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Que le meilleur gagne !

Publié le mercredi, 29 mai 2024

Le peuple a voté. Le scrutin des législatives s’est déroulé sans incidents significatifs sur toute l’étendue  du territoire national. A travers les 24 Régions, 120 Districts, que composent la République Malagasy, les élections se passaient dans le calme en général. Les quelques anomalies, inéluctables à toute élection, sans  importances majeures constatées auprès de quelques bureaux de vote n’ont pas entaché le caractère correct selon la règle de la démocratie du vote dans l’ensemble du pays. Espérons que les observateurs nationaux et internationaux n’aient pas à déplorer des incidents graves risquant de porter atteinte à l’honorabilité du scrutin.

Radical. Le ministère du Développement numérique impose des mesures strictes pour réduire les prix de l'internet mobile à Madagascar. Tahina Razafindramalo a récemment annoncé des actions concrètes pour contraindre les opérateurs télécoms à réduire les tarifs de l'internet mobile, suite à la suppression du prix plancher. Il a précisé que des mesures sévères seront prises par le Gouvernement si les opérateurs n'ajustent pas leurs tarifs à la baisse. A l’occasion la célébration de la Journée mondiale des télécommunications au Novotel Alarobia, mardi dernier, le ministre a souligné que l'Etat ne tolérera aucun manquement.

Une porte d’entrée et une grande opportunité à saisir pour les artistes malagasy de s’exposer au monde. Tel est l’avantage de participer à un événement d’envergure comme le Marché des musiques de l’océan Indien qui se tiendra du 4 au 6 juin à Saint-Pierre (La Réunion). Pour cette 10e édition, la Grande île sera représentée par deux groupes à savoir, Lovana et Claudio Rabe. Lovana, un quator composé de Golly et Bema chanteuse et percussionniste originaire de Madagascar, et Aurèle, producteur et batteur Nantais, se produira le 4 juin à 19h, qui devrait présenter un répertoire à la croisée des traditions musicales de l’île et des musiques électroniques.

Hier, jour d’élections législatives, les réseaux sociaux ont été inondés de publications et de vidéos dénonçant des tentatives de fraude électorale, principalement attribuées aux candidats du parti au pouvoir. Ces allégations, largement relayées par les membres de l’Opposition, ont suscité une vive polémique.

Dès les premières heures du scrutin, des leaders de l’Opposition et leurs partisans ont partagé des images, des vidéos ou des enregistrements sonores sur Facebook, prétendant montrer des irrégularités et des actes de fraude. Parmi les accusations les plus fréquentes figuraient le bourrage d'urnes, l'achat de votes, la signature des registres avant même l’ouverture des bureaux de vote, ainsi que l’utilisation de faux Procès-verbaux (PV) insérés à l’insu des délégués de vote. Des accusations d'intimidation de la part d'hommes proches de candidats de la coalition au pouvoir ont aussi été véhiculées. 

ACTU-BREVES

Publié le mercredi, 29 mai 2024

Spécial Législatives

Election : le courant coupé au moment du début de décompte des voix. Vers 17h, le décompte des voix des législatives a débuté dans plusieurs bureaux de vote de la Capitale. Malheureusement, la séance s'est déroulée dans la pénombre en raison d'une coupure d'électricité. Les participants ont dû utiliser la lumière des lampes torches des téléphones portables et d'autres sources lumineuses pour poursuivre l'opération. La JIRAMA a expliqué que l'interruption de courant était due à un déclenchement de la barre 63kV à Ambohimanambola, conséquence du déclenchement de la ligne Tana Sud-PIA Ambohimanambola. Cette situation a entraîné une interruption de l'alimentation en électricité dans plusieurs localités du Réseau Interconnecté d'Antananarivo. Les techniciens de la Jirama « High Voltage » ont rapidement pris en charge la réparation du dommage, permettant ainsi de rétablir l'alimentation électrique dans les zones affectées. Dans l'ensemble, malgré cette interruption, le dépouillement des bulletins de vote s'est déroulé sans encombre dans la plupart des cas, démontrant la résilience des participants face à cette situation imprévue.

Et les îles Eparses ?

