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Depuis 1960 à nos jours. Le Grand Sud de Madagascar fait face à un nouvel épisode de sécheresse exceptionnel. Aucune pluie n’est tombée dans la région depuis plusieurs mois. Les conditions climatiques exacerbées par le changement climatique sont pointées du doigt. Conséquence, la population locale fait face à une situation critique d’insécurité alimentaire. Cette situation est malheureusement récurrente dans le « Deep south », la partie la plus sèche de la Grande île. Cette zone a toujours été fortement exposée à une situation de sécheresse chronique.

Pour le dernier jour de sa tournée dans le Sud, le Président Andry Rajoelina a visité plusieurs projets de développement à Taolagnaro, dans la Région Anosy. Parmi eux, la réhabilitation de l'axe RNT 12A reliant Vagaindrano et Taolagnaro. Au cours de la descente, le Chef de l'Etat a été accompagné par le ministre de l'Aménagement du territoire et des Travaux publics, Hajo Andrianainarivelo. L'exécution des travaux de chaussée a été faite via le système HIMO (Haute Intensité de main-d'œuvre) sous la supervision d'une entreprise malagasy.

LA UNE DU 08 0CTOBRE 2020

Publié le mercredi, 07 octobre 2020

La une du 7 octobre 2020

Publié le mardi, 06 octobre 2020

Faisant partie de ceux qui ont été les cibles du « hazalambo » (littéralement chasse aux sangliers) décrété par Marc Ravalomanana lors de son accession au pouvoir en 2002, Christian Rasoarahona est complètement outré par la démarche du clan du patron de l’empire Tiko tendant à se faire indemniser par l’Etat malagasy des préjudices qu’il aurait subis consécutivement à la crise de 2009. Interview.

La Vérité (L.V.). A travers ses conseils, Marc Ravalomanana réclame la faramineuse somme de plus de mille milliards d’ariary à l’Etat pour l’indemniser des préjudices qu’il aurait subis lors de la crise de 2009.

Christian Rasoarahona (C.R.). C’est de la divagation pure et simple. Je ne sais pas si vous avez remarqué mais, comme par coïncidence, ce montant couvre à peine l’étendue des arriérés de taxes et impôts que le groupe de Marc Ravalomanana doit à l’Etat, donc aux contribuables. Personne n’est dupe ! En réalité, l’homme veut simplement appliquer la règle du « samy miala maina dia samy afaka » (« On est quitte », ndlr).

L.V. Le clan Ravalomanana invoque la feuille de route de sortie de crise dans sa démarche.
C.R. C’est trop facile et c’est carrément une insulte de la part d’une personne qui se considère comme un ancien Ray aman-dreny des Malagasy, après avoir été Président de La République pendant quelques années. Payer ses impôts est le premier devoir d’un citoyen et encore plus pour un groupe commercial qui a engrangé des super profits pendant des années. Ce, de surcroît, dans un pays très pauvre comme Madagascar. Et puisqu’on parle de préjudices, que dit Marc Ravalomanana des préjudices incommensurables qu’il a fait subir à ses concitoyens en 2002 ?

L.V. C’est un aspect de la question que vous êtes l’un des rares à soulever. Pouvez-vous en dire plus ?
C.R. Des centaines de familles ont été victimes de son fameux « Hazalambo » (une opération de règlement de compte dont Marc Ravalomanana a chargé des militaires réservistes après son accession au pouvoir en 2002). Qu’il s’agisse de morts violentes suspectes, des emprisonnements, des incendies de domiciles, des exils forcés, des séparations familiales. La liste des exactions et des victimes est très longue et l’ampleur des dégâts subis est inimaginable si on se réfère juste aux archives du CFM. Les 1 000 milliards réclamés par Marc Ravalomanana sont infimes comparés aux préjudices de ses victimes avec la crise de 2002. Et on ne citera pas les « Alahelo » (rancœurs, ndlr) et les « Takaitra » (sequelles, ndlr) que cet homme a laissés derrière lui.

L.V. Outre votre propre personne, pouvez-vous donner des exemples concrets des victimes de cet épisode sombre de l’histoire du pays ?
C.R. Outre bien entendu et en premier lieu les Didier Ratsiraka et Tantely Andrianarivo et leurs entourages proches, familles et collaborateurs, il y a aussi les membres du Gouvernement de l’époque, pour ne citer que les Jean Jacques Rasolondrainibe, Houssein Abdallah, José Andrianoelison, Victor Boanoro, Blandin Razafimanjato et autre Hery Velona Ramanantsoa. Et la liste n’est pas exhaustive car beaucoup d’autres familles, telle que celle de Lalatiana Ravololomanana, ont également été gravement affectées. Toutes ces victimes sont en droit de réclamer à Marc Ravalomanana des indemnisations pour les préjudices physiques, matériels et moraux subis, avec preuves à l’appui. Et sans compter les « Alahelon’ny taranaka faramandimby » (rancune ressentie par les futures générations). Donc en réclamant une indemnisation liée à la crise de 2009, Marc Ravalomanana risque d’être victime de ses propres turpitudes.

