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L'esprit de Bandoeng !

Publié le vendredi, 21 octobre 2022

Madagasikara reste neutre ! Quel que soit le vote adopté à l'ONU relatif à la condamnation de l'annexion d'une partie du territoire ukrainien par la Russie, la Grande île demeure active dans la dynamique du non- alignement. Une position cohérente à l' « esprit de Bandoeng » à laquelle les dirigeants malagasy adhèrent.

 

La candidate malagasy Anisha fait parler d’elle depuis son apparition au concours « Star Academy », diffusé sur la chaîne française TF1. En effet, lors des évaluations quotidiennes, les membres du jury, les téléspectateurs et les internautes ont vécu mercredi dernier un grand moment quand la candidate malagasy Anisha a interprété de façon magistrale le tube « Si je pouvais lui manquer » du chanteur Callegero. Un morceau qu’elle n’avait jamais osé chanter.

La société nationale d’eau et d’électricité malagasy (JIRAMA) est éclaboussée par une autre rocambolesque affaire de détournement de carburant en son sein. Cette fois-ci, le vol dépasse l’entendement dans la mesure où c’est une quantité inimaginable d’1,950 millions de litres qui a été détournée et ce depuis le début de l’année.  C’est la deuxième affaire du genre qui est étalée au grand jour en quelques mois.

Un an après l'éclatement du « scandale » sur les réseaux sociaux, l'affaire des primes exceptionnelles exorbitantes, versées à une grosse poignée de cadres de la JIRAMA, connait une évolution.  Plusieurs employés de la compagnie nationale de distribution d'eau et d'électricité se relayaient depuis quelques jours au Bureau indépendant anti-corruption, dans le cadre de cette affaire. Selon des informations à prendre au conditionnel, obtenues de source officieuse, les bénéficiaires des faits seraient en effet convoqués pour être auditionnés par les investigateurs d'Ambohibao. 

 

L’affaire de transport illégal de bois précieux, impliquant une parlementaire élue sous les couleurs de l’IRD, continue de défrayer la chronique. Des organisations de la Société civile comme l’Alliance Voahary Gasy, la Commission nationale de plaidoyer environnementale (CNPE) ou encore Transparency International Initiative Madagascar, se sont exprimées sur le sujet au cours d’une déclaration hier. Ce scandale a éclaté sur les réseaux sociaux depuis le 04 octobre dernier lorsqu’un document, censé être une autorisation de transport de bois en provenance d’Ambatondrazaka, a été massivement partagé et fait réagir des milliers d’internautes. Le document en question comporte clairement l’en-tête de l’Assemblée nationale avec, de surcroit, la signature de la députée appartenant à la majorité présidentielle. 

 

La une du 21 octobre 2022

Publié le jeudi, 20 octobre 2022


L’artisanat malagasy a de nombreux potentiels. Mais seulement, afin qu’il apporte son soutien au développement économique de notre pays, il faudra désormais franchir un pas et miser un peu plus sur l’aspect économique de ce secteur. En effet, l’artisanat a été toujours rangé parmi les secteurs réservés aux touristes de passage et réservé à une clientèle restreinte. En plus, la production reste limitée.
C’est afin de remédier à la stagnation du secteur de l’artisanat que la Chambre de commerce et d’industrie d’Antananarivo (CCIA) va lancer du 26 au 29 octobre au Stade Barea sis à Mahamasina un salon dédié spécialement à la promotion de l’artisanat malagasy et mettre en avant le label « Vita malagasy ».
Des ventes-expositions, des conférences, des ateliers et des rencontres « B to B » seront au programme durant ce salon. « L’évènement mettra l’accent sur l’aspect économique de la filière artisanale au lieu de la traditionnelle activité commerciale. L’objectif du salon sera de favoriser le marché, tant interne qu’externe, ainsi que les échanges en vue de promouvoir des partenariats plus diversifiés », selon le directeur général de la CCIA, Henry Nirina Andrianarivo.
Ce salon permettra aussi de dégager les obstacles au développement de l’artisanat comme la raréfaction des matières premières, la difficulté d’accès aux bois et pierres précieux, le manque de matériel des artisans, les formations pour une production de qualité et respectant les normes internationales. Il faut savoir aussi que le grand problème de l’artisanat, mis à part le manque de matériaux de base, c’est sa non-capacité à répondre aux offres sans que la qualité des œuvres n’en soit touchée. A titre d’exemple, actuellement une commande de plusieurs milliers de statuettes en bois de rose est difficilement faisable sans l’appui financier et technique des partenaires.
Afin de préserver la qualité, il faut ainsi limiter le volume de la production ou trouver un partenariat solide dans l’accompagnement jusqu’à la livraison finale de la commande.
Trouver l’équilibre entre l’aspect culturel et l’aspect économique figure aussi parmi le grand défi de ce salon. En effet, si l’artisanat bascule dans la production à grande échelle, sa valeur diminuera dans le nombre. Par conséquent, il perdra également son authenticité et son essence en tant que véhicule de notre culture.
Nikki Razaf