Publié le lundi, 27 mai 2024


On n’en parle plus ! Sujet tabou, interdit ou fâcheux ? Ou tout simplement relégué au second ? Ou carrément, balancé dans l’oubli ?
Que de questionnements autour du sort réservé à ces joyaux baignant le Canal de Mozambique ! Cheval de bataille du candidat numéro treize durant la campagne présidentielle de 2018 qui a enthousiasmé l’audience, les îles Eparses furent quasi absentes lors de 2023. En tout cas, elles disparaissent de l’écran de radar des grands débats. Et même certaines formations politiques qui ont affiché leur engagement à la lutte pour la restitution de ces îles semblent ignorer. La presse non plus n’a pas fait grand cas. Elle les a quelque peu oubliées. Sans parler de l’omission généralisée des candidats députés d’évoquer le cas des îles Eparses. Les députés élus pourront bien proposer d’insérer dans l’ordre du jour le cas des îles Eparses.
Incluses dans ce qu’on appelait « Madagascar et dépendances » durant toute l’époque de la colonisation, elles font naturellement partie du grand ensemble qui constitue la Grande île. Faisaient d’ailleurs partie de « Madagascar et dépendances », la Grande île (la terre ferme), Nosy Be, les petits îlots autour, Sainte-Marie, les îles Eparses d’une part et les Comores, Mayotte comprise d’autre part.
Le concept revendiquant l’appartenance des îles Eparses au territoire de la République Malagasy repose sur des faits réels et fermement fondés, sur des bases historiques et géographiques indiscutables et irrévocables. En principe, les îles Eparses devaient figurer sur les composantes naturelles de Madagasikara lors des transferts de compétences territoriales en 1960 entre l’ancienne puissance coloniale et la jeune République Malagasy. Par un manège bien calculé, les îles Eparses furent subrepticement retirées du territoire national malagasy au moment du retour à l’indépendance de Madagasikara. Lors de négociations de nouveaux « Accords de coopération » en 1972 – 1973, la délégation malagasy conduite par le jeune officier de la Marine Didier Ratsiraka, alors ministre des Affaires étrangères du Gouvernement Ramanantsoa, remettait sur la table le cas des îles Eparses. La France a réussi à éluder le sujet … fâcheux pour maintenir le statu quo. Arrivé au pouvoir à partir de 1975, non satisfait du sort des îles Eparses, l’Amiral Ratsiraka portait l’affaire devant les Instances des Nations Unies. Il avait gagné cause. L’ONU reconnait l’appartenance des îles Eparses au territoire de la République malagasy. Par deux résolutions, non contraignantes, de 1978 et de 1980, l’Assemblée générale invite la France à engager les négociations pour rétrocéder  les îles Eparses à Madagasikara. Mais, la France ignore indifféremment  lesdites Résolutions. Pire, en 2019, le président français Emmanuel Macron déclarait sur les Grandes Glorieuses « Ici, c’est la France ! » Un affront que tous les Malagasy jaloux de la souveraineté de leur territoire national ne parviennent à digérer jusqu’à l’heure. Depuis 2018, le sujet se fait éclipser totalement. Tout comme si Madagasikara recule pour de bon ! Négatif ! Chaque chose a son temps ! Dit-on.
Que la France sache, pour sa gouverne, que Madagasikara n’abandonnera jamais les îles Eparses. Ce n’est que partie remise. On aura tout notre temps. L’idée de « co-gestion » émise par la France  n’aboutit pas ! Un jour ou l’autre, les îles Eparses reviendront dans sa totalité au bercail !


La une du 28 mai 2024

Publié le lundi, 27 mai 2024

Actu-brèves

Publié le lundi, 27 mai 2024


Installation d'un pipeline reliant Mandroseza à Ambohidepona envisagée. Face au manque de puissance pour pomper l’eau dans les réservoirs, et notamment du côté d’Ambohidepona, la JIRAMA envisage de créer un pipeline le reliant directement au lac de Mandroseza. En effet, cette infrastructure est vitale pour l’alimentation en eau de plusieurs quartiers à forte densité comme Ankatso, Antsahameva, Tsiadana, Andrainarivo, Andraisoro, Ampandrianomby, Tsarahonenana, Ampasampito.  Cela a été évoqué lors d’une visite des lieux, hier, par le ministre de l’Eau, de l’Hygiène et de l’Assainissement, accompagné par le directeur général de la JIRAMA à Ambohidepona.
En attendant ces solutions à moyen terme, les efforts pour résoudre les problèmes techniques de la JIRAMA se poursuivent. Parmi les initiatives en cours, 46 forages ont déjà été réalisés et sept nouvelles unités de traitement d'eau sont prévues à Antananarivo pour exploiter les eaux souterraines. L'unité de traitement d'Andraisoro, récemment achevée, a été mise à disposition de la population locale et fournira de l'eau potable aux habitants d'Antsahameva et d’Ambaniatsimo qui n'avaient pas accès à l'eau.


