Une séance de rattrapage pour public tananarivien. Comme il a été promis par toute l’équipe de la production, l'ultime représentation du spectacle offert par l'humoriste C’est du Joely sera projetée dans la Capitale à partir du week-end prochain. Ainsi, son show joué à guichet fermé le 4 mai dernier au Théâtre Traversière, situé à Paris, sera retransmis dans la salle du Cinepax, Ambodivona à partir du vendredi 17 mai à 18h jusqu’au jeudi 23 mai à 15h10. Des opportunités pour les fans de (re)découvrir pendant plus d’une heure et demie le contenu de son spectacle intitulé « Mbola mijoro ». Ce show qui a été préparé depuis près de 4 mois, et proposé par Andrianina Rajoelisoa, surnommé C’est du Joely, sera sans doute très attendu par les spectateurs.
Dans deux interviews exclusives, le receveur des douanes à Ivato aéroport et le directeur de cabinet du ministère de la Sécurité publique partagent leurs points de vue sur les récentes allégations de corruption à l'aéroport international d'Ivato. Découvrez leurs perspectives croisées sur ce sujet brûlant.
Le système anti-corruption de Madagascar est en deuil suite à la perte d'une figure emblématique et respectée. Aimé Rasoloharimanana, directeur général de l’Agence de recouvrement des avoirs illicites (ARAI), est décédé ce mardi. L'annonce de sa disparition, survenue hier après-midi, a été confirmée par la Faculté de droit et des sciences politiques (FDSP), dont il était un ancien et un parrain des promotions de 2021-2022.
La faculté lui a rendu hommage en ces termes : "Nous perdons une très bonne personne, un très bon magistrat, un repère". Magistrat d'exception, Aimé Rasoloharimanana a marqué par son intégrité et son dévouement. Il a notamment présidé le Pôle anti-corruption de premier degré, où il a su imprimer sa rigueur et son sens inébranlable de la justice.
En sa qualité de directeur général de l’ARAI, il a œuvré sans relâche pour récupérer les avoirs illicites, renforçant ainsi la lutte contre la corruption à Madagascar. Sa disparition laisse un vide immense au sein du système judiciaire malgache et au-delà. Sa mémoire restera à jamais gravée comme celle d'un homme intègre, un défenseur acharné de la justice et de l'équité, et un modèle pour les générations futures.
Par les temps qui courent, la ferveur du « 13 mai 1972 » s’éteint. Cinquante-deux ans après, la mémoire d’un peuple s’évanouit ! Il ne reste qu’un vague souvenir dans l’esprit des aînés encore vivants à ce jour, des témoins oculaires qui ont vécu en chair et en os l’historique et douloureux évènement.
En effet, le temps passe, il ne reste plus grand-chose ! Eclipsée par les mille et une difficultés que chacun doit affronter quotidiennement, la bataille de la campagne électorale troublant, la mémoire des chaudes journées sur la Place du Treize mai disparait au fil des ans. Aucun programme de cérémonie officielle du cinquante-deuxième anniversaire du 13 mai n’a été prévu dans la journée d’hier. On craint toujours de la réminiscence du concept que « Treize mai » véhiculait. Les dirigeants en place se méfiaient d’un « come back » imprévisible sur cette Place maudite pour les uns mais historique et conservant en elle le ferment de la lutte pour le changement pour d’autres.
La faute à personne ! Les témoins vivants disparaissent au fil de l’âge. Il reste une poignée d’acteurs du mouvement. La plupart de ces dirigeants de grève (membres du Comité de grève ou du Conseil permanent) ont rejoint les étoiles du firmament. Des septuagénaires et des octogénaires, ayant milité et bravé violences des Forces républicaines de sécurité (FRS) sur la Place du Treize Mai, ont quitté ce monde sans avoir vécu réellement les apports positifs de la lutte. De feu Maître Willy Razafinjatovo, avocat de son état, connu sous le sobriquet « O lala », chef incontesté du Service d’ordre (SO) durant la grève, Avonelina Amidy dit Le Midy, administrateur civil de son état, incarnaient la lutte qui, au final, se termina en queue de poisson. Votre fidèle serviteur, un septuagénaire, fait partie de ces rescapés des évènements de 72.
Les générations d’aujourd’hui et celles de demain n’ont, n’auront qu’une idée vague du Treize mai. D’ailleurs, on évite d’en parler sur la place publique. Un certain moment, le sujet relatif aux évènements de mai 72 fut tabou. On n’en évoque officiellement que très rarement.