Agenda du week-end

Publié le jeudi, 20 octobre 2022

Vendredi 21 octobre
Jimi Harison
Jimi Harison est certes un artiste malagasy. Mais s’il avait fait carrière en Europe ou aux Etats-Unis, il aurait évolué dans l’entourage des grands noms du showbiz. L’artiste a l’habitude de reprendre avec un talent inouï les chansons standards des stars internationales comme Stevie Wonder ou Michaël Jackson. Ce soir à partir de 20h 30, il sera la vedette du Piment Café à Behoririka et présentera un répertoire varié, mêlant des morceaux classiques, de la variété anglo-saxone et des tubes latinos. Ce sera une soirée où des interprétations et prouesses vocales feront vibrer les lieux.
Big MJ
Big MJ, la super vedette du District d’Antalaha, n’est pas prêt d’arrêter le show. Ce soir à partir de 21h, il  propose une nouvelle soirée dénommée « Big MJ Birthday Bash » dans l’antre du Jao’s Pub à Ambohipo, en guise de célébration de son anniversaire. Promettant une chaude ambiance aux fidèles fans, le chanteur et son groupe vont partager le meilleur d’eux-mêmes par le biais d'un répertoire varié, allant du « salegy » au sega, en passant par la biguine, le slow, l’« antosy », le « malesa », le « bawejy »,... Rejoignez la piste de danse pour vous éclater avec les morceaux populaires comme « Atero amin’ny babany », « Tsy mila », « Aminao foty niany ».
Rim-Ka
C’est le deuxième concert pour ce jeune chanteur déjà considéré comme le nouveau prince de l’Afro-pop et l’Afrobeat de la Grande île. Et oui, Rim-Ka affiche actuellement une ascension fulgurante dans le showbiz local. L’interprète de la chanson « Very jery », classée dans le  hit-parade actuel, est sur la bonne voie et file tout droit vers la réussite. Après avoir réalisé de nombreuses escales dans plusieurs scènes régionales, le chanteur décide de retourner dans la Capitale pour donner un second concert. C’est au restaurant les Cygnes, situé à Mandrosoa-Ivato, qu’il donne rendez-vous ce soir à partir de 21h. Rim-Ka est un artiste à découvrir et à suivre de près. Ça va chauffer à fond du côté d’Ivato et ses alentours lors de ce vendredi « joli » !
Samoëla
Du « Vazo miteny » pour entamer ce week-end. L’occasion se présente à nouveau pour les fans de Samoela. Ils seront encore gâtés en venant soutenir leur idole préférée, surtout pour les fans résidant dans le centre-ville. Il s’agit d’un autre rendez-vous à ne pas rater. En matière d’animation, Samoëla et sa bande ne sont plus à présenter. Habituée à se produire ensemble et toujours capable d’offrir une superbe prestation, la formation parvient à divertir au maximum l’assistance à travers ses magnifiques mélodies. A vos agendas donc, car demain à partir de 21h, Samoëla et ses musiciens investiront la scène du Pavé sis à Antaninarenina.
Ifanihy & Sombiniaina
Ifanihy, ce grand spécialiste des chansons à texte répond toujours présent malgré ses rares apparitions publiques. A la fois auteur-compositeur, interprète et guitariste, il se sent encore capable d’émerveiller l’assistance à chaque prestation. C’est un artiste aux multiples inspirations qui reste une référence en matière d’animation en version cabaret, programmée dans des salles. Ce soir, il partagera la scène avec l’humoriste Sombiniaina.  La soirée risque d’être cocasse et hilarante, mélangée avec une bonne ambiance musicale. De plus, les locaux de G &Vinn Ouest Ambohijanahary conviennent parfaitement au genre de spectacle que vont offrir Sombiniaina et Ifanihy. Les festivités démarreront à 20h.  

