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Installé au sein de la Polyclinique d’Ilafy. Un centre de formation à la chirurgie de la cataracte, à l’ère de l’innovation technologique, sera prochainement mis en place à Madagascar. Cet établissement se démarquera par l’utilisation d’un simulateur de chirurgie « high tech ». Il s’agit d’un matériel de technologie de pointe, pouvant assurer des soins de qualité grâce aux précisions et aux corrections immédiates dont il peut fournir. D’ailleurs, ces simulateurs de chirurgie « high tech » proviennent de New York, aux Etats-Unis.

Vaine interpellation

Publié le mardi, 23 mars 2021

Du calme Monsieur l'ex ! Entendons-nous bien, vous n'êtes plus qu'un simple citoyen. Un Malagasy lambda au sein du commun des mortels. Le supposé statut de chef de l'opposition que vous prétendiez l'être ne vous permet pas de toutes les manières d'agir au nom du pays ou du peuple malagasy. Si au moins vous êtes parlementaire, vous pourriez parler au nom de vos électeurs. Mais vous n'êtes qu'un simple activiste politique qui ne représente personne et qui parle pour ne rien dire !

 

L’Institut national des statistiques (INSTAT) a publié un rapport sur l’inflation pour le mois de janvier. Comparée au mois de janvier de l’année dernière, la hausse du prix des médicaments est plus importante par rapport aux Produits de première nécessité (PPN). « Pour les PPN en général, les prix ont varié de 5,0% en janvier 2021 comparés à janvier 2020, et déjà les hausses observées depuis ce début d’année montre un rythme de 1,8% pour un mois. La rubrique santé tels les médicaments et services médicaux ainsi que le tabac et les boissons alcoolisées ont affiché une hausse importante soit près de 9% pendant cette période. Cependant, leur poids dans le panier de consommation reste moindre et ainsi aussi leur influence sur l’inflation en général », note le communiqué.

 

Mauvaise tournure. Alors que le ciel a commencé à s'éclaircir pour les opérateurs touristiques des différentes Régions de Madagascar depuis le dernier trimestre de l'année 2020, l'arrivée de la deuxième vague du coronavirus l'a de nouveau assombri, surtout à Mahajanga. Les opérateurs touristiques de la Région cumulent en effet les annulations depuis l'annonce faite par le Président de la République, Andry Rajoelina, samedi dernier, concernant la fermeture de Mahajanga depuis hier. « Toutes nos activités sont de nouveau au point mort actuellement.

Le Président de la République de Madagascar va avoir une réunion avec le président de l'Académie nationale de médecine. La date précise de la tenue de cette rencontre n'a, pour l'heure, été communiquée par les responsables. Elle devrait cependant avoir lieu avant la fin de la semaine, selon des informations non encore officielles. Une rencontre qui permettra aux dirigeants étatiques malagasy d'avoir une idée plus précise de la décision qu'ils auront à prendre sur les vaccins anti-Covid. Cette réunion fait d'ailleurs, pour rappel, suite à la saisine de l'Académie nationale de médecine par le Président de la République la semaine dernière.

 

Des échanges de tirs ! Puis, le corps sans vie d’un suspect qui gisait sur le bitume. Tout a commencé par une alerte reçue au niveau du commissariat de Toliara comme quoi deux individus lourdement armés sévissent dans le secteur d’Ambalanambokamo près du lycée Botokeky. Dans le même renseignement, les deux suspects sèment vraiment la terreur. Ils s’en prenaient violemment à tous ceux qui ont le malheur de tomber sur leur chemin. Et que ces agressions en série, qui ne font aucune distinction de cibles, se déroulent dans l’obscurité dans laquelle l’endroit est plongé.

 

