Dès le lendemain de l’incendie de la Cathédrale Notre-Dame de Paris, un élan de solidarité en vue de sa réhabilitation s’est manifesté. Parisiens, Marseillais, Bretons ou autres se sont levés comme un seul homme et ont parlé d’une même voix, celle de la reconstruction de ce monument historique, fierté de la France et non seulement de la capitale française. Un des endroits les plus visités de l’hexagone, Notre-Dame de Paris est considérée comme un patrimoine et un symbole de la France. Le tout au-delà des richesses qu’elle renferme. Il n’est pas étonnant ainsi que la Cathédrale a dépassé les frontières religieuses qui pourraient freiner cette unanimité quant à sa réhabilitation. Seul bémol, les fausses notes de certains politiciens qui, en manque d’audience ou d’idée, épient les moindres gestes des tenants du pouvoir pour les critiquer. 48 heures après l’incendie, les dons ou promesses dépassent allégrement les 500 millions d’euros. Hier, cette somme avoisine les 800 millions d’euros et venant des entités publiques, organismes publics à l’instar de la Fondation du patrimoine, des entreprises financières et des grandes sociétés familiales ou privées.
Dans quelques mois, les tananariviens seront appelés aux urnes pour élire le nouveau maire d’Antananarivo. Un rendez – vous à ne surtout pas manquer par les citadins de la Capitale étant donné la grande désillusion qui a suivi l’élection de Lalao Ravalomanana il y a près de 4 ans. Une désillusion due à l’absence de réalisations qui ont pourtant été promises par l’ex – Première Dame et son époux au moment de la campagne électorale. D’aucuns n’ignorent, aujourd’hui, la chute vertigineuse voire la déchéance totale qu’a connu et continue de connaître la Ville des Mille. Inondation à chaque période pluvieuse, amoncellement d’ordures partout, constructions illicites dans tous les recoins, remblayages, gabegie dans les marchés, mauvais état des routes et des ruelles, etc. La liste est longue. Evoquer la situation de la Capitale n’amène rien de positif à l’esprit. Antananarivo a perdu tout son charme et se voit même dépassée de loin par les autres grandes villes de Madagascar en termes de propreté et de modernité. Une situation de désolation qui n’a que trop duré.
Notre-Dame de Paris s’embrase. « Le cœur en cendres » titrait à la Une un célèbre quotidien parisien. En effet, le cœur de Paris sinon le cœur de la France voire le cœur de l’Europe a pris feu ! Sans doute, Notre-Dame de Paris est le symbole national de l’Histoire de France. Un des édifices historiques qui témoigne de la valeur culturelle et religieuse des Français. Bâti en 1163 dans l’Ile de la Cité, sous le règne de Louis VII et à l’initiative de l’évêque de Paris, Maurice de Sully, elle ne sera achevée, du moins la structure principale, qu’en 1345. La durée des travaux s’étalait donc sur deux siècles. A titre de comparaison hâtive, les ouvriers ont mis trente ans pour finir les travaux de construction de l’Arc de Triomphe sur la Place de l’Etoile à Paris (1806-1836), et cela, malgré la pression impatiente du commanditaire des travaux, un certain Napoléon 1er. L’ingénieur de génie Gustave Eiffel termina les travaux de construction de la très célèbre Tour Eiffel en deux ans (1887-1889). Tout cela pour nous montrer l’idée de l’immensité du chef-d’œuvre, de la complexité des travaux et de l’importance inimaginable de cet édifice.
Le premier regroupement des athlètes présélectionnés prendra fin ce mercredi après presque quatre semaines de préparation. Le lancement officiel a été donné le samedi 24 mars. Les athlètes sont répartis dans les 14 disciplines en vue des Jeux des iles de l’Océan indien qui se tiendront à l’ile Maurice, du 19 au 28 juillet prochain. Il s’agit de l’athlétisme, le badminton, la boxe, le cyclisme, le football, l’haltérophilie, le judo, la natation, le rugby, le lawn tennis, le tennis de table, la voile et le volleyball. Treize disciplines suivent leur regroupement dans la Capitale, à part le beach volley, la voile et le football. Ce dernier n’est toujours pas en regroupement car les joueurs sont retenus par leur club respectif qui dispute encore le championnat national qui est en cours jusqu’en juin.