De toute façon, on se demande encore, de nos jours, quel a été le mobile exact de la grève du Treize mai. Et a-t-on atteint ou raté les objectifs ? Vaguement, on parlait d’une révolution pour une « réelle indépendance » s’émancipant de la tutelle infantilisante du système colonial ou néo-colonial. On scandait à l’époque la volonté de briser le joug du colonialisme. La France, l’ancienne puissance coloniale était clouée au pilori. On rejetait tout ce qui incarnait son emprise . On jetait l’opprobre aux grandes sociétés commerciales ou industrielles, la langue d’enseignement, la culture, mode de vie, etc., hérités de la Métropole. Nationalisation, malgachisation, déculturation, démonétisation ou autres avaient le vent en poupe !
Mais très vite, avec un lendemain qui déchante, le dépit gagne peu à peu jusqu’à remettre en cause l’utilité des évènements du 13 mai 72. Les dures réalités vécues durant la Deuxième République ont pris le dessus. Le pays dégringole jusqu’aux … enfers. Et la France réussit à reprendre le poil de la bête. Le « Madagasikara tsy mandohalika » de Ratsiraka rampe et finit par retourner au bercail. Et on y est !
Ndrianaivo
Les supporters des Barea dont le Président de la République Andry Rajoelina ont manifestement été induits en erreur... Le secrétariat d’Etat chargé des Nouvelles villes et de l’Habitat (SENVH) a annoncé en fin de semaine dernière la finalisation des travaux recommandés par la Confédération africaine de football pour homologuer le stade des Barea. Une annonce qui s’avère être trompeuse.
En effet, la Confédération africaine de football (CAF) confirme que le Stade Kianja Barea à Antananarivo ne répond toujours pas aux exigences minimales pour accueillir des matchs internationaux de grande envergure. Dans une lettre adressée à la Fédération malagasy de football (FMF) en date du 12 mai, la CAF a martelé plusieurs lacunes persistantes. Des défaillances qui montrent le manque d’actions concrètes de la part des autorités responsables.
En effet, la CAF confirme la tenue d’une nouvelle inspection du Kianja Barea suite à une demande de la FMF après le retrait de son homologation en avril dernier. Elle indique ainsi que le rapport d’inspection mené par son émissaire le 6 mai dernier a révélé des problèmes alarmants qui persistent malgré les engagements pris précédemment. La qualité médiocre de la pelouse figure en première place de ces problèmes.
Les vestiaires étroits, les préoccupations en matière de sécurité des spectateurs, l’inadéquation des infrastructures pour les médias et les VIP, ainsi que d’autres défauts structurels, ont tous également été relevés comme des points de non-conformité. Ces constats accablants sont d’autant plus préoccupants compte tenu de la tragédie survenue dans le stade en août 2023, juste après une précédente inspection de la CAF en août 2021, rappelle l’organe faitier du football africain.
Il est clair que les responsables de la rénovation du Stade Kianja Barea ont gravement négligé leurs obligations. Malgré les recommandations formulées dans le rapport initial d’août 2021, les mesures correctives adéquates n’ont pas été prises à temps d’une part et dans les normes requises d’autre part, alors que la CAF a déjà consenti à donner une nouvelle chance au stade.
La décision de la CAF de ne pas accorder une nouvelle exception pour l’utilisation du stade pour les éliminatoires africains de la Coupe du Monde de la FIFA est un camouflet pour la FMF mais encore plus pour les autorités responsables dont le SENVH qui était chargé de la rénovation du stade et de la mise aux normes de celui-ci.
Cette décision de non-homologation du stade Barea souligne l’urgence pour la FMF de trouver rapidement un stade alternatif pour accueillir les prochains matchs. Le plan B s’appellera-t-il le Maroc ou Maurice ? Le premier choix part avec la faveur des pronostics car le pays présente l’avantage d’être proche géographiquement des expatriés composant les Barea ce qui pourrait faciliter les déplacements et la logistique.
En tout cas, il est impératif que les responsables de la rénovation du Stade Kianja Barea rendent des comptes pour leur négligence flagrante. Il est trop tard pour les matchs éliminatoires, pour le mondial, prévus dans quelques semaines. En revanche, des matchs officiels sont programmés pour septembre. Des mesures correctives immédiates doivent être prises pour garantir la sécurité et la conformité du stade aux normes internationales.
Les autorités concernées doivent agir avec diligence pour rectifier cette situation inacceptable pour que les fans puissent retrouver leur stade et les Barea le plus vite possible.
Lalaina A.
