Dans moins de 24 heures, les citoyens malgaches se rendront aux urnes pour élire leur nouveau président. Tout est prêt niveau logistique et technique, pour accueillir les électeurs, affirment les responsables au niveau de la Commission électorale nationale indépendante. L’heure est à l’acheminement des imprimés, des derniers équipements et matériels de vote vers divers centres de vote du pays. Ce lot est, sauf imprévu, déjà au niveau des Communes à l’heure actuelle et sera remis aux présidents de Fokontany et des bureaux électoraux lors des formations au niveau des Communes qui ont quasiment toutes pris fin. Les imprimés sensibles et le matériel de vote devraient ainsi arriver généralement ce jour au niveau des Fokontany.
Pour rappel, une clé de répartition est une disposition, dans le cadre d’un accord politique, où il est question de répartir des sièges à des protagonistes d’un conflit. En clair, c’est une manière élégante de désigner ce qui n’est ni plus ni moins qu’un partage de gâteau. Car personne n’est dupe. En torpillant le processus électoral, le collectif des 10 candidats anti-élection a comme ultime objectif l’accession au pouvoir sans passer par les urnes. Bien que, pour ménager ceux qui y sont allergiques, le terme ait été soigneusement banni des revendications du collectif, celui-ci fantasme en réalité sur une transition où la fameuse clé de répartition sera au centre des discussions. Doit-on rappeler en effet que, outre l’éviction du candidat n°3, la dissolution du Gouvernement, le remplacement de la HCC par une Cour électorale spéciale ainsi que la recomposition de la CENI sont les principales revendications du collectif. Autant de postes « vacants » qui, avec les sièges du Parlement (Assemblée nationale et Sénat) que la « feuille de route » de la transition ne manquera pas de dissoudre au profit d’organes délibérants aux membres nommés, représentent de véritables aubaines pour les personnalités ou partis politiques dont les chances d’accéder à des fonctions électives tendent, à l’instant présent, vers le zéro absolu. Et bien entendu, il va sans dire que les bénéficiaires d’une telle situation d’instabilité ne manqueront pas de mettre tout en œuvre pour que celle-ci perdure. La question qui se pose est de savoir si le pays sortira indemne d’un tel saut dans le vide. Il faut s’attendre en effet à la réaction des partenaires techniques et financiers face à ce qui n’est autre qu’une escapade extraconstitutionnelle. A peine sorti de la crise sanitaire et en pleine incertitude face aux guerres en Ukraine et dans la bande de Gaza, Madagascar pourrait-il faire face aux suspensions des financements extérieurs et autres aides au développement qui seront inévitablement décrétées en cascade en attendant le « retour à l’ordre constitutionnel » ? La Rédaction
Le débat des candidats au premier tour de l'élection présidentielle s'est tenu hier en fin de la soirée. Un rendez-vous télévisé à gros enjeux, à quatre jours du scrutin. Le candidat numéro 3, Andry Rajoelina, le candidat numéro 11, Sendrison Daniela Raderanirina et le candidat numéro 13 Siteny Randrianasoloniaiko ont été présents à la tribune du CCI Ivato où se tenait ce face-à-face entre les trois prétendants à Iavoloha. Prévu débuter à 19h, le débat a accusé un retard de cinquante minutes. Et ce, pour permettre au plus grand nombre de téléspectateurs et d'auditeurs de voir et d'entendre le déroulement du débat retransmis sur les stations de télévision et de radio publiques, ainsi que sur les réseaux sociaux officiels de la CENI notamment. Une coupure d'électricité a en effet été remarquée depuis hier, en milieu de l'après-midi, notamment dans la Capitale. Par ailleurs, une dizaine de collaborateurs par candidat ont été autorisés à assister à ce débat. Les trois candidats ont eu 45 minutes de chaque pour répondre aux questions des journalistes Christian Rakotoarisoa et Lova Rabary autour de trois grands thèmes, la politique, l'économie et le social.
