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Modernisation. C’est en ce sens que la Banque européenne d’investissement (BEI) a annoncé récemment le décaissement de 73,6 millions d’euros (environ 343 milliards d’ariary) à l’Agence routière pour les travaux en cours sur la RN13 et la RN6. La raison étant que les réseaux routiers de Madagascar figurent parmi les moins développés au monde. La densité routière n'est que de 5,4 km par 100 km2, et la plupart de ses routes nationales et locales sont en terre battue et en mauvais état.

A vos objectifs. La candidature à la douzième édition du prix de la photographie africaine contemporaine est ouverte. Les candidats auront jusqu'au 7 février 2023 pour envoyer leurs dossiers. Cinq photographes seront sélectionnés par un jury composé de 23 personnalités, commissaires, éditeurs et artistes. Le « Cap Prize » est un prix international de la photographie créé en 2012 par le Suisse Benjamin Füglister. Il récompense chaque année cinq photographes dont le travail a été réalisé en Afrique ou en relation avec la diaspora africaine. Sans restriction d'âge, de sexe ou de nationalité, le concours est gratuit et ne nécessite aucun frais de participation. 

Une matinée solennelle, hier à la Cour suprême à Anosy. Le nouveau procureur général auprès de cette éminente juridiction, Rakotomandimby Benjamin Alexis, a prêté serment, hier, au cours d'une cérémonie tenue en présence du Président Andry Rajoelina. Ce fut également l'occasion pour son intégration officielle en tant que membre de la Haute Cour de justice (HCJ). Etant la plus haute instance juridictionnelle de  Madagascar, la Cour suprême est  dirigée  par le  Premier président et le procureur général.

Fonctionnaires - Les salaires versés depuis hier

Publié le lundi, 19 décembre 2022

Les agents de l'Etat poussent un ouf de soulagement. Après quelques jours d'incertitude, le paiement des rémunérations de leur salaire est effectif depuis les dernières heures. Les agents non détenteurs d'un compte bancaire peuvent récupérer leurs bons de caisse et retirer leur salaire au niveau des guichets du Trésor public, selon les explications de sources au niveau du ministère de l'Economie et des Finances.