L.V. C’est-à-dire ?
C.R. En soulevant cette question d’indemnisation, il a réveillé de vieux démons. Ses conseillers feraient mieux de lui recommander la stratégie du « Misitrika » (faire le mort, ndlr).
Propos recueillis par Hery Mampionona

La crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19 a favorisé les taxis et taxis-motos clandestins dans la ville d’Antananarivo. Effectivement, ces derniers profitent de la suspension des transports en commun pour exercer illicitement dans les rues de la Capitale, sans licence ni autorisation. Afin d’encourager l’intégration dans le secteur formel, la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA) procède actuellement à une opération de poursuite de ces moyens de transport clandestin. Pour la journée d’hier, les forces composées de la Brigade mixte et de la Police municipale ont fouillé les deux-roues et taxis exerçant du côté d’Ankazomanga, Tsarasaotra, 67ha jusqu’à Ankadimbahoaka. Tous les conducteurs de taxi ou de deux-roues irréguliers ont été sanctionnés, et leurs véhicules ont tout de suite été mis en fourrière.
D’après le directeur des transports et de la mobilité urbaine (DMTU) au sein de la CUA, Vigor Bemanana, cette opération entre dans le cadre de l’assainissement de ce secteur d’activité. En effet, ces taxis clandestins n’alimentent pas la caisse de la CUA et tuent à petit feu les activités des transporteurs réguliers qui s’acquittent convenablement de leurs impôts et droits.
Afin de renforcer la lutte contre ces moyens de transport clandestin, la Commission stratégique secteur taxi (CSST) a été installée à la Municipalité d’Antananarivo. Ladite commission sera l’entité focale de la CUA par rapport aux concertations pour l’amélioration du secteur taxi.

Selon le maire de la Capitale, Naina Andriantsitohaina, la mise en place de la CSST et de la Brigade mobile fait partie de ses objectifs. « Actuellement, la Brigade mobile est active dans la lutte contre le non-respect de la loi, ainsi que pour l’amélioration de la circulation », soutient-il.

Anatra R.

Poids plume !

Publié le mardi, 06 octobre 2020

Les partis d’opposition boycottent les sénatoriales. Soit ! Mais quel poids représentent-ils sur l’échiquier de la politique nationale ?
Le HVM, le pesant d’or d’antan, ne vaut pas plus qu’une plume au jour d’aujourd’hui. Zéro député à l’Assemblée nationale, zéro pointé de ses membres au Sénat dans sa nouvelle configuration, le parti de Rajaonarimampianina Rakotoarimanana Hery Martial ne tient qu’à un fil. Il suffit d’un moindre coup de vent pour que tout se brise. A son côté, le TIM de Marc Ravalomanana, son complice de circonstance, se bat entre la vie et la mort. Absent dans l’arène du Parlement, le HVM est condamné à errer dans une traversée du désert insoutenable. Tandis que le TIM, handicapé par les tracas de son président fondateur vis-à-vis de l’administration fiscale visant l’empire familial (TIKO) du moins ce qui en reste, éprouve toute la difficulté à retrouver son rythme. C’est dommage car le jeu sain de la démocratie veut qu’une formation politique ou d’autres acteurs crédibles tiennent leur rôle de contrepoids du régime.
En face, la plate-forme Orange bat de l’aile. D’une certitude absolue, elle raflera la mise du scrutin du 11 décembre. A l’allure où vont les choses en ces temps-ci, l’IRD n’aura aucun souci à se faire pour occuper la totalité des douze fauteuils des sénateurs élus au Palais de verre à Anosikely. D’un côté, c’est une belle opportunité pour le régime MAPAR d’avoir les coudées franches à gérer selon son guide les affaires nationales. Selon le Président Rajoelina, la situation dans laquelle est coincé le pays nécessite des actions urgentes. Ainsi, avoir la haute main sur les deux Chambres du Parlement permet d’enclencher la vitesse supérieure dans la concrétisation du Velirano. Les navettes inutiles et parfois enquiquinantes entre Tsimbazaza et Anosikely font perdre trop de temps et à terme, coûtent trop chères au pays. Mais de l’autre sens, il faut reconnaitre que « jouer »seul sur terrain sans adversaire de taille ternit quelque peu l’image de la compétition. « A vaincre sans péril, un triomphe sans gloire ! » dit-on. La démocratie grandit et se renforce dans les débats contradictoires d’idée. On a toujours besoin de la présence en face de quelqu’un qui ne partage pas l’idée avec soi. Cependant, quand la partie adverse désiste de son propre gré, on n’y peut rien. L’adversaire défaillant assume la défaite certaine de son camp. En tout cas, personne d’autre n’est responsable de sa décadence. En tenant compte de leur prestation respective du temps où ils tenaient les rênes du pouvoir, les ténors du parti du TIM et ceux du HVM, victimes de leur propre turpitude, n’ont qu’à mordre leurs petits doigts.
Comme il fallait s’y attendre, on s’achemine ainsi vers la victoire écrasante du camp présidentiel. Une dure réalité que Ravalomanana et Rajaonarimampianina doivent admettre en toute logique. Face à la montée de la nouvelle génération sinon des nouveaux visages de la plate-forme IRD, les têtes d’affiche ou plutôt les dinosaures de l’opposition (TIM et HVM) ne pèsent pas lourdes. Des poids plume qui s’écroulent à terre dès le premier round ! Les anciennes gloires du microcosme politique local doivent se rendre à l’évidence que leur temps est révolu. En effet, la génération montante incarnée par le Chef de l’Etat, le jeune visionnaire Rajoelina Andry, occupe le terrain.
Ndrianaivo