Force a été de constater que le candidat Andry Rajoelina s'est démarqué par son réalisme et son expérience durant ce débat. Pour le candidat numéro 3, en particulier, l'enjeu était important. Même si les meetings l'ont conforté ces derniers jours, le Président sortant devait à la fois défendre un bilan quinquennal marqué par les crises et proposer une vision pour le pays qui ne soit pas que le changement dans la continuité. Le candidat a fait preuve de sang-froid pour répondre aux attaques à son encontre. Il n'est pas tombé dans les pièges tendus par ses contradicteurs et a montré une maîtrise de ses sujets, notamment sur la question du pipeline dans le sud ou encore la question des manifestations dans les rues actuelles des candidats de l'Opposition. Pareil sur la question de l'affaire Romy Andrianarisoa, son ex-directrice de cabinet, à laquelle il précise ne pas être responsable des agissements de cette dernière. Andry Rajoelina s'est par ailleurs efforcé durant son intervention d'illustrer ses propos par des chiffres précis. Le candidat a détaillé, parfois sans doute trop, ses propositions sur les thèmes proposés, la politique, l'insécurité, la justice, l'entrepreneuriat, l'énergie, l'éducation, la santé. Le Président sortant a montré une stature présidentielle certaine.
A contrario, le candidat Siteny Randrianasoloniaiko a montré, à plusieurs reprises, quelques limites. Lui qui a passé le plus clair du temps qui lui a été imparti pour lancer des piques à Rajoelina et à son administration qu'à développer son projet de société. Le judoka a même fait une sortie de route lorsqu'il parle d'une affaire personnelle concernant une ancienne ministre du candidat Rajoelina en réponse à une question sur l'insécurité. Des prises de parole qui ont été souvent voire systématiquement truffées d'approximation, comme lorsqu'il touche mot du nombre de Fokontany dans le pays où des écoles ont été créées durant un régime précédent. Le flou autour de la situation de Siteny Randrianasoloniaiko qui dit être partant pour l'élection présidentielle mais fait savoir également être partant pour un dialogue avant la tenue de ce scrutin, a retenu aussi l'attention des observateurs…
La Rédaction
Arrêtés pendant l'émeute orchestrée par le collectif des dix candidats anti-élection, les 11 manifestants ou émeutiers pro C10, ont été déferrés au Parquet d'Anosy, hier.
Au terme de leurs auditions par le procureur en début de soirée hier, la décision fut tranchée : 5 manifestants ont été placés sous mandat de dépôt à Antanimora pour manifestation non autorisée et troubles à l'ordre public tandis que 5 autres le sont sous contrôle judiciaire. Enfin, le dernier de la bande, un étudiant a obtenu une liberté provisoire.
Par ailleurs, les trois membres des Forces de l'ordre blessés lors de ces escarmouches avec les émeutiers demeurent encore sous soins, selon une source auprès de la Gendarmerie.
Durant les émeutes de samedi dernier, des manifestants ont utilisé des armes, rustiques certes, comme ces fléchettes à billes, mais qui sont en fin de compte létales si jamais elles atteignent la victime dans des points vitaux.
Samedi dernier, on a assisté à des batailles rangées ayant opposé les deux camps à Antaninandro, Tsiazotafo, Andravoahangy, Ankadifotsy et surtout à Behoririka, ces points clés susceptibles de déboucher à Analakely, donc sur la place du 13 mai comme les manifestants l'ont tant souhaité. Autre élément qui fait la différence des précédentes émeutes, celle de samedi dernier a été surtout marquée par des barricades. Les contestataires ne se sont pas gênés d’utiliser un poteau de la JIRAMA, ou encore un bac à ordures, quitte à s'amuser avec des ordures pour barrer la voie.
Tout cela montre que le collectif des candidats, a encore essayé de faire forcing pour prendre et rallier la place du 13 mai, à Analakely, samedi dernier. Mais les éléments de la Police anti-émeute de l'EMMONAT ont verrouillé complètement tous les accès conduisant sur ladite place, soit dans un rayon de plus d'un kilomètre tout autour de celle-ci.
Déjà la semaine dernière, 5 autres manifestants ont été aussi incarcérés provisoirement, toujours pour les mêmes motifs de troubles à l'ordre public. Les accusés ont été jugés jeudi dernier. Et leur sort sera fixé le 17 novembre prochain.