La une du 19 décembre 2022

Publié le dimanche, 18 décembre 2022


Il aura fallu 90 minutes de temps réglementaire, 30 minutes de prolongation et une séance de tirs au but pour faire la décision, mais l’Argentine est championne du monde pour la troisième fois de son histoire. Et ce, au terme d’une finale d’anthologie. Maintenue en vie par un héroïque Kylian Mbappé, la France ne plie que lors de la séance de tirs au but perdue  (2 – 4).  Lionel Messi pour sa toute dernière coupe du monde est enfin sacré.
Trente-six ans après que Diego Armando Maradona s’est frayé un chemin à travers la défense anglaise pour marquer ce qu’on appelle encore aujourd’hui le « but du siècle » lors de la coupe du monde de 1986, l’Argentine est de nouveau championne du monde de football. Messi a écrit le coup de maître final et brillant d’une carrière qui a laissé le remarquable Kylian Mbappé et les champions du monde en titre dans leur sillage. Messi a marqué deux fois pour amener l’Argentine à une séance de tirs au but victorieux après un match nul exaltant au stade Lusail, hier au Qatar.
C’est la troisième victoire de l’Argentine en coupe du monde et sa première depuis 1986. Un titre qui permet à Messi de sortir définitivement de l’ombre de son illustre aïeul Maradona. La France a rattrapé un déficit de deux buts en moins de deux minutes grâce à deux buts de Mbappé, durant cette nuit d’anthologie. Messi a marqué son deuxième à la 109e minute avant que Mbappé ne termine son coup de chapeau grâce à un penalty à trois minutes de la fin de la prolongation, pour décrocher la séance de tirs au but. Une séance conclue par Gonzalo Montiel, pas le plus connu des Argentins, dont le tir a été contré. Mais les étoiles étaient définitivement du côté de l’Argentine qui remporte la séance 4-2 et l’une des plus grandes coupes du monde jamais disputées.
La France, championne en titre, cherchait à devenir la première équipe à remporter des titres de coupe du monde consécutifs en 60 ans après le Brésil en 1958 et 1962. Malgré la défaite, le hat-trick de Kylian Mbappé lui vaudra le soulier d’or, décerné au meilleur buteur du tournoi avec 8 buts. Compétition durant laquelle l’Argentine n’aura douté que le temps d’un match. L’équipe de Lionel Scaloni était arrivée au Qatar en pleine confiance.
Les « blancs et bleus» arrivés invaincus depuis 41 matchs, concluent avec une Copa america le premier titre national de Lionel Messi. Une série de victoires stoppée nette par l’Arabie Saoudite lors du match d’ouverture, la seule équipe à s’offrir le scalp des nouveaux champions du monde durant cette édition. La bande à Angel Di Maria, Paulo Dybala et consorts arriveront invaincus jusqu’en finale. Messi a soulevé le trophée remis par le président de la FIFA Gianni Infantino. Notons que l’Argentine a obtenu le plus de penalty durant cette compétition.
En tout cas, la « Pulga » a enfin accompli sa carrière. Il a tout gagné. A 35 ans, il avait remporté pratiquement tous les autres prix majeurs qu’un joueur de football peut remporter, et a maintenant la main sur le trophée qui lui échappait le plus. Messi qui est devenu hier soir le premier joueur de l’histoire de la coupe du monde à marquer à chaque tour de la compétition : la phase de groupes, les huitièmes de finale, les quarts de finale et les demi-finales avant ses deux buts d’hier. Aujourd’hui en tout cas, au-dessus de l’Albicéleste, il n’y a que le ciel.
Lalaina A.

Covid-19 - Le virus continue de tuer

Publié le dimanche, 18 décembre 2022



Un décès, un patient présentant la forme grave de la maladie, 63 personnes testées positives. Tel est le bilan épidémiologique de la semaine du 10 au 16 décembre 2022 pour Madagascar, selon les statistiques officielles publiées par le ministère de la Santé publique.

Malgré une baisse des nouveaux cas, qui ont été de 93 la semaine d’avant, la Covid-19 continue de sévir et de faire des victimes. 59 nouveaux cas et 4 autres par « tracing contact » ont été recensés à travers 851 tests. Cela porte à 200 le nombre actuel de patients atteints du coronavirus.

Encore une fois, c’est la Région d’Analamanga qui recense le plus grand nombre de nouveaux cas (51) et reste l’épicentre de l’épidémie. Vient ensuite la Région de Matsiatra-Ambony avec 5 cas positifs, puis celle d’Ihorombe et de Vakinankaratra avec deux nouveaux cas chacune. Trois autres Régions, à savoir Bongolava, Menabe et Anosy, ont respectivement recensé un nouveau cas.

Ainsi, le cumul de cas confirmés depuis l’apparition du virus à Madagascar en mars 2020 est actuellement de 67.684 sur les 521.617 tests réalisés. Le nombre des décès est de 1.415 à ce jour, équivalent à un taux de mortalité de 2,09 %. Par ailleurs, 66.069 personnes ont recouvré la santé, soit 97,61 % des patients.

Malgré une hausse des nouveaux cas ces derniers temps, les autorités n’ont pas encore annoncé officiellement le retour des mesures restrictives. Toutefois, des rappels à l’ordre et des sensibilisations sur les gestes barrières ont été réalisés par le ministère de la Santé publique. Cependant, ces mesures ne sont pas obligatoires.
Du côté de certains établissements privés, écoles et entreprises, les gestes barrières et le port du masque sont déjà appliqués à nouveau. Le contrôle des températures à l’entrée est devenu également effectif dans certains établissements scolaires. Tout cela a pour objectif de minimiser tout risque de contamination massive du coronavirus.
Par ailleurs, la recrudescence de la Covid-19 coïncide également avec une vague de forte grippe dans la Capitale. Mais aucun lien entre ces deux virus n’a pu être établi. Actuellement, on considère que ces deux maladies sont totalement indépendantes.
Nikki Razaf

Sommet décisif !