Kakajoh
La salle du Glacier située à Analakely réserve une soirée aux couleurs tropicales à chaque vendredi. Ce soir, il mettra à l’affiche un chanteur qui veut inscrire son nom dans le monde du showbusiness. Effectivement, Kakajoh veut jouer dans la cour des grands et commence à arpenter les scènes de la Capitale.  L’interprète de  « Tsy zatsy ahy », « Anjely mivelatry » ou encore « Teakay zazaigny » » est sur la bonne voie pour figurer parmi les célèbres artistes. Une belle ambiance est en perspective du côté du centre-ville en ce début de week-end.      
« Jazz@tohatohabato »
La musique jazz résonnera fort dans la ville d’Antananarivo en cette fin de semaine. Aujourd’hui, à partir de 10h du matin, les musiciens du Jazz Club se déplaceront et joueront de la bonne musique sur un camion où ils feront le tour de la Capitale et en terminant leur parcours à Sabotsy-Namehana. Et demain, place au « Jazz Street » à partir de 18 h. Il s’agira d’une soirée de « jam session » ouverte au public. Un ensemble de mini-cabarets où le public pourra partager son talent musical, accompagné par le Jazz Club du Cercle germano-malagasy (CGM). A cet effet, quatre mini-scènes seront installées sur le palier des escaliers d’Antaninarenina. Et dimanche prochain aura lieu le grand concert de jazz sur l’avenue de l’Indépendance où la formule  « Jazz@tohatohabato » prendra son summum puisque les voies de circulation d’Analakely et leurs alentours seront coupées et se transformeront en un lieu de spectacle grandiose. Ce sera une occasion pour les Tananariviens de se détendre, prendre plaisir et passer un après-midi de jazz avec des artistes locaux et internationaux.
Dimanche 23 octobre
Tanora Masina d’Itaosy
De chaudes retrouvailles avec le public de la Capitale, programmées durant un après-midi dominical qui s’annonce déjà prometteur. Depuis son existence, à la fois opérationnel et en ascension permanente, Tanora Masina d’Itaosy occupe la place qu’il mérite dans la grande famille des groupes évangéliques locaux. En proposant un concert baptisé « Hafany taloha », ce sera une bonne occasion et un moment favorable pour cette dynamique formation de prouver encore une fois sa notoriété et sa performance dans le milieu de la chanson évangélique. Tanora Masina d’Itaosy en « live » est synonyme d’un show éclatant à travers un magnifique répertoire bien connu des fans. Citons entre autres « Mamela ny nosinay », « Matokia », « Ahy Jesosy », « Vonjeo ny taninay », « Kabary ». Un show à ne pas rater sous aucun prétexte. Rendez-vous ce dimanche à partir de 14h au Canal Olympia, situé dans la route Digue, Andohatapenaka.
Si.R

Une ville « manara-penitra » !

Publié le jeudi, 20 octobre 2022

La ville des Mille, invivable ? L’affirmatif surgit de toute évidence ! Des taxis-be gênent ! Les fumées noires des échappements polluent et suffoquent. Les deux-roues vont dans tous les sens. Les taxis-bicyclettes commencent à apparaitre sur le terrain. Les commerçants ambulants occupent les trottoirs et descendent même sur les chaussées, etc. En somme, c’est le bordel au quotidien !
Question, la ville d’Antananarivo est-elle ingérable ? Toutes les équipes d’élus qui se sont succédé à la Mairie butèrent au mur inébranlable de l’indiscipline sauf exception à celle dirigée par un certain Guy Willy Razanamasy (1995 – 1999). Ce dernier qui survolait le clientélisme politique avait réussi à faire régner la discipline dans la Capitale malagasy. En général, les intérêts politiques partisans dominaient. Le clientélisme politique des partis politiques tels l’AKFM ou AKFM-Fanavaozana, le TIM, prima au détriment des intérêts de la population méritant quand même une condition de vie digne des valeurs humaines.
Durant l’époque coloniale et une bonne partie de la Première République, la ville des Mille brillait par sa propreté,  l’hygiène sociale (époque où les inspecteurs de voirie contrôlent la salubrité des quartiers, etc. ), le respect du code la route, la sécurité (le contrôle systématique des cartes d’identité nationale se faisait surtout la nuit jusque dans les ruelles de quartier, les lèche-vitrines dans les arcades faisaient le plaisir des amateurs de promenades  nocturnes jusque tard dans la nuit, …). C’est du passé !  L’équipe de Marc Ravalomanana, maire de la Capitale de 1999 à 2002, tentait de faire mieux mais elle ne pouvait agir tellement à cause de l’éternel clientélisme politique. Rajoelina Andry, maire TGV élu d’Antananarivo (2007 à 2009), n’a pu faire beaucoup comme il l’entendait à cause du blocage télescopé par le Chef de l’Etat Marc Ravalomanana. Les présidents de délégation spéciale n’avaient pas pu non plus faire grand-chose autre que gérer les affaires. Le fait d’être un responsable non élu les handicape.
Le retour du TGV sinon l’IRD, la plate-forme soutenant l’actuel Chef de l’Etat, dans la gestion de la ville des Mille porte un réel espoir dans la remise aux normes de la Capitale. Une affaire complexe et difficile du fait de l’enracinement profond du mal parmi les gens de la Capitale. Le respect de la discipline manque terriblement chez les Tananariviens. Le maire élu issu de la majorité présidentielle Naina Andriantsitohaina se démarque des anciens premiers magistrats se succédant à la Mairie d’Antananarivo. Fort de la vision héritée du leader de la révolution Orange à travers les 13 points du Velirano et confortée par le « Veliranon’Iarivo », le maire Andriantsitohaina est en train d’opérer le vrai changement à Antananarivo. Il milite en collaboration avec toute l’équipe de l’Exécutif à faire régner la discipline. Le travail n’est pas de tout repos.
L’exemple de l’intégration des marchands ambulants dans le secteur formel témoigne parmi tant d’autres de la ténacité de Naina à changer les choses de la ville pour devenir « manara-penitra ». En fait, une ville respectant les normes requises fait partie de l’objectif majeur du premier magistrat Naina Andriantsitohaina. Il  a réussi à convaincre les représentants des marchands ambulants  des grands quartiers de la Capitale à intégrer leurs activités dans le formel.
Une ville « manara-penitra » ne sera plus un rêve.
Ndrianaivo