La nouvelle direction de la JIRAMA soutient le PAC dans ses enquêtes. Trente-six agents de la JIRAMA ont répondu à une convocation du Pôle anti-corruption (PAC), hier, dans le cadre d'une enquête en cours. Avec un préjudice de plus de 2,7 milliards pour l’Etat malagasy d’après les enquêtes préliminaires de cette juridiction, la nouvelle direction de la JIRAMA veut rapidement balayer devant sa porte et offre tout son soutien aux enquêteurs. En effet, cette perte est due à l’octroi de primes « de performance » exorbitantes et autres avantages à différents directeurs sans l’aval du Conseil d’administration. Cette affaire a éclaté en 2021. 39 personnes ont été présentées devant le Pôle anti-corruption d’Antananarivo dont 3 directeurs placés sous mandat de dépôt et 36 autres sous contrôle judiciaire en attendant leur procès. Dans un communiqué officiel, la direction a souligné son engagement indéfectible envers l'intégrité et la transparence, deux valeurs fondamentales, pour garantir la prestation d'un service public de qualité à l'ensemble des citoyens malagasy. De plus, la JIRAMA a affirmé sa volonté de mettre en place des mesures internes renforcées afin de prévenir de tels incidents à l'avenir. Cette démarche proactive vise à maintenir des standards éthiques élevés et à agir de manière responsable dans l'intérêt de ses usagers et de la nation dans son ensemble.
Accélération des procédures judiciaires. On estime que le traitement de 50 000 affaires devant le tribunal de première instance d'Antananarivo sera achevé d'ici 5 à 6 mois. Le ministère de la Justice ajoutera 50 greffiers pour les aider dans cette tâche, comme l'a déclaré le ministre Landy Randriamanantenasoa. L’objectif est de donner satisfaction aux personnes ayant des affaires au tribunal qu’elles attendent depuis de nombreuses années. En plus, 25 ordinateurs ont été remis au Tribunal de première instance d'Antananarivo. Cela a été fait afin d'améliorer les outils permettant d'accélérer les procédures judiciaires. Selon le ministre de la Justice, il est nécessaire que tous les tribunaux s'unissent avec le ministère central pour pouvoir améliorer les services. En plus de cela, il faut également améliorer la qualité de la commande. L'équipement sera fourni à tous les cours de l'île en fonction des besoins identifiés.
Journalisme d'investigation, dévoiler les pratiques de l'avortement à Madagascar. L'association Nifin'akanga, en partenariat avec l'Ordre des journalistes de Madagascar, a lancé un appel à projets d'investigation visant à explorer les pratiques et les conséquences de l'avortement clandestin à Madagascar. Cette initiative a pour but d'analyser les dimensions sociales, économiques et de santé publique associées à cette pratique. Deux bourses, chacune d'un montant de 4.000.000 ariary, sont disponibles pour soutenir les projets sélectionnés. Ces subventions sont destinées à appuyer les journalistes d'investigation dans la réalisation de reportages approfondis sur un sujet essentiel mais souvent négligé. Les journalistes intéressés ont jusqu'au 30 mai 2024 pour soumettre leur projet. Cette démarche vise à promouvoir un journalisme d'investigation de qualité en mettant en avant des enjeux cruciaux pour la société malagasy.
Faire renaître la ferme d’élevage de truites de Manjakatompo. Dans le cadre d'une collaboration avec l'IHSM et le MPEB, l'ambassadeur de Pologne, Dr Zbigniew Kasprzyk, chercheur et enseignant renommé dans le domaine de la pêche et de la production aquatique, s'est rendu au bureau du ministre de la Pêche et de l'Economie Bleue, Mahatante Tsimanaoraty Paubert. L’ambassadeur a participé à la mise en place de la ferme aquacole "Truite" à Manjakatompo jusqu'en 2010-2011, un projet qui se révèle être l'un des plus précieux et recherchés. Actuellement, des discussions sont en cours pour rétablir cette ferme, en raison de son importance économique et de son attrait touristique. Les compétences des polonais dans ce domaine en font un partenaire idéal pour ce projet. Lors de la visite, des sujets tels que la sécurité alimentaire dans le Sud ont été abordés. L'objectif est de promouvoir l'autosuffisance alimentaire et professionnelle des habitants, notamment en tirant parti de l'expérience des polonais dans la gestion des réserves marines. Dans le cadre de ce projet, des œufs "fécondés" seront fournis et une assistance sera apportée par l'équipe polonaise.
Dans nos précédentes éditions, nous avons mis en lumière une affaire de spoliation de terrain à Nosy Be qui a suscité beaucoup d'attention et d'indignation. Au cœur de cette affaire se trouve M.J., une septuagénaire propriétaire légitime d'un terrain nommé Issabhay, situé à Amboanara, Nosy Be. Après avoir vendu son terrain à une société dénommée T.K., elle a été confrontée à une situation inattendue. En effet, une ancienne employée, nommée F., a prétendument acquis une partie de son terrain par prescription acquisitive, empêchant ainsi la mutation du titre de propriété vers le nouvel acheteur.
