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Anil Karim, le répartiteur de médicaments indien de nationalité française de chez Sophasu, a été enlevé le 27 avril dernier à Ambohibe Ilafy. Ce qui fait qu'il entame ses quinze jours de captivité à la date d'hier. Une séquestration qui a duré trop longtemps aux yeux des observateurs. De son côté, la Gendarmerie qui est chargée de l'enquête sur cette affaire garde espoir et surtout son optimisme.  C'est qu'elle parie de mettre bientôt la main sur le présumé commanditaire, en la personne du tristement célèbre Norbert Ramandiamanana (51 ans), alias Lama ou encore Bain. 

Des livrets d’apprentissage pour les classes de 6ème, 5ème, 4ème et 3ème. La suspension des cours a des impacts négatifs sur les élèves dont la déperdition des acquis. A cause de la pandémie de coronavirus, ils sont obligés de rester chez eux et faire de l’auto-apprentissage. Pour leur venir en aide, 636 000 livrets d’apprentissage ou livrets essentiels seront distribués dans les Collèges d’enseignement général (CEG) répartis dans les 22 Régions de Madagascar. Comme l’a promis le ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et professionnel (MENETP), Rijasoa Andriamanana Josoa, durant la période de confinement, tous les élèves bénéficieront de support pédagogique afin qu’ils puissent faire des révisions et approfondir leur connaissance, au lieu de dispenser tout le temps à jouer. 

L’union continentale

Publié le lundi, 11 mai 2020

De quoi sera fait le monde de demain ? Une hantise qui préoccupe les esprits des analystes et observateurs d’ici ou d’ailleurs. Apparemment, vu les phénomènes tels qu’ils se manifestent, présentement, il semble qu’un bouleversement à l’échelle planétaire se prépare. On est en pleine phase de mutation ! Vers où et en quoi? Au stade actuel, personne ne peut prétendre de façon claire la nature du changement ni l’aboutissement. Cependant, quelques indices nous permettent  d’entrevoir certaines réalités.  

Filière vanille - Une campagne morose

Publié le lundi, 11 mai 2020

Clôturé à la fin de ce mois. La filière vanille a subi une campagne assez morose cette année, surtout pour les 120 exportateurs qui ont obtenu leur agrément. D’après la Banque centrale de Madagascar, les recettes provenant de cette filière ont chuté de 52,1 % au cours des trois premiers mois par rapport à la situation de l’année précédente. En plus, ce produit phare d’exportation a connu une chute au niveau des prix à cause de la baisse spectaculaire de la demande. Les opérateurs risquent de se retrouver avec des stocks non écoulés. « Le  prix de la vanille n’a cessé d’augmenter ces dernières années pour atteindre des sommets.

Une estimation positive. La moisson pour la campagne rizicole 2019-2020 a été officiellement lancée samedi dernier, dans la région de l’Alaotra-Mangoro, par Lucien Ranarivelo, ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche. Les riziculteurs et les acteurs de la filière rizicole sont optimistes pour cette saison, plus particulièrement ceux de l’Alaotra. Avec les inondations en début d’année, les producteurs ont été sceptiques. Toutefois, soutenus par les autorités, ils ont su se redresser pour rattraper le coup. La Direction régionale de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche d’Alaotra-Mangoro estime ainsi une hausse de la production de 32 000 à 40 000 tonnes pour cette saison.

Directe et sans ambiguïté ! Telle se résume l’intervention du Président Andry Rajoelina qui a été l’invité d’une émission spéciale diffusée sur Radio France Internationale (RFI) et France 24, hier en début d’après – midi. Le Président de la République répondait, depuis Antananarivo, aux questions de Christophe Boisbouvier de la RFI et Marc Pérelman de France 24, concernant en grande partie la découverte et la polémique autour du Covid Organics.

Première séance plénière de la première session ordinaire de l’année, ce jour. Des ministres défileront devant les députés réunis au Centre de conférence international (CCI) à Ivato. Ils sont ceux concernés directement par la gestion de la crise sanitaire liée à la propagation du Covid-19 sur le territoire de Madagascar.

La une du 12 mai 2020

Publié le lundi, 11 mai 2020

la une du 11 mai 2020

Publié le dimanche, 10 mai 2020


Parmi les 25 pays bénéficiaires. Il y a un mois, le Fonds monétaire international (FMI) a décidé d’alléger les dettes des pays membres, y compris Madagascar. Cette mesure a été prise afin que les pays les plus pauvres puissent se concentrer sur les dépenses urgentes pour faire face à la pandémie de coronavirus. L’Institution met ainsi à la disposition de la Grande île un don à travers le fonds d’assistance et de riposte aux catastrophes ou le fonds fiduciaire ARC. « Le fonds d’assistance correspond à une série de prêts aux pays bénéficiaires. L’allocation correspond au montant à rembourser et qui arrive à échéance. Autrement dit, ce fonds va permettre l’annulation des services de la dette de ces pays sur une certaine période. Pour Madagascar, la dette pour la prochaine échéance s’élève 5 millions de dollars, soit à peu près 18 milliards d’ariary. Celle-ci sera ainsi annulée », annonce Marc Gérard, représentant du FMI à Madagascar, lors de son intervention sur une chaîne de télévision privée. D’après toujours le représentant, cet allégement de la dette permettra à donner un flux d’oxygène à la Banque centrale. Cette dernière pourra par la suite libérer des liquidités afin de renforcer la stabilité du système financier. Les banques et les institutions de microfinance favoriseront par la suite l’accès au crédit au secteur privé à travers l’allongement des prêts et l’octroi des facilités de crédit.
Rappelons que Madagascar a récemment contracté un prêt de 166 millions de dollars auprès de la FMI à travers la Facilité de crédit rapide. Malgré l’effacement d’une partie de la dette, un économiste recommande surtout une politique orientée vers la croissance pour une réduction à long terme de la pauvreté. « L’allégement de la dette s’avère toujours bénéfique, mais le plus important consiste à adopter une politique de développement à long terme. Espérons que cette mesure n’entraînera pas notre pays à contracter d’autres dettes comme cela a toujours été le cas. C’est le moment de changer notre vision de développement du pays. La pandémie nous a fait savoir les secteurs prioritaires, entre autres le domaine social », explique l’économiste.
Recueillis par Solange Heriniaina

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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