Nos archives web

C’est officiel ! L’exploitation aurifère effectuée par une société chinoise à Vohilava, dans le District de Mananjary est suspendue. Le Président Andry Rajoelina a évoqué le sujet dans son discours, lors de la rencontre avec les Ampanjaka et la population de Mananjary durant le week – end, dans le cadre de sa tournée dans la Région Vatovavy Fitovinany. « J’ordonne la suspension immédiate de cette exploitation aurifère », a déclaré le Chef de l’Etat avant d’ajouter que « de telles exploitations doivent toujours avoir des retombées économiques qui profitent aux riverains et des collectivités ». Le numéro un de l’Exécutif n’a pas manqué de souligner le caractère illégal de cette exploitation minière.
Faut – il rappeler que cette exploitation a déjà fait l’objet de nombreuses contestations au niveau local par les communautés ainsi que par plusieurs organisations de la Société civile. Pour cause, ladite exploitation est à l’origine de nombreux dommages catastrophiques qui nuisent à l’environnement et aux habitants : la déviation et le quasi – terrassement de la rivière d’Isaka, la destruction des écosystèmes et des plantations agricoles, la pollution de l’eau qui est source de maladies dangereuses voire mortelles.

Démêlées judiciaires
Les litiges entre la même société chinoise et des militants de la Société civile ont fini devant la Justice. Le 6 octobre dernier, le dénommé Raleva, membre de « Justice et paix » ainsi que de l’antenne régionale de l’Observatoire indépendant des droits économiques, sociaux et culturels de Madagascar et ses compagnons de lutte ont comparu devant le juge d’instruction de Mananjary suite à une plainte déposée par la société en question, à la suite de manifestations de la population locale au mois de septembre. La comparution a abouti à la libération de ces militants.
Il y a quelques jours, un comité interministériel composé de représentants de l’Office national de l’environnement (ONE), du ministère des Mines et des Ressources stratégiques, du ministère de l’Eau et de l’Hygiène, du ministère de l’Aménagement du territoire et des Travaux publics ainsi que des parlementaires ont fait le déplacement à Vohilava pour constater de visu la situation.  Plusieurs infractions ont pu être constatées au cours de ce déplacement selon les informations relayées par des organisations de la Société civile. Cette dernière salue d’ailleurs cette initiative du Gouvernement qui, selon elle, « témoigne la volonté de l’Etat d’assurer la protection effective des droits fondamentaux des populations locales et de restaurer un Etat de droit pour une meilleure régulation du secteur extractif ». Cette décision de suspension annoncée par le Président de la République conforte davantage cette volonté.
La Rédaction

Maintenue pour le 26 octobre prochain. Le budget destiné pour la « Caisse école » (CE) arrivera dans chaque établissement avant la rentrée scolaire, à en croire le ministre de l’Education nationale (MEN), Marie Michelle Sahondrarimalala. « Selon le décret ministériel, la Caisse école inclut une liste de dépenses éligibles, dont le fonctionnement de l’établissement. Le budget y afférent sera décaissé et envoyé dans le compte de l’association FEFFI avant la rentrée, tout cela afin d’éviter tout obstacle lié au fonctionnement », informe le ministre de tutelle. Toutefois, des critères s’imposent avant le déblocage dudit budget, dont la régularisation de toutes les associations FEFFI. Le MEN a dressé la liste de ces dernières dans tout Madagascar, outre la collecte des données sur leurs comptes auprès des banques primaires. L’objectif de ces recoupements des statistiques depuis la base étant d’éviter tout détournement ou abus. D’ailleurs, les suivis et contrôles quant à la gestion de cette CE seront renforcés. Pour le cas des lycées, le Conseil d’établissement en charge de la gestion financière a été supprimé pour se transformer en association FEFFI à partir de cette année. Le MEN appuiera les lycées dans la mise en place de cette structure de gestion de la CE.
Rappelons que l’Etat a alloué un budget de 16,133 milliards d’ariary pour la CE des EPP et CEG contre 2 milliards d’ariary pour les lycées. Un autre budget à hauteur de 3 millions de dollars, géré conjointement par le ministère de tutelle et les partenaires dans le cadre du projet PAEB, est destiné pour les EPP et CEG, selon les informations communiquées à l’issue du Conseil des ministres en date du 16 septembre dernier. L’association FEFFI se charge de la gestion de ces financements.
Soutien aux enseignants FRAM
Confus. La plupart des directeurs d’établissement, notamment ceux des EPP et des CEG, se sentent livrés à eux-mêmes quant au sort des enseignants FRAM après la suppression des cotisations annuelles des parents d’élèves. Celles-ci servent majoritairement à payer le salaire de ces enseignants. Répondant à ces soucis, le numéro Un du MEN souligne que « les enseignants FRAM non subventionnés ne seront pas lésés malgré la gratuité de l’éducation. Ils bénéficieront d’un soutien de l’Etat ». En attendant, le MEN a mis en place une base de données, dans laquelle tous les enseignants FRAM devraient être inscrits afin de mieux les suivre de près. Cette base de données permettra également de contrôler si le ratio élève-maître est respecté, en tenant compte de l’effectif des enseignants dans un établissement. « Le recrutement de maîtres FRAM se fait parfois abusivement et dans l’illégalité, ce qui nécessite ce suivi », précise la ministre de tutelle.
Par ailleurs, des coordinations et organisations des méthodes de travail s’imposent pour assurer une éducation de qualité, nécessitant des enseignants à la hauteur. Bon nombre de maîtres FRAM pourraient répondre aux critères exigés, entre autres un certain diplôme ainsi que des expériences et titres pédagogiques. « Les élèves passent en priorité, en tant qu’avenir de la Nation. De plus, l’éducation reste sacrée par rapport aux autres services publics. Aucune expérimentation ne doit être permise dans ce domaine », conclut la ministre.
Patricia Ramavonirina


