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En cette nouvelle ère de grande avancée en matière d’innovation technologique dans le monde, les appareils électroménagers sont très prisés. Dans ce contexte, ici dans la Grande île, l’enseigne Baolai, avec ses magasins sis à Soarano, Analakely et Bazar Be Toamasina, reste le leader dans ce domaine. « Pour fêter ensemble dans la liesse notre 20ème anniversaire, une large gamme d’articles neufs de premier choix, au design tendance et à bon prix sont déjà disponibles dans tous nos showrooms. On peut citer les friteuses, fours multifonctions, réfrigérateurs à miroir, machines à laver smart wi-fi, congélateurs (fonctionnels après un délestage), … », d' après un responsable. 

En quête d'un secteur plus organisé et résilient, le ministre du Tourisme a poursuivi sa campagne de sensibilisation des opérateurs touristiques dans la Région d'Alaotra-Mangoro, et ce à la suite d’une précédente mission réussie dans la région d'Itasy. Cette initiative vise à encourager les opérateurs locaux à s'inscrire sur une plateforme d'auto-recensement spécialement créée pour répondre à leurs préoccupations concernant la lutte contre les activités informelles dans le secteur touristique. 

La Région d'Alaotra-Mangoro, notamment célèbre pour le Parc national Analamazaotra - Andasibe, le site touristique le plus visité de Madagascar, connaît une augmentation constante du nombre de visiteurs. En effet, en 2022, le parc a enregistré 16.226 visites. Mais cette année-ci, de janvier à septembre, ce chiffre est déjà monté à 17.778 entrées, démontrant ainsi l'attrait incontestable de la Région pour les voyageurs.

Le projet « Efaho » concernant la construction d’un pipeline géant de 97km se concrétise. Le navire « Triumph », en provenance de la Turquie, transportant les grands « pipelines » pour la réalisation de ce projet de grande envergure, a jeté son ancre hier au Port d’Ehoala, à Fort Dauphin. La cargaison se compose de 1000 grands tuyaux qui font en tout environ 11km. Il s’agit de la première vague car d’autres bateaux vont encore livrer les pipelines restants. « Entre le 22 avril 2023, lancement officiel du projet pipeline à Ambovombe, jusqu’à ce jour, des travaux préparatoires d’ordre technique, environnemental, social et organisationnel ont été menés dans le cadre du projet « Efaho » », avance Fidiniavo Ravokatra, ministre de l’Eau, de l’Assainissement et de l’Hygiène (MEAH), lors de la réception de ces matériels. Cela pour dire que la phase préparatoire de ce genre de projet de grande envergure se fait pendant des mois, et non dans l’immédiat ou à court terme comme certains le pensent. « Les travaux pour la réalisation de ce projet ont bien démarré et vont s’enchaîner », confirme le ministre de tutelle.

Des résidents de la Commune rurale de Morarano Gare (MLA), Moramanga, se comportent comme s’ils étaient au-dessus de la loi. Se croyant être intouchables, ils perpètrent des actes pénalement répréhensibles en se livrant à des infractions forestières voire même des crimes environnementaux. Malgré l’action pénale engagée contre eux, des trafiquants continuent sans cesse leurs agissements et au mépris de la loi en vigueur.

LA UNE DU 26 SEPTEMBRE 2023

Publié le lundi, 25 septembre 2023

La une du 25 sptembre 2023

Publié le dimanche, 24 septembre 2023


La course au sommet national reprend ses droits pour l’ovalie malagasy. Les demi-finales du championnat de Madagascar de rugby XXL Energy Top se tiendront ce weekend du 1er octobre prochain au stade Maki Andohatapenaka, annonce le Malagasy rugby. En raison de la préparation des Jeux des îles, la compétition a été interrompue après les quarts de finale du 9 juillet dernier.
« Cette compétition nous a permis d’avoir beaucoup de temps à jouer aux joueurs qui ont formé l’équipe nationale lors des Jeux des îles. C’est d’ailleurs la raison de l’avancement du début de la saison », annonce le directeur technique national. Rappelons que le Top20 est aussi un basculement vers une nouvelle formule pour la saison prochaine. Car toutes les équipes du Top 8 évolueront dans la division réservée aux Elites et les restes dans le Top12 pour la deuxième division nationale.
Le Cosfa, le FTM Manjakaray, le 3FB et l’USCAR se disputeront les deux tickets pour la finale de la compétition dans  une semaine.
Favoris pour une quatrième finale d’affilée, les militaires du Cosfa, trois fois champions consécutifs, défieront les agents du ministère de la Santé publique. Un choc de titan car si les militaires ont su s’asseoir sur leur notoriété pour garder farouchement leur bien durant trois saisons consécutives, ils seront de nouveau prêts à se battre de toutes leurs forces pour avoir un énième titre dans leur armoire à palmarès cette saison. Quant au 3FB, huit ans après son dernier titre perdu en 2015 face à Manjakaray, il va tenter de marquer son retour dans la compétition cette saison.
L’autre demi-finale mettra aux prises, le FTM Manjakaray, invaincu durant la compétition et l’équipe de la Commune urbaine d’Antananarivo, l’USCAR. Les Manjakaray l’ont perdu en 2020 face aux militaires. Un titre qu’ils ont dû patienter 40ans avant de l’avoir gagné pour la première fois en 2016. Mais de son côté aussi, l’USCAR va tout donner pour avoir son premier titre national. Effectivement, sur le papier, le Cosfa et le FTM sont les favoris pour les finales, mais en sport rien n’est gagné d’avance.
Elias Fanomezantsoa
 