En attendant, la Préfecture d'Antananarivo persiste et signe : la place du 13 mai à Anlakely est strictement interdite.aux manifestations du collectif, par souci de préserver l'ordre dans la ville. Et que toute volonté de continuer à se montrer récalcitrants à cette mesure, équivaut à une infraction pénale.
Affaire à suivre.
Franck R.
Par la grande ou par la petite porte. Dans une situation critique comme la nôtre, on ne peut pas sortir à la fois et au même moment et par la grande porte vers une réussite certaine et par la petite porte, de la dérobée, pour la honte voire la perte. Il n’y a qu’une seule option, une seule issue. La vie ou la mort !
Il est grand temps qu’on se ressaisisse. Fini la récréation ! A soixante-douze heures de la date fatidique du 16 novembre, le pays se permet encore le luxe de se fourvoyer aux enfantillages ou aux gamineries qui ne riment à rien de sérieux. Nos acteurs de la vie politique nationale, du moins ceux du camp de l’Opposition jouent sur la vie de tous les malagasy. Ils s’amusent des volte-face et à des entêtements.
Le samedi 23 septembre, le Collectif des 11 candidats, par la voix de leur porte-parole Ratsiraka Roland, déclare qu’il est pour le maintien de la date du premier tour pour le 9 novembre 2023. En effet, au cours d’un point de presse ce samedi 23 septembre-là, les onze candidats ont pris une résolution à l’issue d’une rencontre à l’Hôtel le Louvre avec 50 députés qu’ils affichent le maintien du premier tour du 9 novembre. Seulement, une position qu’ils n’ont nul problème à se raviser plus tard. Réduit à dix, le Collectif change et refuse la tenue du premier tour. Puis, ils rejettent totalement le principe de la tenue de l’élection. Des pirouettes qui tournent au gré du vent. Instabilité ou manque de maturité ? A chacun de le définir. Compte tenu de ce revirement à tout moment, les candidats issus du camp de l’Opposition font preuve d’incohérence qui, au final, porte préjudice à la crédibilité de leur stature et aux très sensibles intérêts de la Nation. A travers leur obstination à rejeter l’ensemble du processus électoral, ils précipitent le pays dans l’impasse et bousculent la Nation aux abysses. Une situation critique qui mène tout droit vers l’ingérable sinon l’échec. Or, nous le savons tous qu’il n’y a aucun salut pour Madagasikara sans passer par les urnes. Un passage obligé que personne ne pourra jamais snober, autrement on va rejoindre le sordide camp des putschistes que le monde jaloux de la vertu de la démocratie dénonce d’un seul revers.
Par ailleurs, des initiatives douteuses se lèvent et assombrirent davantage la conjoncture déjà en mauvaise posture au départ. La présidente de l’Assemblée nationale entourée de certaines personnalités qui se prennent pour des « sages » ou « Olobe » s’érigent en médiateurs. La démarche n’est pas répréhensible en soi sur le plan du principe néanmoins, elle risque de buter contre le refus catégorique du camp des « légalistes », les candidats qui se veulent respectueux de la loi. Ils trouvent absurdes de négocier ou de débattre sur un sujet qui n’en vaut pas la peine vis-à-vis de la loi en vigueur notamment au regard de la Constitution. Il n’y a nullement de faute de conscientiser le peuple à aller aux urnes. Il faudrait selon les vrais prétendants au Palais d’Iavoloha que chacun revoie sa copie et se remette aux bons soins des urnes, la seule et unique option vers la voie de sortie.
Ndrianaivo
La phase préparatoire achevée. Après quelques mois d’études techniques et stratégiques ainsi que le processus administratif, y compris l’acquisition du permis environnemental, la phase de construction du pipeline d’Efaho vient d’être lancée, hier. Celle-ci se concentre pour le moment sur les travaux de fossés. Le début du chantier, y compris les travaux de captage ainsi que les infrastructures de génie civil sont installés à Esalo, dans la Commune de Manambaro, Région d’Anosy. Deux stations de captage seront également mises en place au PK 31 et à Andranogo.