Discret ces derniers temps, l'ex- parlementaire, Pety Rakotoniaina refait parler de lui.
Le nom de cette personnalité politique a récemment été cité dans le cadre d'un litige entre deux sociétés du secteur de l'agroalimentaire. Des hommes réputés proches de l'ancien maire de Fianarantsoa auraient en effet bloqués l'exécution d'une décision de justice. Pour comprendre l’histoire, il faut savoir que dans le cadre d'un litige suite à une affaire de détournement, le Tribunal d'Antananarivo a ordonné la saisie conservatoire des marchandises d'une société agroalimentaire sise à Ampasambazaha Fianarantsoa et ce, jusqu'à cette concurrence de la somme totale de 1,2 milliard d'ariary. Un huissier a été dépêché pour exécuter ladite décision dans l’Amoron’i Mania mais sur place, celui-ci se serait heurté à l'opposition de quelques personnes. La situation s’est très vite tendue. Des protagonistes en seraient venus aux mains, selon des témoignages. Les biens saisis ont été embarqués à bord du véhicule affrété pour ce faire. Toutefois, la camionnette n'a jamais pu repartir car bloquée par des personnes parmi lesquelles figureraient deux assistants parlementaires et un adjoint au maire. Le nom de l'ancien maire de Fianarantsoa Pety Rakotoniaina a été cité comme étant possiblement derrière ces fauteurs de troubles. Par ailleurs, la saisine ne s’est pas conclue jusqu’au bout. La société victime des détournements fait appel aux autorités compétentes pour suivre de près cette affaire. Notons que deux employés de la société victime du détournement des biens ainsi qu’un assistant parlementaire et son épouse ont été placés sous mandat de dépôt suite à cette affaire. Mais ces suspects en seraient ressortis trois jours plus tard.
L.R.

Après une première période très équilibrée, les Etalons ont ouvert le score à la 34ème minute sur un but de Bertrand Traoré. Grâce à Marco Ilaimaharitra sur une pénalité obtenue par Voavy Paulin, les Barea égalisent à la 44ème minute de la première mi-temps. Les Burkinabè ont mis la pression en haut. Rude bataille pour les Barea mais ils ont bien tenu tête à leur adversaire pour défendre l’honneur du pays.
Les deux équipes entamaient la rencontre avec prudence pour éviter d’éventuelles blessures. Rappelons que cette rencontre entre dans le cadre de la préparation des deux équipes en vue des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN 2021 – 2022). Madagascar trouvera la Côte d’Ivoire dans une double confrontation qui aura lieu entre les 9 et 17 novembre tandis que les Etalons de la Côte d’Ivoire se préparent pour affronter la Mauritanie. Le coach Nicolas Dupuis a fait rentrer deux attaquants pour revenir au score mais les Barea n’ont pas trouvé la faille.
Deba Kely fait son retour sur le terrain avec les Barea. En effet, il a pris la place de Bastien Hery à la 62e minute. Sur un corner du Burkina Faso, cafouillage, errements de la balle sur les têtes des défenseurs malagasy et déviée sur un tir à la volée de Eric Traoré à la 63ème. Le score reste inchangé (2-1) jusqu’au coup de sifflet final, victoire sur le fil des Etalons qui ont écrasé (3-0) les Léopards de la RD Congo trois jours plus tôt avant le rendez-vous contre Burkina Faso au Stade El Abdi, dans la ville d’El Jadida Maroc.
La fenêtre FIFA se conclut donc sur ce revers malagasy. Cette rencontre a permis au sélectionneur national de mettre à l’épreuve tous les jeunes joueurs à sa disposition. Les plus méritants se trouveront dans l’équipe-type qui sera dévoilée pour le prochain rendez-vous en mi-novembre pour la double confrontation contre la Côte d’Ivoire. Il est à noter que cinq joueurs titulaires de la CAN 2019 ont manqué à l’appel à savoir, Abel Anicet, Amada, Carolus, Métanire et Mombris. Après ces deux rencontres des Barea, les joueurs rejoindront leurs clubs respectifs.
Elias Fanomezantsoa


