulaires des hauts emplois de l’Etat, les parlementaires jusqu’au simple citoyen, on est régi par la même loi. Et delà, ceux ou celles qui transgressent la loi doivent rendre compte de leurs actes sans distinction. Dans le cadre de l’exécution de l’IEM, l’impunité et l’anarchie sont à bannir ! L’obligation de résultats. La deuxième consigne qui s’impose à tout dirigeant d’un pays consiste à traduire dans les actes les tenants de la Politique générale de l’Etat (PGE). Le numéro Un de la Nation Rajoelina Andry Nirina a conclu un « contrat formel» avec le peuple auquel il n’a aucun droit de trahir. Un sacré « Velirano » à respecter à la lettre. Ainsi, chaque membre du Gouvernement n’a pas d’autre choix que de réussir coûte que coûte l’objet de la mission qu’on lui a confié. C’est une obligation incontournable ! L’époque des leurres est révolue. Le pays doit avancer et atteindre le seuil de l’acceptable et du viable. Une meilleure qualité d’existence ! L’obligation à l’austérité. Le Chef de l’Etat a donné une consigne formelle dans la gestion de la caisse de l’Etat. Les tendances au gaspillage et la dilapidation de l’argent public n’ont plus droit de cité. Chaque département est soumis à des réglementations strictes et sévères sur le respect jusque dans les détails des procédures d’engagement et d’utilisation des crédits publics. Les dépenses superflues risquant de crever la caisse du Trésor public sont à bannir ! D’autres obligations existent et la liste n’est pas du tout close. Seulement, il faut commencer par le commencement.