L’employée de la banque Baobab de Mahitsy, entraînée dans l’affaire concernant la disparition des 100 millions d’ariary appartenant à cet établissement, était déférée au Parquet d’ Anosy, hier. Mais au dernier moment, il y avait un changement de programme imprévu. Car au bout de son assez long interrogatoire par le juge d’instruction, rien n’a été tranché, ni filtré sur le sort de la prévenue. Finalement, décision fut prise, côté Parquet, de saisir le Pôle anti-corruption (PAC) pour continuer l’enquête sur cette affaire. Normalement donc, la concernée aura à répondre de ses actes auprès des responsables de cette institution. En revanche, un avis de recherche sera bientôt émis sur son compagnon, également trempé avec la dame, et qui a disparu avec le fonds.
Typhoïde, gastro-entérite, perforation colique, intoxication alimentaire, diarrhée aigüe. Bon nombre de patients qui se font ausculter auprès des centres de santé ainsi que des cliniques à Antananarivo et périphéries sont atteints de ces maladies diarrhéiques en cette période. Minah Ras., une jeune étudiante résidant à Tsimbazaza, en a fait la mauvaise expérience. « J’ai mangé des pommes frites dans la soirée pour finir dans un état chaotique le lendemain matin. Outre la diarrhée aigüe tachée de sang et de glaires, j’avais une forte fièvre et une fatigue soudaine. J’ai aussitôt pris des médicaments pour calmer mais en vain. Même après la première consultation médicale, mon état de santé ne s’est toujours pas amélioré », nous confie la jeune femme de 24 ans.
En perpétuel mouvement, la planète Terre bouge dans tous ses états. Fallait-il rappeler qu’elle évolue, non-stop, autour du soleil tout en tournant sur elle-même. Notre planète, la seule habitée jusqu’à preuve du contraire, subit depuis ses origines jusqu’à nos jours de grands chamboulements d’ordre naturel, de grandes évolutions humaines et de grands bouleversements des systèmes sociaux, économiques et politiques. Certainement, le phénomène global perdurera jusqu’à la … fin du monde ! En l’état actuel des choses, les bouleversements sociaux et politiques focalisent nos attentions. Tellement, leurs impacts influent trop sur l’évolution générale du monde que nous ne pouvons pas les ignorer surtout nous dissimuler ni nous soustraire.
La passion se trouve au cœur des valeurs promues par TELMA mais aussi par Mvola. C'est pourquoi, pour la troisième année consécutive, TELMA soutient toujours des grands noms artistiques du pays à l'occasion de l'évènement « Nosy Be Jazz Festival ». Et pour cette édition, l'opérateur est même devenu le sponsor officiel de cet événement avec sa solution de paiement par mobile, Mvola. Du 19 au 22 avril prochain, il va ainsi apporter sa contribution à la réussite de ce grand festival de jazz. Pour cette première collaboration, les organisateurs miseront ainsi sur l'usage de MVola en tant que système de paiement garanti pour faciliter l'accès à l'événement. Un service en package est ainsi proposé aux adeptes de jazz souhaitant y assister. Les tarifs préférentiels sont surtout valables pour des groupes composés de deux à quatre personnes.
C’est confirmé ! Les membres du bureau permanent au sein du Sénat, et le président du perchoir Rivo Rakotovao particulièrement, se trouvent sur un siège éjectable. En effet, ces derniers qui sont issus de l’ancien régime risquent de faire l’objet d’une démarche en vue de leur déchéance. L’information a déjà fait le tour des couloirs de la Chambre haute depuis quelques jours voire quelques semaines. Cela aurait même déjà fait du bruit lors de la session extraordinaire qui s’est tenue au mois de janvier dernier. Un retournement de situation qui pourrait fortement coûter cher au chef de file des cravates bleues.
08 personnes ont été déférées au Parquet du Tribunal de Mahajanga. Auditionnés dans le cadre d’une affaire de faux et usage de faux et abus de fonction, deux d’entre eux ont été placés sous mandat de dépôt. En l’occurrence, le directeur régional de la pêche de Mahajanga et le secrétaire pédagogique de la faculté des Sciences, de Technologie et de l’Environnement de l’Université de Mahajanga. 06 autres personnes entendues ont quant à elles bénéficié d’une liberté provisoire, à l’issue de leur audition. La branche territoriale de Mahajanga du Bureau Indépendant Anti-Corruption (BIANCO) a ouvert une enquête suite à une doléance anonyme relatant des faits soupçonnés de corruption par l’utilisation de faux diplômes perpétrés par le directeur régional de la pêche et des ressources halieutiques de cette localité.