L’affaire concernant l’incrimination de pédophilie et de cybercriminalité de l’internaute, connu sous le pseudonyme  de  Lee Stuvene Landot Craya's (26 ans), connaît un  rebondissement rapide. Après son arrestation vendredi dernier, puis son audition tout au  long du week-end dernier au département  de la cybercriminalité de la  Gendarmerie,  le concerné  a été déféré au Parquet, hier. Enfin, il s’est ensuivi sa mise en détention à titre provisoire à la maison de force de Tsiafahy, en début de soirée. Viol, abus et exploitation sexuelle d'un mineur, production et diffusion d’image à caractère pédopornographique et attentat à la pudeur. Tels sont les chefs d’accusation pesant contre l’accusé.
D’après la Gendarmerie, il n’existe aucun lien de parenté entre ce dernier et la victime, le mineur dont les images ont été partagées sur Facebook. Ce dernier est actuellement soumis à des soins médicaux, selon une recommandation du médecin.  
L’affaire a démarré jeudi dernier lorsque la Police et la Gendarmerie ont émis un mandat de recherche sur Lee Stuvene Landot Craya's.  En effet, les facebookers  ont été à la fois choqués et  scandalisés en découvrant  les images de ce jeune garçon d’à peine 11 ans, dans  des  poses prévues à des fins publicitaires susceptibles d’inciter à la pédérastie, sur le mur  facebook de l’internaute en   cause.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                
Le vendredi suivant, la nouvelle a continué de se répandre comme une traînée de poudre, poussant  ainsi  la Police et la Gendarmerie nationale à émettre un mandat de recherche pour retrouver  Lee Stuvene Landot Craya's.  Ce fut chose faite en début de soirée, le même vendredi. Le suspect fut arrêté à Iavoloha. Une étape a été donc franchie. La prochaine consistera à sa comparution où il aura  à répondre  de  ses actes devant le juge. Cependant, aucune date n’a été encore fixée.                                                                                                              
Comme nous l’avons déjà avancé dans l’une de nos précédentes publications, gageons que  l’accusé risque gros si l’on ne se réfère uniquement qu’ à l’article  2014-006, sur la loi régissant la cybercriminalité. Ce texte stipule  que toute image vidéo à caractère pornographique et mettant en scène des enfants sous toutes les formes, ou toute implication d’un enfant sur  des scènes  sexuelles directes,  fictives ou réelles, mais aussi toute exposition des parties génitales  d’un  garçon ou d’une fillette à des fins sexuelles, sont punies d’une peine de 2 à 5  ans d’emprisonnement, mais aussi d’une amende allant de 2 000 000 ariary à 10 000 000 ariary.     
Franck R.
 


Prestation de serment hier, devant la Cour suprême à Anosy, de deux magistrates, à savoir Mesdames Rakotomahazo Patricia et Ranorine, désignées respectivement chef du siège et chef du Parquet de la juridiction du second degré au niveau du Pôle anti-corruption (PAC) de Mahajanga. Pour information, la première a rang protocolaire de premier président de la Cour d'appel et en tant que tel, est un magistrat du siège, tandis que la seconde est l’équivalent du procureur général de la Cour d’appel et relève du Parquet.
La prise de fonction et l’installation des deux femmes de loi à Mahajanga sont prévues pour le 23 octobre prochain. Ce sera également l’occasion de procéder à l’ouverture officielle du deuxième PAC du pays à la cité des Fleurs, après celui d’Antananarivo.