Un actuel chef protocole d’un grand ministère a été arrêté dans un grand hôtel de la Capitale. Il est accusé d’implication dans une affaire d’abus de confiance et d’escroquerie de haut vol. L’individu qui porte les initiales T.R. a soutiré quelque 220 millions d’ariary à des opérateurs économiques de la place. Il se fait passer pour un haut responsable d’un autre ministère qui a son siège à Ampandrianomby. Un ministère qu’il connaît bien. Dans un passé récent, T.R. a été chef protocole de l’ancien ministre de ce département, lequel est aujourd’hui directeur général d’une société d’Etat dont nous tairons le nom.
En tout cas, à ses victimes, T.R. affirme qu’un budget de six millions de dollars est disponible au niveau du ministère dont il usurpe des titres et des fonctions. Il dit que ce fonds serait destiné à réaliser des projets d’amélioration au niveau de la société d’Etat citée supra. Tantôt il se présente comme étant la personne responsable des marchés publics, tantôt comme directeur technique, tantôt comme responsable du protocole, selon les opérateurs qu’il démarche. A ces derniers, T.R. affirme en tout cas être en mesure d’attribuer des marchés publics. En contrepartie, il demande de lui donner d’avance des sommes d’argent.
Les opérateurs économiques, mis en confiance par l’homme, se sont laissé convaincre et remettent la somme demandée à T.R. Cet individu s’est ainsi fait remettre près de 220 millions d’ariary. Les jours se succèdent cependant sans que les opérateurs n’obtiennent les fameux marchés promis. Les opérateurs demandent ainsi des comptes à T.R qui aurait pour réponse présenté un « Memorandum of understanding » ou un mémorandum d’entente. Sur ce document figurerait les signatures du président du conseil d’administration de la société d’Etat et du directeur général du ministère cité supra. Une manière pour T.R d’affirmer que ces deux hauts responsables auraient accepté de remettre les marchés pour les opérateurs économiques. Ceux-ci laissent alors le bénéfice du doute à leur interlocuteur.
Cependant, les jours se succédèrent de nouveau sans que la bonne nouvelle tant attendue ne vienne. Comprenant qu’ils se sont fait abuser, les victimes décident alors de porter l’affaire en justice. La Police a tendu un piège à T.R. L’escroc présumé et une de ses complices ont alors été arrêtés hier et placés en garde à vue. Les enquêtes ont été ouvertes afin de déterminer l’existence ou non d’autres complices impliqués dans ce dossier.
La rédaction

Contrairement à ce qui a été véhiculé sur les réseaux sociaux, l’attaquant international malagasy Carolus Andriamahitsinoro s'est engagé avec un nouveau club et a choisi le Fujairah Football Club (club D1 - Émirats Arabes unis) pour la saison 2020-2021. Club auquel Diego Maradona avait déjà coaché en 2017.  A vrai dire, il reste dans  le championnat saoudien, dans une première division au Saudia Pro League. Il s’agit du club Al Qadsiah FC, équipe vice-championne de la deuxième Division, et promu en Saudi Professional League pour la prochaine saison. L'international malagasy reste donc dans le championnat d'Arabie Saoudite après avoir quitté son ancien club Al Adalh FC. Ce dernier a été relégué en D2 après avoir tâté la division Elite cette saison. Convaincu par la prestation de l’attaquant des Barea, son nouveau club a sollicité son service pour renforcer son rang dans le championnat Elite la saison prochaine.
Pour rappel, Carolus a un contrat qui s'étend jusqu'à l'été 2022 avec son ancien club et devrait donc aller jusqu'à la fin de son contrat, son nouveau club a rempli toutes les clauses libératoires du joueur malagasy pour bénéficier de ses expériences. Auteur de 10 buts avec l’Al-Adalah, il vient de s’engager pour un nouveau défi avec l’Al Qadiash FC.
« 16ème du classement des meilleurs buteurs de la Saoudi Pro League avec 10 buts, Carolus Charles tourne la page avec Al Adalh, 16ème et dernier du championnat 2019-2020 ».
Rappelons que l’attaquant malagasy de 31ans sera présent au stage des Barea de Madagascar prévu au Luxembourg et sera au Maroc pour un match test contre le Burkina Faso.
E.F.