« Le projet continue d’avancer. Les diverses infrastructures y afférentes seront bientôt sur pied », avance Fidiniavo Ravokatra, ministre de l’Eau, de l’Assainissement et de l’Hygiène (MEAH). Aussi, il a été convenu avec l’entreprise d’ouvrage que la population de la Région sera priorisée dans les offres d’emplois relatives à ce projet d’envergure, à en croire le ministre de tutelle. Les compétences de la population locale seront mises en valeur, que ce soit pour les hommes que pour les femmes. D’un autre côté, l’arrivée de la prochaine cargaison transportant les grands tuyaux ou pipeline pour concrétiser le projet est attendue pour bientôt. Ceci après la première cargaison de 1.000 grands tuyaux arrivés en fin septembre dernier.
Le démarrage de la phase de construction s’est tenu en présence du numéro Un du MEAH, assisté par les gouverneurs des Régions d’Anosy et d’Androy, des représentants de l’entreprise chargée de ce grand chantier ainsi que ceux d’Esalo et d’Ambovombe, principaux bénéficiaires de ce projet d’envergure. Lors de sa rencontre avec la population locale, le ministre Fidiniavo Ravokatra a avancé que 10 % de la rivière d’Efaho peuvent assurer la mise en œuvre de ce projet d’approvisionnement en eau potable pour 60 villages du Sud. D’autres projets sont en vue pour l’irrigation des rizières et champs de culture.
A titre de rappel, le pipeline géant de 97 km va permettre d’assurer l’adduction en eau potable dans ces localités où la sécheresse constitue un frein au développement. 500.000 habitants en constitueront les principaux bénéficiaires. De plus, 80.000 ha de terres agricoles seront irriguées et 120 points d'eau destinés au bétail seront également mis en place. Ce projet va changer l’histoire du Sud de Madagascar, d’après l’ancien Président de la République, Andry Rajoelina, lors du lancement des travaux en avril dernier.
Recueillis par P.R.
Les litiges fonciers au premier plan. Le Bureau de doléances auprès de la Présidence a reçu 10.012 dossiers entre février 2019 et le 31 octobre 2023, soit en 4 ans et 8 mois. Ces doléances émanent de tous les horizons sociaux, économiques, syndicaux, culturels et religieux partout à Madagascar. Selon les informations recueillies, 8 dossiers sur 10 concernent les litiges fonciers non résolus depuis 10 à 40 ans. Leur résolution se fait progressivement ces derniers temps. 10 % des dossiers touchent des affaires sociales, à l'exemple des pensions non reçues, des salaires impayés, des problèmes familiaux ou conjugaux ou encore des soucis de santé ou de décès. Les 10 % restants concernent les factures impayées, les escroqueries et d'autres problèmes sociaux.
« Parmi ces dossiers de doléances, 5.651 sont presque résolus, soit 56,44 %. Toutefois, les petits problèmes restent en instance pour diverses raisons. Le manque de preuves, de clarté ou encore les pièces manquantes, la complexité des cas, le problème de proximité, etc., en font partie », explique Richardson Rakotomanana, directeur du Bureau de doléances. Ce dernier étant, notons-le, un bureau placé directement sous l'autorité du Président de la République et non un Organisme rattaché auprès de la Présidence. Il reste un organe moral qui collabore avec toutes les institutions de l'Etat, les entreprises ainsi que certaines entités religieuses.
P.R.
Après le choc de dimanche dernier, le milieu de terrain Hesperangeois a pris l’avion avec son adversaire du jour, le Dudelangeois Sylvio Ouassiero, pour devenir… international malagasy. N’importe où, n’importe quand ! Fier d’être sur la pelouse, le futur international malagasy s’exprime sur sa page Facebook à l’effigie de Madagascar.
Convoqué par le sélectionneur malagasy, Romuald Rakotondrabe, pour les deux matchs des Barea de Madagascar en vue de la qualification à la Coupe du Monde de football 2026, face au Ghana et le Tchad, Clément Couturier a accordé une interview au journal luxembourgeois « Le Quotidien » sur sa sélection qu'il qualifie d’« inattendue ».