Publié le dimanche, 18 décembre 2022

2023 serait-elle déjà dans le sac ? Etant vu que l’année qui fera son entrée d’ici peu soit l’année de l’élection cruciale pour l’avenir du pays, il parait que, eu égard du déroulement fructueux du « US - Africa Summit Leaders » à Washington (USA) la semaine dernière, le sort soit joué.
Etant parmi les hôtes de marque conviésà ce sommet décisif, le Président Rajoelina Andry, à la tête d’une délégation, plaidait laborieusement pour la cause du continent et surtout celle de son pays. En gros, il s’agit de défendre les intérêts supérieurs des Africains, en général, et Malagasy en particulier auprès des bailleurs potentiels. Parmi les sujets majeurs à débattre sur table, on peut citer entre autres le maintien de la Grande île dans le giron de l’African Growth and Opportunity Act Forum (AGOA). Une immense et incontestable opportunité pour les Africains admis à évoluer à l’intérieur de ce cadre économique et commercial entre les Etats-Unis et le continent noir. L’actuel contrat prendra fin en 2025, il faut qu’on se prépare et fasse en sorte que le dossier malagasy soit admis de nouveau. Le Gouvernement malagasy n’a pas le droit de rater le coche ! D’après les informations provenant de Washington, le cas malagasy se trouve en bonne position pour être éligible à la reconduction.
L’autre point fondamental qui retient l’attention durant ce sommet décisif concerne l’élection dans tous ses états (financements, etc.) en 2023. Un sujet délicat sinon électrique qui met déjà en effervescence les esprits au sein des états-majors politiques. On s’entraine déjà sur le ring ! On gonfle le torse en exhibant les biceps et les triceps. Véritable démonstration de force pour les uns, de farce pour les autres.
Le tête-à-tête au sommet entre USA et Madagasikara portant essentiellement sur les élections de 2023 fait figure de bon augure. L’on sait que les Américains vont contribuer au financement de ce scrutin capital. Ils ne sont pas sans savoir que les Malagasy ont su faire preuve de maturité politique et en termes de démocratie en 2014 et en 2018 et ils en tiennent compte. Cerise sur le gâteau, on apprend que Madagasikara est éligible de nouveau au programme du Millenium Challenge Corporation (MCC).
L’affaire est-elle dans le sac ? Apparemment affirmative ! Les partenaires Outre-Atlantique affichent leur volonté à soutenir Madagasikara. Les impacts destructifs de la pandémie de Covid-19 et les conséquences désastreuses de la guerre en Ukraine ainsi que les effets dévastateurs du changement climatique frappent de plein fouet la Grande île. Les préparatifs en amont et en aval de l’élection de 2023 nécessitent de gros moyens. Ceci étant, la présence des partenaires de la taille des Américains aux côtés des Malagasy rassure une visibilité d’un lendemain qui risque de déchanter.
La volonté des organismes dispensateurs de crédit telle la BAD à réaffirmer leur soutien aux efforts de développement du pays confirme l’assertion selon laquelle le sommet US-Afrique de Washington constitue un pas décisif pour la réussite de 2023. En somme, un bilan positif voire décisif pour ce sommet.
Evidemment, l’Opposition toujours en quête de crédibilité plutôt d’une potion magique pour séduire broie noir. L’année 2023 ne leur promet point un avenir meilleur. Au contraire, Illeur réserve plutôt la déroute.
Ndrianaivo