20 Observateurs internationaux seront sur le terrain  pour les législatives. Une vingtaine d'observateurs internationaux seront déployés lors des prochaines élections législatives prévues pour le 29 mai. Ces observateurs joueront un rôle crucial dans la supervision du déroulement des élections, provenant d'organisations renommées et apportant une diversité d'expertises. Le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) sera activement impliqué dans cette mission d'observation, soulignant l'engagement des Nations Unies en faveur de la démocratie et de la transparence. De plus, les représentations diplomatiques du Royaume-Uni, des Etats-Unis et de l'Union européenne apporteront un soutien crucial à cette démarche pour renforcer la démocratie à Madagascar. Trois organisations majeures, l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF), l'Union africaine (UA) et la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC) se mobiliseront également pour surveiller attentivement le bon déroulement des élections législatives. Leur présence met en lumière l'importance accordée par la communauté internationale à des élections justes et transparentes à Madagascar.



Renforcer et appuyer le BIANCO dans la lutte contre la corruption. La "Plateforme des réseaux d'acteurs (PRA)" incarne un espoir tangible pour un avenir où la préservation de l'environnement et la lutte contre la corruption vont de pair pour le bien-être des générations futures. En effet, considérant la recrudescence des délits et infractions contre la biodiversité et les écosystèmes, une initiative novatrice a été mise en place. Différents acteurs se sont réunis pour former la Plateforme afin de lutter contre ce fléau.  « La PRA regroupe des organes gouvernementaux, des Forces de l'ordre, des ONG, des représentants de la société civile et du secteur privé. Sa mission principale est de fournir une assistance technique à la direction territoriale du Bureau indépendant Anti-Corruption (BIANCO) et de promouvoir la transparence et la responsabilité dans la lutte contre la corruption », selon le WWF. D’ailleurs en tant que  membre actif de la plateforme, ce dernier s'engage pleinement à renforcer son soutien et son implication dans la lutte contre le trafic de ressources naturelles et la corruption associée. Cette démarche vise à protéger les moyens de subsistance des communautés locales et à préserver la richesse naturelle de Madagascar et de ses paysages d'intervention.



Mahajanga : la Route de Tsararano Ambony coupée pour cause de travaux. La Commune urbaine de Mahajanga a annoncé que la route connue sous le nom de "ligne 13" sera temporairement coupée pour une durée d'au moins deux mois. Cette mesure affectera la circulation des habitants de la ville portuaire entre le croisement de la route de l'Université et le Collège Victoire Rasoamanarivo de Tsararano Ambony. La coupure prendra effet dès aujourd'hui. Selon les explications fournies, cette interruption de la circulation est nécessaire en raison de la réhabilitation de cet axe routier. Les travaux prévus ont une durée d'exécution estimée à deux mois. Il est important que les usagers se conforment aux directives des techniciens sur place afin de ne pas perturber le bon déroulement des travaux. La Commune encourage les habitants concernés à coopérer et à respecter les consignes émises par les équipes techniques en charge des travaux. Cette collaboration est essentielle pour éviter tout incident fâcheux pouvant survenir pendant cette période de coupure de la Route de Tsararano Ambony.


Après Toamasina, le Président Andry Rajoelina a enchaîné sa tournée par une série de visites dans les Districts de Brickaville et d’Ambatondrazaka hier. Il a entamé la journée à Brickaville pour la remise d’une unité industrielle de production de chips aux membres de la coopérative « Tanjona Mamokatra ». Mise en place dans le cadre du programme One District One Factory (ODOF), cette usine dispose d’une capacité de production de 400 kg de chips par jour. Ses produits sont diversifiés à partir de produits locaux tels que le pain fruitier, la banane plantain, le manioc, la patate douce et la pomme de terre. Elle inclut également l’empaquetage et le packaging des produits d’exportation comme la vanille, la cannelle et le poivre dans ses activités.
« Grâce au programme ODOF, notre objectif est de produire localement ce dont la population a besoin au quotidien », a déclaré le Président Andry Rajoelina. Le Chef de l’Etat a ensuite rencontré la population au stade de Brickaville où il a remis symboliquement des chèques de financement aux Communes bénéficiaires du Pôle intégré de Croissance (PIC) en collaboration avec la Banque mondiale. Dans le cadre du Projet d’Urgence du renforcement de la production alimentaire (PURPA), 150 agriculteurs ont reçu des intrants agricoles pour soutenir leurs activités. En outre, 2380 ménages ont bénéficié de kits solaires « Hazavana ho Anao ».
Le District d’Ambatondrazaka gâté
Le Président Rajoelina a, par la suite, pris la direction du District d’Ambatondrazaka où il a procédé au  lancement de la centrale hybride de Tsararivotra. Avec une puissance solaire installée de 1053 kW et une puissance thermique installée de 3,5 MW, cette centrale hybride répond aux besoins de toute la ville en matière d’électricité. Au cours d’une rencontre avec la population au stade manara-penitra Rasolonjatovo, le  Chef de l’Etat a rappelé que la ville d’Ambatondrazaka bénéficie déjà de plusieurs infrastructures flambant neuves telles que le stade, les Ecoles primaires publiques (EPP) et la Route nationale 44 (RN44).
D’autres infrastructures sont également en cours de construction à l’instar de hôpital manara-penitra ou encore l’université d’Ambatondrazaka. « Nous devons apporter des solutions pour répondre aux besoins de la population et je suis là pour ça, », a déclaré le Président. Lors de cette visite, 5329 foyers ont également reçu des kits solaires « Hazavana ho Anao ».
La Rédaction



