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la une du 5 mai 2020

Publié le lundi, 04 mai 2020

Le feuilleton Ludovic Ajorque continue. Le meilleur joueur du Racing Club de Strasbourg aurait dit oui aux Barea. Le sélectionneur Nicolas Dupuis avait annoncé que le joueur devait donner sa réponse définitive à la fin de la saison 2020/2021. Une fin de saison qui semble être décalée de deux  mois, à cause de la crise du coronavirus qui frappe le monde entier de plein fouet, en ce moment.

Le récent kidnapping d'Anil Karim, pharmacien de son état et dont on n'a toujours aucune nouvelle, serait en quelque sorte l'effet catalyseur. Car depuis la semaine dernière, la Gendarmerie procède à une série d'arrestations de toutes les personnes soupçonnées d'avoir un lien direct ou non avec le tristement célèbre Norbert Ramandiamanana, alias Lamà, ce bandit recherché pour de nombreux enlèvements depuis l'année 2004 dans la Capitale. 

Jusqu’à ce jour, aucun médicament, encore moins un vaccin n’a été trouvé pour traiter et prévenir du Covid-19. Face à l’urgence sanitaire, le Professeur Vololontiana Marie Hanta Danielle, porte-parole du Centre de commandement opérationnel Covid-19 (CCO) sis à Ivato, a souligné hier lors du rapport récapitulatif que Madagascar ne peut pas attendre les médicaments conventionnels. D’autant plus que les expérimentations pour trouver le vaccin n’aboutiront qu’au plus tôt au début de l’année prochaine. En attendant, le taux de positivé pourrait s’aggraver. 

Des marchands interceptés à Toamasina. Tel est le constat fait par les autorités au niveau de la Direction générale de l’environnement et du développement durable de la Région Atsinanana (DREDD), suite à une descente auprès de marchands illicites de bois précieux et ordinaires. « Samedi dernier, nous avons reçu des renseignements de la part de citoyens responsables concernant une vente illicite de bois, dans le marché d’Ankirihiry à Toamasina. Nous avons alors mené notre enquête. A l’issue de cela, nous avons demandé une autorisation pour une perquisition au procureur.

Service minimum, réduction des effectifs, baisse des chiffres d’affaires. La pandémie a touché de plein fouet l’économie de Madagascar. Le ministère du Travail, de l’Emploi, de la Fonction Publique et des Lois sociales (MTEFPLS) a mené une enquête concernant l’impact du coronavirus sur les entreprises privées. Sur les 208 entreprises enquêtées employant près de 69 100 travailleurs, 196 ont déclaré en difficulté. Ces impacts sont notamment dus aux problèmes de trésorerie, à l’annulation de commande par les clients à l’étranger  ainsi qu’à la pénurie des matières premières. 90% ont déclaré durement d’être affectées par la crise du Covid- 19.

La journée mondiale de la liberté de presse a été célébrée hier. Le ministre de la Communication et de la Culture, Lalatiana Andriatongarivo a affirmé que des avancées majeures sont constatées dans le pays.

44 jours après l'annonce des premiers cas de coronavirus à Madagascar, le président Andry Rajoelina a fait le point avec quelques journalistes au cours d'une émission spéciale sur la chaîne nationale. D'un événement, le Président s'est réjoui qu'il n'y avait pas encore eu de mort dans le pays. Notons que le dernier bilan officiel communiqué par le Centre de commandement opérationnel (CCO) fait état de 149 cas confirmés dont 98 guéris et 51 en traitement. Il tempère néanmoins que nous ne pouvons pas encore crier victoire car tout dépend de l'autodiscipline de chacun. Samedi dernier, une décision de prolongation de l'état d'urgence sanitaire a été prix à l'issue du Conseil des ministres. «On ne peut pas jouer avec la vie et la santé du peuple malgache», argumente le Chef de l'Etat. 

 

Noua avions fait état dans l’une de nos précédentes éditions d’une vaste campagne médiatique de dénigrement du Covid-Organics (CVO), le remède mis au point par l’Institut malagasy de recherches appliquées (IMRA) en guise de réponse au nouveau coronavirus. En effet, il est évident que cette solution « made in Madagasikara » ne fait absolument pas l’affaire de ce qu’il convient de désigner par « mafia pharmaceutique internationale», un conglomérat  qui fait de la santé publique mondiale un véritable « pharmacobusiness »  et qui comprend, outre bien évidemment les multinationales de l’industrie pharmaceutique, des autorités sanitaires de certaines grandes puissances ainsi que, last but not least, certains grands noms de la presse internationale agissant pour le compte des précédents. Ces derniers, en première ligne actuellement dans cette mission  d’élimination de la course du CVO, ne s’embarrassent plus de scrupule et vont jusqu’à faire preuve de mauvaise foi manifeste dans le traitement des informations relatives à ce remède.

La une du 04 mai 2020

Publié le dimanche, 03 mai 2020

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Editorial

  • Drapeau et hymne national 
    L’emblème national, témoin de l’indépendance et de la souveraineté du pays, doit plus que jamais trôner là où il mérite. L’heure du respect de la dignité de Madagasikara sonne. Le pays s’apprête à fêter le 65ème anniversaire de l’accession sinon du retour à l’indépendance de la Grande île. Le 26 juin 1960, Madagasikara accède à l’autodétermination de son avenir. Le statut de Colonie française s’achève pour de bon et devient de plein droit la République Malagasy. A noter que deux ans auparavant, en 1958, la Grande île arborait déjà le titre de République mais ce n’est que le 26 juin 1960 que les pleins pouvoirs de l’indépendance ont été octroyés du moins sur le … papier. Oui, « sur le papier » car le désormais « ancienne puissance coloniale » persistait dans les parages et planait toujours sur nos têtes. Il a fallu attendre 12 ans, en 1972, que le…

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