Une mère de famille prénommée Claudia ou Koly (30 ans), et son petit garçon de 3 ans avaient été sauvagement assassinés à Ambohimandroso (RN 7), il y a deux semaines de cela. Depuis, la Gendarmerie a travaillé d'arrache-pied pour retrouver les suspects dans l'affaire. Le week-end dernier, celle-ci a connu un rebondissement. Trois personnes ont été arrêtées. Après l'enquête préliminaire au niveau de la Gendarmerie, les trois suspects ont été déférés au Tribunal de première instance d'Ambatolampy, puis ont été finalement placés sous mandat de dépôt à la maison centrale de cette même ville du Vakinankaratra. En tête de liste, le compagnon - âgé de 59 ans - de la défunte jeune maman. Il y a aussi un autre homme, celui connu pour avoir aidé la victime dans ses activités commerciales, et enfin un manutentionnaire.

D'après la Gendarmerie, le quinquagénaire se serait disputé d'avec la jeune maman de 30 ans peu de temps avant le drame. « Vers 22h, la nuit du meurtre, le compagnon de la victime a quitté précipitamment Ambohimandroso pour rejoindre la capitale où nous l'avons d'ailleurs arrêté », a expliqué cette source auprès de cette unité de Gendarmerie d'Ambohimandroso.

Une mention particulière concernant ce premier suspect. Il est veuf après avoir perdu sa femme légitime et a décidé de vivre avec Claudia, qui est de 20 ans son cadet, et qui allait être par la suite assassinée. « Ces trois suspects, bien qu'ils aient plaidé non coupables, ont été surtout mentionnés par les membres de la famille des victimes », selon toujours la Gendarmerie.

Revenons dans les faits. Ce n'était que le dimanche matin de ce double assassinat que les proches des victimes ont appris et constaté sur place cette scène horrible avec les deux cadavres qui les ont attendus. Il s'agissait d'un assassinat barbare où la jeune maman portait une trace de couteau dans son cou tandis que de graves plaies ont été observées sur son crâne. Quant à son petit garçon, les tueurs l'auraient étranglé avec un bout de tissu.

De source auprès de la Gendarmerie, ce drame s'était déroulé au moment de l’absence du chef de famille. Si une source a avancé que les auteurs de ces atrocités ont pris tout l'argent qui était en possession de la victime, qui fut de son vivant une commerçante itinérante, la version de la Gendarmerie a argué qu'aucun vol n'aurait été signalé à l'endroit. Or, une autre source a avancé que feue Claudia aurait envisagé d'acheter un véhicule, et que les tueurs lui auraient pris une grande partie de la somme prévue à ce dessein. Bien que les trois suspects aient nié les faits, la balle est dans le camp de la Justice pour trancher sur leur sort. Cependant, aucune date n'a été encore fixée pour le procès des concernés.

Franck R.

Les taxis-brousse empruntant les routes nationales en ont marre des voleurs de bagages et ont pris une nouvelle mesure pour remédier à ce problème. Ainsi, depuis un moment, le porte-bagage, en plus des cordages, a été renforcé par des barbelés afin de protéger les biens des passagers.
« C’est une technique de débrouille, mais jusqu’ici, il s’est avéré efficace », selon l’un des chauffeurs de taxi-brousse au sein d’une coopérative. « Avec les barbelés, les bandits réfléchiront à deux fois avant de s’attaquer aux bagages. Cependant, les barrages de pierres et de tronc d’arbre restent inévitables et dangereux, surtout qu’ils sont posés au beau milieu de nulle part. Et même si l’on arrive à contacter les gendarmes, les bandits ont disparu depuis longtemps », a-t-il ajouté.
Actuellement, c’est sur la RN 6 (Antsiranana - Ambondromamy) et la RN 4 (Antananarivo - Mahajanga) qu’on a vu l’élaboration de cette technique. Effectivement, les bandits profitent du ralentissement des véhicules pour monter sur le porte-bagage. Ensuite, ils défont les cordes et jettent les valises et sacs des passagers pour récupérer les objets de valeur. Ce ralentissement est occasionné soit par le mauvais état de la route, soit par une pente raide.
Privilégier le système « Mobile money »
En outre, l’Agence des transports terrestres (ATT) a conseillé aux voyageurs de ne pas emporter une importante somme d’argent lors des déplacements sur les routes nationales. Il leur suggère ainsi d’utiliser autant que possible le transfert d’argent grâce au système « Mobile money ». « Le fait d’utiliser le "mobile banking" permet de ne pas s'exposer ni exposer les autres à l'insécurité », a indiqué l’ATT.
Cette déclaration fait suite à l’attaque d’un taxi-brousse sur la RN 10. Ce braquage a eu lieu au niveau de la localité de Betalaha, entre Andranovory et Vatolatsaka. Les assaillants ont réussi à dérober des objets précieux et des téléphones.
N.R.