Entre période d’étiage et travaux d’amélioration des infrastructures, sans oublier la vétusté des installations, les abonnés de la JIRAMA subissent encore des problèmes d’approvisionnement en eau. « Pour notre cas, nous n’avons plus d’eau depuis près de deux semaines. Pourtant, avec la chaleur et la situation sanitaire liée à la Covid-19, les besoins en eau potable ont conséquemment augmenté, contrairement à la production d’eau de la JIRAMA », se plaint une mère de famille résidant à Alasora. « Pour cette Commune, les problèmes d’approvisionnement en eau sont surtout dus à la période d’étiage », explique un responsable au niveau de la compagnie d’eau et d’électricité. Et plusieurs quartiers et Communes vivent la même chose.
Afin de solutionner ces problèmes, la JIRAMA procède à l’installation de citernes dans les zones concernées. Hier, les techniciens de la compagnie les ont installées du côté d’Ambohidrapeto. « Cette solution provisoire a été décidée suite aux dialogues communautaires effectués la semaine dernière. Deux citernes renforceront ainsi celles déjà en place. Il ne faut pas oublier que 96 citernes sont déjà mises à disposition dans les zones souffrant de problème d’approvisionnement en eau dans la Capitale », rajoute ce responsable. Après Ambohidrapeto, la JIRAMA poursuivra ses missions à Ankadimanga et à Fiombonana afin d’assurer le ravitaillement en eau de la population en cette période. Pour pouvoir bénéficier de ces citernes, d’après les explications fournies par l’entreprise, les Communes concernées peuvent également mener des dialogues communautaires pour définir les problèmes et les besoins en eau de chaque habitant. En se basant sur ces points, celles-ci enverront par la suite une demande auprès de la JIRAMA. Avec cette procédure, la compagnie d'eau et d'électricité espère mieux cerner les solutions fournies à ses usagers et mieux cibler les zones d’intervention.
Ces mesures prises ne représentent qu’une solution à court terme. Néanmoins, la JIRAMA s’active déjà pour solutionner ces problèmes sur le long terme, notamment avec l’extension de la station de Mandroseza et la mise en place des unités de traitement d’eau conteneurisées dans huit localités environnantes d’Antananarivo.     
Rova Randria


Après la province de Toamasina, le parti Malagasy Miara-Miainga de Hajo Andrianainarivelo participera également aux sénatoriales pour la province d'Antananarivo. Une situation normale et logique pour un parti politique de participer à toutes les élections qui se déroulent dans le pays.
Ainsi, Rakotondrainibe Andrianantenaina Michel, pharmacien, Ravelonjato Bernard Anselme, chercheur-enseignant, ex-député et questeur du CST, Ratovonandrasana Hantanirina Irène, comptable et ex-CT, Ramonjy Mahazakamanana, ingénieur agronome et enfin Randrianarivony Luna Fenohanitra, styliste, sont les candidats du MMM. Ils ont été présentés aux membres et aux grands électeurs issus du parti, hier au sein du quartier général à Ankerana.
Ont assisté à la cérémonie, le président national du parti, Hajo Andrianainarivelo, les députés et les membres du bureau politique ainsi que les maires et conseillers élus sous la couleur du parti dans la province d’Antananarivo, ainsi que d’autres élus indépendants ou membres d’autres partis.
Le président national a profité de l’occasion pour rappeler que le parti a soutenu et soutient toujours le président Andry Rajoelina. En tant que parti, et respectant les règles fondamentales de la démocratie et de la décentralisation effective, le Malagasy Miara-Miainga a décidé de présenter des listes dans les faritany de Toamasina et d’Antananarivo.
Par ailleurs, Hajo Andrianainarivelo a été intransigeant en évoquant le fait que quelques responsables étatiques, désignés et non élus, se permettent de dicter les comportements à adopter aux élus. « Le Président de la République est un homme élu par le peuple, les députés sont des responsables élus, les maires et les conseillers municipaux sont des élus et nous les respectons selon leurs rangs et responsabilité », a-t-il évoqué. Et d’ajouter que « Il n’est pas acceptable et nous n’accepterons jamais les comportements odieux de certains responsables désignés ».


