Un jeune homme de 14 ans, scout au niveau d'une église catholique à Ambohitrimanjaka, a disparu depuis le 26 juillet dernier. Réprimandé à la suite d'une faute par sa mère, le jeune homme a quitté le foyer parental pour ne plus donner signe de vie, depuis.
Malgré cela, et la vive inquiétude que suscite sa disparition chez ses parents, le jeune homme aurait été repéré, au moins deux fois, dans différents endroits. Mais jamais, ses proches n'ont réussi à le retenir et le ramener à la maison. « La première fois, des gens de notre connaissance l'ont repéré près du pont à Andranomena et nous avaient informé. Nous avons beau nous rendre à l'endroit pour l'y retrouver et attendre à ce qu'il se manifeste, mais peine perdue ! Nous sommes rentrés bredouilles », explique le père du jeune homme.
Vers 17h dimanche dernier, 23 bandits armés dont deux femmes ont fait incursion dans la localité d'Ambodimanga Sahananto, Commune de Mangabe, à 65 km de Toamasina. Les assaillants y ont perpétré une série d'agressions lesquelles ont visé des grossistes et autres cibles. Pire, lesdits assaillants ont assassiné la femme d'un grossiste chez qui ils ont demandé une rançon. Ils l'ont rouée de coups jusqu'à ce que mort s'ensuive. Enfin, ces bandits équipés de Kalachnikov et autres fusils MAS 36 ont emmené 6 villageois en otage avant qu'ils ne s'enfuient en direction d'Antenina, Ambatondrazaka. Un dahalo fut blessé au cours de la résistance héroïque des villageois, et ses camarades l'ont emmené avec eux. Mais une fois qu'ils étaient arrivés dans une zone tampon, sise à la lisière d'Ambatondrazaka, les ravisseurs ont relâché les otages. « Les assaillants ont visiblement l'intention de se retrancher au fond de la zone de Zahamena, cette végétation touffue de l'Alaotra-Mangoro où aucun des poursuivants, des membres du Fokonolona lancés à leur poursuite n'osent pas les y affronter », explique une source d'information locale.
Devant l’attitude de quelques habitants de la Commune d’Ambohidrapeto, les autorités communales ont prévenu ceux qui jettent encore des déchets dans la rue qu’ils encourent une amende de 10.000 ariary.
En effet, le maire a décidé que si la campagne de sensibilisation ne marche pas et que les mauvaises habitudes de certains habitants dans sa Circonscription continuent, la Commune va traquer ceux qui jettent sciemment leurs déchets sur la voie publique.
Cette action entre dans le cadre de la lute contre les maladies engendrées par la saleté et l’insalubrité comme la gale, la peste et la poliomyélite. Il s’agit aussi d’avoir une Commune où il fait bon vivre avec de l’air pur. « La propreté et la bonne santé sont acquis en commençant par le respect de soi. Celui qui ne salit pas participe déjà à l’assainissement », selon le slogan de la Commune.
Les fêtes en tout genre, notamment les bals et les veillées nocturnes, font rage dans la capitale du Boeny en cette période de vacances. A la suite de nombreuses plaintes émises par les habitants, la Commune urbaine de Mahajanga ont mis en garde ceux qui continuent de faire des tapages nocturnes, en particulier ceux qui mettent de la musique à fond durant les heures de sommeil.
La loi existe déjà depuis des années, mais n’a pas simplement été appliquée. En effet, selon l’article 473, alinéa 13 du Code pénal, « seront punis d’une amende allant de 2.000 ariary jusqu’à 100.000 ariary, outre un emprisonnement allant jusqu’à vingt-neuf jours (…) les auteurs ou complices de bruits, tapages ou attroupements injurieux ou nocturnes troublant la tranquillité des habitants ».
Dans la précédente édition, nous avions eu l’occasion de développer un thème évoquant un besoin national pressant intitulé « la nécessité nationale ». Il a été question de la nécessité de reconsidérer à fond l’enseignement de l’éducation civique dans le programme scolaire et dans l’éducation de masse. L’Etat, la société civile et les ONG à vocation socio-éducative doivent se donner la main. C’est une mission nationale. A noter que les missionnaires de la SADC, lors de leur rapport de fin de mission, ont vivement recommandé auprès de la HCC et de la CENI, entités en charge des élections à Madagasikara, de bien vouloir inculquer l’éducation civique à l’intention des citoyens électeurs. A toutes et à tous atteignant l’âge de 18 ans.
Optimiste. D’après un compte rendu publié, hier, dans la newsletter du ministère de l'Industrialisation, du Commerce et de la Consommation (MICC) Madagascar - souhaitant parvenir à l'autosuffisance alimentaire- a constaté une augmentation de sa production alimentaire. Malgré ces progrès, le pays continue d'importer diverses marchandises pour répondre aux besoins de la population. Selon des données statistiques récentes couvrant le premier semestre de l'année 2023, Madagascar a importé environ 218 006,3 tonnes de riz, alors que les besoins estimés à 500 000 tonnes. En ce qui concerne le sucre, les importations ont atteint 65 150 tonnes sur une demande totale de 90 000 tonnes.
Après avoir assisté dans la matinée d'hier au Business Forum Rwanda-Madagascar, au cours de laquelle il a souligné l'importance du secteur privé dans la conduite des ambitions de développement de tout pays, le Président Andry Rajoelina s'est entretenu pendant un tour d'horloge avec son homologue rwandais, le Président Paul Kagame, dans les bureaux de celui-ci au Palais d'Etat au Urugwiro village de Kigali, au KG7 Avenue 53.
Dynamiser les secteurs de la pêche, de l'aquaculture, du tourisme dans les Régions de Boeny, Diana, Atsinanana, Menabe et Atsimo-Andrefana. C’est sur ce principe qu’un communiqué conjoint a été publié hier par AISforum et NextA. Une opportunité transformative pour les habitants desdites Régions de Boeny, Diana, Atsinanana, Menabe et Atsimo-Andrefana. L'initiative « AIS Innovation Challenge On Blue Economy » vise à stimuler le développement économique durable dans ces Régions en se concentrant sur divers domaines tels que la pêche, l'aquaculture, le tourisme, la biotechnologie marine, l'énergie marine renouvelable et la gestion des déchets.
L’ambiance était bon enfant ce week-end au gymnase couvert Soavita, à Toamasina, ville hôte du jeu national, organisé par l’Association interministérielle pour l'entretien des fonctionnaires ou ASIEF. Pour une grande première, l’ASIEF, présidée par Jean Aimé Andrianarison alias John Love, a réussi à réunir tous les membres du Gouvernement autour d'un match de gala.