Andry Rajoelina a ouvert grand les portes de Madagascar aux investisseurs dans son discours à la cérémonie d’ouverture du Choiseul Business Africa Forum 2022 à Casablanca, hier. Invité d’honneur à ce forum, le Président de la République malagasy indique, notamment, aux investisseurs, que la Grande-île est « une terre d’accueil, hospitalière, avec une population pacifique, volontaire et dynamique ».  Devant le parterre, le Président Rajoelina explique à cet égard que Madagascar est « résolument décidé à prendre part à l’essor panafricain et à émerger comme un territoire d'opportunités d'affaires, à forte croissance et d’investissement ». Plaidant la cause de la Grande-île, le Chef de l’Etat souligne que notre pays a un potentiel incontestable pour devenir un grand pays dynamique.  Pour faciliter et accompagner la mise en œuvre des projets dans un climat d’affaires idéal, l’Etat malagasy invite ainsi « ceux et celles qui veulent monter dans ce wagon-train pour atteindre l’émergence de Madagascar ». Le numéro Un malagasy note d’ailleurs durant son allocution que la participation de Madagascar au forum témoigne « de notre volonté et de la conviction du Gouvernement malagasy dans l’importance du partenariat public-privé qui est le socle de tout développement économique efficace ».
Entre 6 800 et 10 000 km de routes à construire
Ce forum de Casablanca réunit quelque 700 décideurs et hauts dirigeants économiques et institutionnels parmi les plus influents en Afrique, d’Europe et du Golfe, de 50 pays, autour de séances de travail opérationnelles plaçant le continent africain au cœur des débats. Andry Rajoelina, dans ce contexte, a longuement insisté sur le rôle central de l’Afrique dans l’économie mondiale, grâce, notamment, à ses ressources importantes. « Le continent africain prospère et le développement est à portée de main grâce à l’industrialisation de nos pays », affirme le Président malagasy. Un processus dans lequel Madagascar est engagé. Durant son discours, le Président a partagé les priorités de la  Grande-île afin de devenir un pays émergent. Des priorités retranscrites dans le Plan émergence de Madagascar parmi lesquelles figurent l’augmentation de la production énergétique, le développement des infrastructures, le domaine agricole et l’industrialisation. Le Chef de l’Etat rappelle, entre autres,  que Madagascar envisage d’atteindre 652 mégawatts supplémentaires en 2027, de construire entre 6 800 et 10 000 km de routes dans les prochaines années, d’atteindre l’autosuffisance alimentaire et redevenir le grenier rizicole de l’océan Indien ou encore de parvenir, d’ici à 2024, à l’indépendance en ce qui concerne la production de sucre.
Lalaina A.

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Editorial

  • Au beau fixe !
     Le Président de la République de Madagasikara Rajoelina Andry NIrina a reçu en audience au Palais d’Etat d’Iavoloha la ministre des Affaires étrangères du Japon Yoko Kamikawa. Une rencontre que certains observateurs qualifient d’historique sinon d’inédite.Le Japon faisait partie des pays ayant noué une relation diplomatique avec la jeune République malagasy. L’empire du Japon était ainsi présent dès les premières heures du retour de la Grande île à l’indépendance en 1960. Seulement voilà, en soixante ans de relation diplomatique, c’est la toute première fois qu’une haute personnalité japonaise du rang de chef de la diplomatie ait pu effectuer une visite officielle au pays. Une grande première que nous, Malagasy, nous ne voulions pas passer inaperçue traduisant ainsi une relation au beau fixe entre les deux Nations voire entre les deux peuples.Le pasteur Ravelojaona, 1879 – 1956, fasciné par le parcours fulgurant de l’économie japonaise à partir du début du siècle…

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