Rappelons que c'est lui qui a exprimé son intérêt pour l’équipe nationale depuis qu’il a découvert que son grand-père a une origine malagasy. Il a par la suite eu une discussion avec Justin Randriantsoaray, un ancien international malagasy et actuel membre actif du staff technique de Swift Hesperange. Par ailleurs, Clément Couturier est marié à une femme malagasy. Mais Clément a bien précisé que ce n’est pas grâce à son mariage.
« Je n’ai toujours vraiment pas compris. Justin m’en a toujours parlé depuis quelque temps et c’est le bout d’un processus de plusieurs mois qui arrive. Ils sont venus me solliciter si cela m’intéressait. J’ai dit oui mais que je ne voyais pas comment ? Ils m’ont répondu : « Oh ! Tu es Français, il y a toujours une possibilité. » Alors j’ai cherché dans mon arbre généalogique et j'ai réussi à trouver dans un de mes ancêtres.
« Je leur ai dit aux gens de la Fédération : je suis blanc, comment ça va se passer ? On m’a dit de ne pas m’inquiéter. Moi-même, je n’ai jamais été à Madagascar mais cela n’arrivera qu’en mars si je suis rappelé. Là, on va jouer au Ghana puis au Maroc. Je suis curieux de ce qui m’attend », confie le nouveau membre des Barea.
Le milieu de terrain de 30 ans du Swift Hesperange, en première division en BGL Ligue du Championnat de Luxembourg, Clément Couturier explique qu'il a pu être sélectionné grâce à son grand-père qui a une origine malagasy.
Rappelons que le nouveau Barea de 30ans a déjà disputé la Coupe de France avec les Herbiers contre Paris Saint-Germain en 2018. Il a disputé l’Europa League face à des grands clubs comme l’AC Milan, l’Olympiakos, ou Betis Séville. C’est un joueur capé des grandes compétitions.
Cette année, il a disputé l’UEFA Europa Conférences League avec son club de Swift Hesperange de Luxembourg.
Apparemment, ce mois de novembre est riche en évènements pour les amateurs d’art et de musique. Pendant que les événements dédiés aux geeks tels que « Novembre numérique » et « Mois de la photo » battent leur plein à l’Institut français de Madagascar (IFM), sis à Analakely et à l’Alliance française de Tananarive (AFT), Andavamamba, le show baptisé « November Rock » s’apprête à enflammer la scène pour ravir et décoiffer les férus de « hard rock » de la Capitale.
Rheg Rakotonirina et ses complices de scène sont restés en disette durant quelques mois. Il est temps ainsi pour le groupe d’effectuer un concert en solo. A cet effet, par le biais d’Oto Prod By Reg, l’événement mettra à l’affiche les « Rheg The Gang ». Il s’agit d’un autre grand rendez-vous, mais cette fois-ci dédié aux fans de la musique métal. C’est ce que réserve la scène de l’institution Sainte Famille, Mahamasina , ce dimanche 19 novembre à partir de 14h 58. Des sons « Metal », « Heavy metal », « Hardcore »,… seront au menu. Les fans de musique extrême de la Grande île vont être comblés de bonheur et de satisfaction. Plus de trois heures de riffs de guitares électriques vont résonner dans les oreilles des spectateurs.
Avec ses 23 ans d’expériences scéniques, « Rheg The Gang » proposera un set de « heavy metal », un peu de soft mélangé aux riffs endiablés. Bref, le groupe va offrir au public des mélodies fines et audibles à souhait. Les spectateurs auront droit aux langoureux titres ayant fait la réputation du groupe tels que « Maditra », « Voady » ainsi que les morceaux extraits de son dernier album « Antsikany rock ». Cet événement se présente comme une occasion incontournable de célébrer la diversité culturelle à travers la musique et de découvrir un groupe aux sonorités uniques. Comme à l’accoutumée, Rheg va faire revivre quelques heures de rock tumultueux, à coups de guitares rugissantes et de rythmiques puissantes. Ce chanteur, crieur et rageur, envoûtera le public grâce à sa voix survoltée, rauque et puissante. Dans quelques jours, les amateurs de musique à hauts décibels pourront ainsi découvrir « Rheg The Gang » dans toute sa splendeur. Un concert à ne pas rater !
Si.R