« Interdits aux moins de 18 ans ». Cette consigne est affichée dans bon nombre d’établissements hôtels répartis dans les quatre coins de Madagascar. Cela fait partie des engagements signés par les opérateurs touristiques, dans la cadre du Code de conduite. En fait, des acteurs du tourisme se sont engagés depuis 7 ans à protéger les enfants dans leurs structures et leurs activités contre toutes formes d’exploitation sexuelle, de travail des enfants, de traite ou d’autres cas de maltraitance. Informer et sensibiliser les touristes nationaux et internationaux sur le cadre légal malagasy relatif à l’exploitation sexuelle des enfants à des fins commerciales (ESEC) et dans le cadre des voyages et du tourisme, le travail des enfants, la traite et autres formes de violence font également partie des engagements. Depuis 2012, plus de 1.000 acteurs du tourisme ont bénéficié de formations relatives au respect et au soutien des droits de l’enfant dans leurs activités.
« Des avancées ont été constatées depuis l’adoption du Code de bonne conduite, dont l’implication des acteurs du tourisme à honorer leurs engagements. Les sensibilisations ont aussi porté leurs fruits, si l’on tient compte des dénonciations à travers diverses associations et sur les réseaux sociaux, entraînant la réticence des commettants à profiter et à abuser des enfants », rapporte Diana Rasoanaivo, directeur de cabinet auprès du ministère de tutelle. Malgré cela, le tourisme sexuel commis tant par les nationaux que les étrangers reste présent, notamment dans les Régions touristiques. Raison pour laquelle les opérateurs touristiques qui n’ont pas encore signé le Code de bonne conduite sont encouragés à le faire. Un atelier y afférent s’est tenu vendredi dernier à Antaninarenina, dans le but de consolider les acquis et d’aller vers une application plus effective du Code de bonne conduite au niveau des Régions touristiques de l’île.
Pour information, l’ESEC fait partie des pires formes de travail des enfants, selon l’Organisation internationale du travail (OIT) et le Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF). « Parmi les 28 % des enfants âgés de 5 à 17 ans qui sont actifs dans le pays, environ 60 % d’entre eux effectuent les pires formes de travail », confirme Nombàna Razafinisoa, chargée de programme au sein de l’OIT. Toutefois, aucune statistique sur l’exploitation sexuelle des enfants n’est encore disponible en ce moment.
Recueillis par Patricia Ramavonirina










Les armes ont crépité dans la nuit du vendredi dernier à Andranomanga, Commune d’Anosiala, District d’Ambohidratrimo. Là, les gendarmes se sont affrontés à des bandits qui y ont envisagé d'attaquer un commerce. L'issue de cet échange de tirs a été fatale pour les deux auteurs présumés du forfait. Outre leur neutralisation, les fusils de fabrication locale qu'ils ont utilisés ont été également saisis. Les choses ont démarré avec l'alerte donnée par des riverains au poste avancé de la Gendarmerie locale. Dans ce renseignement, les informateurs de la Gendarmerie ont parlé de la présence de deux individus qui ont rôdé dans les parages. En réalité, cela a débuté dès la matinée même du vendredi dernier où les assaillants étaient déjà sur place. De leur côté, les gendarmes qui s'étaient rendus sur place y ont failli les surprendre. Mais les deux larrons ont pris rapidement la poudre d'escampette. Le soir venu, ces derniers étaient retournés à l'endroit.
C'était dans ces circonstances que les gendarmes les ont vus en train d'escalader le mur d'enceinte de ce commerce. En voyant les Forces de l'ordre s'approcher à nouveau d'eux, les assaillants se sont rapidement enfuis en ouvrant le feu sur les éléments des Forces de défense et de sécurité. Il y eut un bref échange de tirs au cours duquel les deux assaillants mouraient sous les balles des Forces. Ces dernières ont fait échouer la tentative des agresseurs pour commettre leur forfait. Depuis, la zone entière et ses environs sont encore ratissés.
Franck R.

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Editorial

  • Fidèle engagement
    La lutte continue ! Mialy Rajoelina, la Première dame, ne lâche point. Fidèle à son engagement dans la lutte pour le bien-être de la famille, l’épouse du Président accepte volontiers d’être la marraine de la campagne nationale de vaccination contre la poliomyélite, première vague, qui s’est tenue du 14 au 17 mai dans tout Madagasikara.

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