Joyeux anniversaire !

Publié le dimanche, 24 septembre 2023


Happy birthday to you ! Le Groupe SODIAT fête le 33 ème anniversaire de son existence. Joyeux anniversaire !
Trois décennies plus trois de combat au quotidien pour maintenir le rythme ettrois décennies plus trois pour garder le cap. Et trois décennies plus trois pour réussir et devenir l’une des entreprises malagasy leaders de l’économie nationale.
Ravatomanga Maminiaina, le fondateur du Groupe SODIAT, Président directeur général de son état, mérite une mention particulière quitte à malmener, tant soit peu, sa discrétion et son sens de l’humilité. En fait, l’homme est réputé pour la vertu du silence. Il ne parle jamais pour ne rien dire ! Et quand il intervient publiquement, tout le monde est tout ouï. C’est l’audimat ! Pour rappel, Ravatomanga Mamy a commencé en 1990 en créant sa société dénommée SODIAT et a loué un modeste immeuble pour servir de bureau à Ankadifotsy. Le sens des affaires, le sens noble s’entend, dont Ravatomanga Mamy fait preuve en témoigne. Il maitrise sur le bout du doigt la gestion des affaires qui contribua, dès le départ et avec la vitesse grand « V », à développer rapidement les activités. Très vite, il a dû déménager à Behoririka, pour la nécessité d’un espace plus large, et c’est là le début de l’envol. Trente-trois ans après, le désormais Groupe SODIAT engrange trente-trois sociétés. Une montée fulgurante et un « success story indéniable » à reconnaitre honnêtement ! Au passage, Ravatomanga Mamy considère les 4000 personnes qui font tourner la machine pour des collaborateurs. Mention spéciale !
Le choix de l’année de la célébration de l’anniversaire du Groupe SODIAT fait débat en sourdine. Pourquoi dirait-on quelque part ne pas fêter le « trentième » ou plus tard le « trente-cinquième » au lieu de choisir le « trente-troisième » ? D’emblée, il faut écarter catégoriquement toute approche ésotérique ou astrologique ayant un lien quelconque avec le chiffre « trente-trois ». Sans entrer dans les détails, dans le secret des dieux, au risque de divaguer et dire n’importe quoi, motivant le choix de 2023, il faut au moins évoquer une raison majeure, incontrôlable. En 2020, d’aucun n’ignore la terrible frappe de la Covid 19. Le moment pic de la pandémie. Une catastrophe planétaire qui met fatalement une croix à toutes activités publiques. Le confinement à 100 % auquel personne ne pouvait éviter.
Ensuite, faut-il souligner cette longévité exemplaire du Groupe SODIAT, trente-trois ans, sous la direction de son fondateur Ravatomanga Mamy. Pour un groupe de sociétés, la durée de vieen cours de chemin de trois décennies plus trois n’est pas évidente en soi. Par les temps qui courent notamment depuis les années 90 au cours desquelles des crises cycliques secouent le pays, il faut avoir une certaine expertise pour commander le « bateau » sinon le « Groupe » à travers les vagues sans perdre le cap. Mamy, pour les intimes, a su déjouer brillamment les mille et un pièges tendus par les jaloux voire les détracteurs. Les jaloux et les ennemis, il y en a toujours. Et en pagaille ! Devrait-on signaler que nous les Malagasy, du moins certains d’entre nous, ne supportent guère la réussite d’un concitoyen.
Joyeux anniversaire pour le Groupe SODIAT ! Honneur à Monsieur le PDG !
Ndrianaivo

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Editorial

  • Problématique nationale ?
    La Grande île manque d’eau ! Contradictoire ! L’eau, cet élément le plus précieux parmi les quatre essentiels pour la vie, à savoir la terre, l’air, le soleil et évidemment l’eau, semblerait nous faire défaut en ces temps-ci ? Pour en devenir une problématique nationale. Le conditionnel est de rigueur. Quelque part, on doute sur la pertinence de la chose. On confond, semble-t-il, la situation naturelle du pays avec les dysfonctionnements de la compagnie nationale JIRAMA et du département de l’eau sur la gestion de cet élément indispensable à la vie. En fait, ce n’est pas l’eau qui manque, c’est la gestion rationnelle qui fait défaut. On n’est pas dans les pays du Golfe où l’océan du sable domine l’environnement ou en plein désert du Sahara où l’eau n’existe pas. Certes, il y a le grand Sud où les pluies se font rares, mais de là à dire que l’eau…

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