Publié dans Sport

Confédération africaine de tennis - Nouvelle nomination pour Dina Razafimahatratra

Publié le jeudi, 01 août 2024


Un Malagasy a été nommé par les membres du comité exécutif de l'instance africaine de tennis CAT pour se charger du développement de la discipline en Afrique. Le capitaine de l’équipe nationale malagasy à la dernière Coupe Davis groupe V et ancien directeur technique national et entraîneur national, Dina Tahiry Razafimahatratra a été nommé par les membres du comité exécutif de la CAT en tant que membre du comité de développement et d’événements de jeunes au sein de la CAT pour les années 2024 et 2025. Le président de la Confédération africaine de tennis, le Béninois Jean-Claude Talon, lui en a informé ce 26 juillet dernier. Les compétences, l’expérience et la passion que Dina Razafimahatratra a pour la discipline, ont convaincu les membres du Comité exécutif de la CAT pour atteindre leur objectif dans le développement futur.
Les membres de ce comité de développement, qui sera dirigé par le vice-président de la CAT Abdelazil Laarraf, seront composés de Dina Tahiry pour Madagascar, l’Egyptienne Dia Nabil Loufti, le Kenyan Rosary Owino, le Congolais Georges Koshi, le Togolais Mawuli Clément, le Marocain Hicham Tazi, le Béninois Bernardin Codjo, et le Tunisien Malek Jaziri.
Dans la foulée, le patron du tennis africain l’a félicité en lui souhaitant du succès pour sa nouvelle tâche au sein de l’instance. Une nomination méritée pour Dina Razafimahatratra qui a consacré sa vie au tennis avec sa famille.
Elias Fanomezantsoa

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Editorial

  • Quid d’une volonté politique
    En panne d’une réelle volonté politique, la lutte contre la corruption fait du surplace à Madagasikara.Un décalage flagrant s’interpose entre ce qui a été dit et ce qui est fait ! Le pays stagne. Les Indices de perception de la corruption (IPC) éprouvent les peines du monde d’évoluer vers le sens du positif. Plutôt, ils reculent. Quid d’une volonté politique pour cerner ce « mal », la corruption, qui sape le fondement de l’essor de l’économie nationale.Créé le 17 décembre 2004, le Bureau indépendant anti-corruption (BIANCO) fête ses 20 ans d’existence. Immédiatement, la question qui surgit : « quel bilan ? » BIANCO, de par son nom, ambitionne de combattre la corruption à Madagasikara. Après 20 ans, où en sommes-nous ?D’un avis généralement partagé, on hésite. Ecartelée entre une appréciation tranchée de réussite et d’un constat amer d’échec, l’opinion publique vague à l’âme. Le bilan mitigé semble dominer la partie.…

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