LA UNE DU 24 MARS 2021

Publié le mardi, 23 mars 2021


Quatorze candidats seraient en course pour devenir les représentants de l’Assemblée nationale auprès de la Haute Cour constitutionnelle. Ils seraient encore plus nombreux à postuler au niveau du Sénat parce qu’une vingtaine de dossiers y auraient été déposés. Ce chiffre annoncé, hier en fin de soirée, est encore officieux. Le bureau permanent du Sénat ne procédera au dépouillement des dossiers de candidature que ce jour. La palme du nombre de candidatures revient néanmoins au Conseil supérieur pour la magistrature où cinquante-huit dossiers ont été enregistrés, selon le secrétaire général du CSM. Tels sont les chiffres communiqués à l’issue de la clôture du dépôt de candidatures dans chacune de ces entités, respectivement hier à 16 heures pour les deux Chambres du Parlement et vendredi dernier à minuit pour le CSM. Force est de constater au vu des chiffres communiqués que les sièges de Haut conseillers à Ambohidahy sont très convoitées. Il est également intéressant de noter que les magistrats constituent la grande majorité des prétendants à Ambohidahy. Des administrateurs civils et des juristes entendent également tirer leurs épingles du jeu. Dans ces listes de candidats figurent le nom d’un ancien ministre, d’actuels secrétaires généraux de ministères, d’un secrétaire général d’Institution, ou encore ceux de leaders syndicaux anciens et actuels. Chacune de ces entités votantes à sa propre modalité de vote, selon des explications.
Vote à venir
A l’issue de la clôture du dépôt de candidature, la prochaine étape sera l’élection des représentants. Les députés passeront au vote demain, sauf changement de programme. Les sénateurs et les membres du CSM éliront les leurs en fin de semaine. Pour rappel, la Constitution dispose que Tsimbazaza et Anosy élisent respectivement deux représentants. Le CSM élit également deux représentants. Et le Président de la République nomme les trois derniers membres de la HCC. Le nom de ces représentants du Chef de l’Etat pourrait également être connu d’ici la fin du mois. Et ce, afin de permettre à l’intégralité des neufs membres devant composer la prochaine HCC de prêter serment en même temps et donc d’entrer en fonction à la même date, afin de respecter les dispositions constitutionnelles. Le mandat des membres de la HCC est pour rappel de sept ans. L’élection des futurs membres de cette institution revêt ainsi un enjeu important du point de vue politique. Une victoire des candidats proches du pouvoir au sein des diverses entités votantes permettra au Chef de l’Etat de se retrouver en position confortable pour les prochaines années. En revanche, si des candidats non proches du régime se retrouvent majoritaires à la HCC, le pouvoir risque d’être en position dangereuse sachant que la HCC a le dernier mot en termes de contrôle de constitutionnalité des textes de loi. Il faut en outre savoir que les prochains membres de la HCC proclameront donc les résultats de la prochaine élection présidentielle en 2023, des législatives et d’une éventuelle consultation par voie référendaire d’ici 2028.
La Rédaction


 

Allez Barea !

Publié le lundi, 22 mars 2021

Alefa Barea ! Sauf modification de calendrier de dernière minute, notre Onze national Barea rencontrera les « Antilopes » d’Ethiopie ce mercredi 24 mars au Stade National de Bahir-Dar, sur le sol éthiopien (500 km au nord). Un match-aller comptant pour les phases éliminatoires de la finale de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN). Une fenêtre plutôt un passage obligé permettant à Madagasikara d’accéder aux matches des étapes suivantes. Une semaine après, le 30 mars, le match-retour se jouera au Stade de Barikadimy (Toamasina) Madagasikara.
Un certain moment, le coach du Onze national Nicolas Dupuis se trouvait dans une certaine impasse. Pour cause, des expatriés titulairestenant des postes-clé ne pouvaient pas rejoindre l’équipe nationale en vu de ce match capital. Les clubs européens (français) auxquels nos compatriotes sont liés par des contrats de travail ne leur accordaient pas la permission de rejoindre le pays.Ce qui provoquait l’ire de Nicolas Dupuis, le patron de Barea. D’ailleurs, ils n’étaient le seul à s’indigner de cette disposition injuste. D’autres joueurs, testés positifs à la Covid-19 doivent des traitements sur place. En tout cas, Dupuis reste serein. En dépit de certains absents, il n’a jamais été question pour lui de s’inquiéter. Le moral est à bloc !
Le coach des Barea a dû faire appel à des locaux dont la performance mérite la considération. Dupuis a l’embarras du choix. Les étoiles montantes du Pro-League offrent, entre autres, une gamme de joueurs fort intéressante. Et l’ossature principale de l’équipe parvient à prendre corps.
Une note spéciale mérite d’être mise en exergue. L’Etat s’est engagé à fond dans le processus de mise en œuvre de tous les préparatifs à ce match du mercredi 24 mars. Pour une fois, dans l’histoire du football malagasy en préparation aux compétitions internationales que l’Etat s’engage à fond. Longtemps ignoré par les tenants du pouvoir, le sport malagasy notamment le sport-roi retrouve en ces temps-ci sa lettre de noblesse. Le président Rajoelina, en homme de paroles, honore ses engagements. Il s’implique avec son Gouvernement pour l’épanouissement de ce Secteur de l’avenir qu’est le sport. Tel qu’il est défini dans le Point XIII du Velirano, le sport ravive la fierté nationale. Ainsi, Rajoelina s’est engagé à doter des infrastructures sportives modernes, selon les normes universelles requises, dans tous les chefs lieu de Faritany. Des stades multifonctionnels « manara-penitra », des piscines olympiques, etc. A l’image du Stade Barea (Mahamasina) ou de Barikadimy (Toamasina), d’autres suivront même au niveau chefs lieu des Faritra. Bref, le pays aura finalement des installations sportives dignes de la souveraineté nationale.
L’équipe nationale et la délégation qui l’accompagne se trouvent déjà dans le pays de l’Empereur Hailé Sélassié. L’Etat a affrété un avion spécial reliant Addis-Abeba. Et de là vers Bahir-Dar, il ressort de la responsabilité du pays hôte d’acheminer l’équipe malagasy et de l’héberger. Barea séjournera à l’hôtel Jacaranda. 
Il nous appartient d’apporter notre soutien moral. Tous les 25 millions de malagasy doivent soutenir à bloc nos héros, les Barea. L’enjeu est capital, le défi énorme ! Nicolas Dupuis et ses poulains jouent gros. Il ne faut jamais sous-estimer les « Antilopes ». En tout cas, le jeu est ouvert. Le match se trouve à la portée de notre Onze national. Allez Barea !
Ndrianaivo