« Jour pour jour, cela fait 50 ans que j'ai chanté avec un microphone, et avec un ensemble orchestral derrière moi... La première fois, c’était le 11 octobre 1970, à l'occasion des festivités dans le cadre de la Fête nationale du 14 octobre qui se sont déroulées à Antsiranana. Que notre Père qui est aux cieux soit remercié, ainsi que mes ancêtres et parents, et bien sûr notre terre Madagasikara avec ses autochtones, de même que tous les terriens qui ont contribué à me transformer en une star » C’est avec ces paroles que Jaojoby Eusèbe surnommé « roi du Salegy » a partagé sur son compte personnel Facebook, dimanche dernier, sa joie et sa satisfaction d’avoir parcouru ces longues années.
A 65 ans, ce célèbre chanteur, chorégraphe et compositeur malagasy, originaire du nord de Madagascar, maintien sa renommée 50 ans après son début prometteur sur la scène. La preuve, son élévation au grade de Commandeur de l'Ordre national malagasy n’est pas passée inaperçue. Non seulement, il a reçu une distinction honorifique de la part de l’Etat malagasy par le biais du ministère de la Culture et de la Communication (MCC), mais aussi l’ovation de la toile tant au niveau national qu’à l’international. « Impossible d’imaginer une fête de famille en France sans danser sur ses classiques. L’ADN de nos meilleurs moments, de nos meilleures ambiances, de notre origine malagasy », partage une consœur journaliste malagasy née en France. Sur les réseaux sociaux, les internautes reconnaissent également les valeurs de cet artiste.
Il est à noter que Jaojoby, cet artiste complet, a cartonné avec de nombreuses titres comme « Mangala Vaiavy », « Alima », « Tia anao aho », « E Tiako », ou encore la chanson intitulée « Malemilemy ». Au cours de ses 50 ans de carrière, il a fait danser des milliers voire des millions de personnes issues de tous les continents. En 2008, il a été par exemple accueilli par ses fans à l’Olympia de Paris lors d’un grand show digne d’un roi. Ce qui a marqué sa carrière porte aussi sur l’ouverture de son lieu de cabaret appelé Jao’s Pub, situé à Ambohipo. C’est sa manière de promouvoir d’autres talents en rendant accessible une scène musicale.
Recueillis par K.R.

La hiérarchie a été respectée. L’équipe nationale malagasy, les Barea de Madagascar, a largement dominé son adversaire luxembourgeois du club Swift Hesperange par 4 buts à 1 lors du match d’entraînement. Une rencontre qui s’est tenue au stade Alphonse Thiès, à Luxembourg le vendredi 9 octobre. Dès la sixième minute du coup d’envoi, Abdallah, relancé par Alexandre Ramaligom, a ouvert le score. Huit minutes plus tard, les nouveaux Barea s’imprégnaient déjà dans l’effectif. Ils ont montré une bonne entente avec les piliers de la sélection.

 

Fil infos

  • Président Andry Rajoelina - Début d’une série d’inaugurations dans l’Anôsy
  • Actu-brèves
  • Course pour Tsimbazaza - Une vingtaine de députés renoncent à un nouveau mandat
  • ACTU-BREVES
  • Ministre des Affaires étrangères du Japon - En visite à Toamasina ce week-end
  • Législatives - L'Opposition peine à concrétiser ses grandes annonces
  • Mission du FMI à Madagascar - Deux appuis financiers importants sur la table des négociations
  • ACTU-BREVES
  • Actu-brèves
  • Enseignement supérieur - L'université de Fenoarivo -Atsinanana officiellement inaugurée 

La Une

Recherche par date

« April 2024 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
Pub droite 1

Editorial

  • D’utilité publique
     Est reconnu « Service d’utilité publique » (SUP) par l’Etat tout organisme (ONG), une entité qui se met au service des intérêts basiques quotidiens des gens. Exemples : le service de la voirie, les caisses de la Trésorerie publique, les banques, les Postes et Télécommunications (téléphonie mobile), les transports en commun, la compagnie nationale d’eau et d’électricité, etc. Leurs manquements répétés créent des désagréments notables voire fâcheux au bon déroulement du train-train de la vie des usagers, en particulier, de la population en général. L’Etat veille au bon fonctionnement des services reconnus d’utilité publique.Vingt inspecteurs et contrôleurs semenciers émargés au sein du ministère de l’Agriculture et de l’Elevage (MinAE) ont prêté serment près du Tribunal de première instance (TPI) à Anosy le week-end dernier. Issus des sept Régions dont Alaotra-Mangoro, Analanjirofo, Atsimo-Andrefana, Vakinankaratra, Boeny, SAVA et DIANA, les nouveaux sortants œuvreront tout droit à l’amélioration de la production des semences…

A bout portant

AutoDiff