Pratiqués par des centaines de familles de paysans producteurs dans la Région d’Analamanga. Les vers de terre sont des organismes clés du sol qui fournissent une multitude de services écosystémiques pour améliorer l’agriculture et assurer la résilience du système aux changements globaux. Ils peuvent être utilisés pour la fabrication de lombricompost, un fertilisant organique permettant à la fois d’augmenter le rendement et d’améliorer durablement les propriétés physico-chimiques et biologique du sol. Jean De Dieu Razafindrakoto, paysan producteur dans le Fokontany de Tsienimasoandro, dans la Commune d’Imerintsiatosika, en témoigne. « Je pratique l’élevage de vers de terre et j’utilise le lombricompost pour mes activités agricoles depuis 2019. Depuis, j’ai constaté que le sol devient de plus en plus fertile et la récolte s’améliore d’année en année. De plus, le délai de conservation des produits agricoles est moins limité avec l’utilisation du lombricompost, combiné avec d’autres engrais organiques », nous confie cet agriculteur disposant de 15a de surface cultivée. « Auparavant, un tiers des tomates et pommes de terre récoltés sont pourris, toujours à cause de l’utilisation d’engrais chimiques. Mais depuis que nous optons pour le lombricompost, un genre d’engrais amélioré, il y a moins de légumes abimés », ajoute-t-il. Pour obtenir du lombricompost, les agriculteurs fabriquent du pré-compost, servant de repas pour les vers de terre qu’ils élèvent dans des bacs.

Innovations fondées sur la nature
Focus sur la valorisation des espèces autochtones de vers de terre. Ces dernières sont indispensables tant pour la fertilité des sols que pour le lombricompostage et la lombriculture. De nombreux chercheurs, représentants des ministères ainsi que ceux des bailleurs se sont réunis au Carlton, Anosy, le 23 mai dernier, lors d’une journée d’échanges et de réflexion intitulée « innovations fondées sur la nature : vers de terre et lombricompost pour la durabilité agricole et la sécurité alimentaire ».
« Les avantages tirés des vers de terre et du lombricompostage sont moins connus à Madagascar. Mais avec les deux projets mis en œuvre, à savoir "AFD-GDN" et "Innov’Earth", davantage de paysans producteurs œuvrant dans l’agriculture, l’élevage et la pêche en sont conscients », avance Manoarifetra Raminoarison, chercheur auprès du Laboratoire des Radio-Isotopes (LRI) de l’Université d’Antananarivo. « Les agriculteurs enregistrent une hausse de leurs rendements de 100 kg à une tonne et demi par hectare, grâce au lombricompst. Le projet "Innov’Earth" cible jusqu’ici les petites exploitations tropicales, garantissant l’autoconsommation et la sécurité alimentaire des ménages », ajoute Malalatiana Razafindrakoto, chercheur au LRI. La mise en œuvre de ces deux projets se font conjointement avec le LRI, l’Institut de recherche pour le développement et le Centre de recherche agronomique pour le développement.
Recueillis par P.R.

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Editorial

  • Post – pillage
    Le redressement post-pillage s’organise. Une cellule du genre comité de pilotage se met en place pour étudier au cas par cas et évaluer le cas échéant les besoins en collaboration avec les représentants directs des « sinistrés ». Constatant les dégâts potentiellement dévastateurs et les ruines subies en un coup de vent par les opérateurs, le Gouvernement prend ses responsabilités. Dans les faits, l’Etat va agir en tant que facilitateur dans toutes les démarches auprès des banques ou autres institutions dispensatrices de crédit. Il (l’Etat) prendra en charge en totalité les intérêts bancaires. L’objectif étant de permettre aux opérateurs ou propriétaires victimes de vandale, de braquage ou de pillage de se remettre dans les meilleurs délais.

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