L’annonce de la fermeture de la route vers Mahajanga et Nosy Be à partir du 23 mars, parmi les mesures adoptées pour stopper la propagation de la Covid-19, a entraîné une marée humaine dans les gares routières. Pourtant, le nombre de « taxis-brousse » en activité a chuté faute de chauffeurs. Les voyageurs ont été laissés pour compte…

Ruée vers les gares routières. Des centaines de personnes se sont empressés d’y aller pour faire des réservations ou immédiatement pour prendre les taxis-brousse vers Mahajanga ou vers Antananarivo, tôt dans la matinée d’hier. Pourtant, seule une minorité d’entre elles ont pu être embarqués, faute de véhicules. « Le nombre de passagers a doublé, voire triplé aujourd’hui. Malheureusement, la plupart d’entre eux sont rentrés bredouilles puisque le nombre de véhicules en service a largement baissé par rapport aux jours précédents. En fait, seuls les chauffeurs qui habitent à Mahajanga ont accepté d’exercer. Ceux d’Antananarivo préfèrent suspendre leurs activités au risque d’être bloqués à Mahajanga pendant 15 jours, avec la fermeture de la route nationale », avance Herizo Simon, guichetier auprès d’une coopérative de transport national, desservant entre autres la RN4. Pour sa coopérative, aucun véhicule n’a pris le départ hier. C’est également le cas pour les coopératives implantées à Mahajanga. « Seuls les chauffeurs résidant à Antananarivo ont daigné travailler. Nous avons toutefois entrepris des négociations avec les autres afin qu’ils puissent transporter les centaines de passagers bloqués dans la gare routière, mais en vain », informe le responsable de la coopérative Besady à Mahajanga. En général, le nombre de taxis-brousse qui ont desservi Antananarivo-Mahajanga ou Mahajanga-Antananarivo a baissé jusqu’à 75 % hier, au grand dam des voyageurs. 
Désespoir et soulagement
« Nous sommes arrivés à la gare Maki vers 5h du matin, mais toutes les places dans les taxis-brousse étaient déjà réservées et prises. Nous devons rebrousser chemin malgré notre souhait de passer la fête de Pâques chez nous à Mahajanga », se désole Vola R., une commerçante accompagnée de ses deux enfants. « L’annonce de l’effectivité de cette mesure a été tardive. Nous n’en étions au courant que lundi soir, en regardant le journal télévisé. Nous aurions pu nous préparer au préalable dans le cas contraire », regrette Roger A., cadre auprès d’une institution de microfinances. Comme eux, bon nombre de passagers semblent confus et désespérés avec la décision de fermeture temporaire de la route nationale. D’autres, ceux qui ont pu être embarqués dans la matinée ou en fin d’après-midi, ont quant à eux soufflé un « ouf » de soulagement. « Nous allons rentrer. C’est un choix puisque nous ne savons pas les éventuelles mesures prises prochainement à Antananarivo. Je préfère être bloquée chez moi qu’ici », nous confie Anna T., étudiante à l’université d’Antananarivo. « Normalement, je devrais encore rester à Tanà pour mes études mais j’opte pour un retour à Mahajanga, surtout pour des affaires personnelles », s’exprime Luciano R., futur polytechnicien.
Questionné à ce sujet, le directeur général de l’Agence des transports terrestres (ATT), en la personne du Général Jeannot Reribake, a souligné qu’« aucune autorisation ni dérogation spéciale ne sera accordée pour qui que ce soit ». Les passagers bloqués à Antananarivo ou à Mahajanga devraient ainsi prolonger de 15 jours leur séjour, le temps que la fermeture des routes soit levée…
Recueillis par Patricia Ramavonirina






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Editorial

  • Ambition légitime !
    Encore et toujours dans le cadre global des deux évènements de haute importance et d’intérêt supérieur pour Madagasikara, à savoir la visite d’Etat et le Sommet de la COI, le pays vise à devenir le grenier de l’océan Indien. Une ambition légitime que les dirigeants de la Grande île n’ont pas cachée aux membres de la délégation à travers les réunions préparatoires et durant les cérémonies officielles. En réalité, le pays compte fermement redevenir le « Grenier de l’océan Indien ». En fait, la Grande île le fut déjà durant la Première République. L’autosuffisance alimentaire fut une réalité vécue au quotidien. On exportait, à part les produits de rente tels la vanille, le cacao ou autres, du riz (le fameux « riz rouge » ou le riz de luxe, le Madrigal) en Europe jusqu’aux Etats-Unis d’Amérique, sans parler des îles voisines. Epoque où la Grande île portait fièrement l’étiquette l’« …

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