Cela fait presque 5 ans qu’il n’y a pas eu de distribution de cartes de journaliste dans le pays. La plupart des journalistes utilisent les cartes de presse délivrées par leur organe de presse respectif.  Mieux vaut cette carte « fait maison » que rien du tout car le métier de journaliste est sensible.
Le ministère de la Communication et de la Culture a toujours eu l’intention d’accélérer la distribution de cette carte. Suite à l’adoption de la loi sur la communication médiatisée, le ministère est sur le point d’atteindre cet objectif. Mais pour le moment, il effectue des « ajustages », d’après les explications du directeur général de la communication par intérim Fetra Rakotondrasoava.
Le ministère est sur le point d’adopter un arrêté dans le but de mettre en place et opérationnaliser la « commission paritaire », composée de journalistes issus des quatre coins de l’île, qui se penchera sur la distribution de ladite carte de presse tant convoitée. Après l’adoption de l’arrêté lui-même découlant de la loi sur la communication médiatisée, les « vrais » journalistes obtiendront le précieux sésame.
Cette carte est importante pour les journalistes qui descendent sur le terrain. Ils peuvent justifier leur profession auprès des organes et des personnalités qu’ils abordent. Elle permet ainsi d’assainir le monde des médias qui pullulent de « faux journalistes ». La carte permettra alors de trier le bon de l’ivraie, offrant une sécurité à qui de droit.
Election de l’OJM
Outre cet assainissement du monde des médias, la distribution de la carte de journaliste permettra par la même occasion de procéder à une nouvelle élection des membres de l’Ordre des journalistes de Madagascar. Et cela fait près de 3 ans que le mandat des membres actuels de l’ordre est arrivé à son terme. L’achèvement du processus de distribution de la carte aboutira à l’arrêtage de la liste électorale de cette élection.
Maintien de la réquisition
Sur un tout autre sujet, le directeur général de la communication par intérim a rappelé que toutes les radios et toutes les télévisions sur l’étendue du territoire national sont toujours réquisitionnées. La situation d’urgence sanitaire justifie le maintien de la réquisition, notamment la diffusion des informations sur la pandémie de coronavirus quotidiennement vers midi et la déclaration à la Nation effectuée par le Chef de l’Etat ou le Premier ministre tous les 15 jours.
Par contre, il a annoncé un allègement au niveau des organes de radio. Les « phoning » des auditeurs sont de nouveau autorisés pour les radios. Mais cela doit se faire dans le strict respect de la législation en vigueur, l’éthique et la déontologie. Par ailleurs, il faut toujours respecter non seulement la loi mais également la liberté d’autrui, dans le souci de maintenir la paix et la sérénité sociale. Ces appels téléphoniques ont dû être arrêtés dès le début de la pandémie afin d’éviter la diffusion des fausses informations et des rumeurs qui pourraient créer la panique auprès de la population.

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Editorial

  • Recadrage présidentiel
    Au terme d’un Conseil des ministres, délocalisé à Toamasina, la capitale de la Région d’Atsinanana, le Chef de l’Etat Rajoelina Andry et la délégation qu’il conduit, des membres du Gouvernement, se sont enquis de l’état actuel de la situation de l’avancement des travaux s’inscrivant dans le cadre des projets présidentiels dans le Grand Port et aussi de la Région d’Analanjirofo.A Toamasina, le Président Rajoelina et sa suite dont entre autres le Premier ministre, Ntsay Christian, la ministre de la Justice Landy Mbolatiana Randriamanantsoa, le ministre des Travaux publics, le colonel Ndriamihaja Livah Andrianatrehina, le Secrétaire d’Etat en charge des Nouvelles villes Gérard Andriamanohisoa et bien d’autres, ont constaté de visu l’état de la réalisation des travaux. Le chantier MIAMI, un projet présidentiel phare dans le Grand Port de l’Est, continue son bonhomme de chemin. En dépit des retards dus aux crises sanitaires de 2020- 2022 et surtout à cause de…

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