Pour M.J., cette acquisition par prescription acquisitive est contestable à plusieurs niveaux. En tout cas, face à cette situation, M.J. et ses conseillers ont entrepris toutes les démarches possibles pour faire valoir leurs droits. Cependant, leurs efforts ont été entravés par des obstacles, notamment des actes de corruption présumés de la part de certains fonctionnaires étatiques. Ces agissements ont exacerbé le stress de M.J., qui a même été victime d'un accident cardio-vasculaire.
L'intervention de la ministre de la Justice a apporté un rayon d'espoir. Après une visite sur place, elle aurait pris des mesures en transmettant l'affaire à la Cour suprême, ce qui aurait conduit à la suspension de la prescription acquisitive. Cependant, malgré cette décision, le statu quo persiste inexplicablement sur le terrain. Les propriétaires ne peuvent toujours pas profiter pleinement de leurs terrains. En effet, un fonctionnaire chargé de la gestion des titres de propriété foncière refuserait obstinément d'inscrire les décisions de justice en faveur de M.J. et de T.K. Et ce, au mépris des instructions émanant de ses supérieurs hiérarchiques.
Un doute se pose également sur l’impartialité au niveau de la Justice, qui n’aurait pas encore pris de décision concernant une demande de conduite à tenir formulée par le fonctionnaire. Face à cette situation, un appel est cette fois-ci lancé par les victimes à l’endroit de l’administration de la Justice et du ministère en charge des Domaines et de la Propriété foncière par rapport aux agissements de cet agent de l’Etat qui ne respecte pas la loi.
La Rédaction
Selon les communiqués publiés hier matin, les principaux fournisseurs de services Internet en Afrique ont confirmé une perturbation touchant des millions d'utilisateurs dans plusieurs pays de la Région. Telma Madagascar a signalé des difficultés causées par une coupure de liaison internationale en Afrique du Sud, tandis qu'Airtel a pointé du doigt une rupture des câbles sous-marins dans la Région de l'Afrique de l'Est. « Nous sommes confrontés actuellement à une nouvelle coupure de liaison internationale en Afrique du Sud, entraînant des perturbations sur votre service Internet », a déclaré Telma Madagascar dans son communiqué. Et d’ajouter : « Notre équipe technique travaille à l’heure actuelle sur une réorganisation des trafics afin de permettre la continuité de vos activités ».
Airtel a également confirmé ce problème en déclarant : « Les services Internet dans la Région de l'Afrique de l'Est sont actuellement impactés par une rupture de câbles sous-marins ». La société a souligné que cette rupture a entraîné une perturbation des services Internet dans la Région, affectant plusieurs pays, y compris Madagascar. Selon le service international de surveillance d'Internet NetBlocks, la cause de la panne est l'endommagement des câbles sous-marins SEACOM et EASSy. Les effets de cette panne se sont fait ressentir principalement en Tanzanie, au Mozambique, au Malawi et sur l'île française de Mayotte. « L'accès à Internet et aux services téléphoniques internationaux sera limité pendant que des travaux seront menés pour résoudre le problème », a déclaré le ministre tanzanien de l'Information, des Communications et des Technologies de l'information, Nape Nnauye. Cloudflare Radar, un service d'analyse Web, a rapporté que la diminution du volume du trafic Internet variait de 30 à 70 %.
Plusieurs pays ont été touchés par cette panne, notamment la Sierra Leone, le Burundi, les Comores, le Rwanda, l'Ouganda, la Somalie et le Kenya. Les utilisateurs ont été confrontés à des connexions Internet lentes et intermittentes, entravant les activités quotidiennes, les communications et les transactions en ligne. Les fournisseurs de services Internet travaillent activement pour rétablir les services et minimiser les désagréments causés par cette panne. Alors que les travaux de réparation sont en cours, les utilisateurs sont invités à contacter les services clients pour toute assistance nécessaire. Les autorités locales et les fournisseurs de services Internet s'engagent à tenir le public informé de l'évolution de la situation.
Les entreprises en ligne affectées
« Les impacts de la panne de la connexion Internet dans notre agence sont significatifs », déclare Rocky, gérant de la société ARG Outsourcing. « Nos agents ne peuvent pas travailler pleinement pendant les 8 heures prévues. Les insuffisances au niveau du rendement de production sont évidentes, avec des objectifs déjà perdus à cause des connexions intermittentes et du débit faible. La plateforme peine à fonctionner dans ces conditions », a-t-il ajouté.
Carinah Mamilalaina
20 ans de passion pour les chansons évangéliques, les retrouvailles, le partage des messages de joie, de tolérance et d’espoir véhiculés par le chant et la musique gospel. Oui, le groupe « Tana Gospel Choir » (TGC) va souffler ses vingt bougies à travers un grand concert cette année. Après avoir ouvert la célébration au « Tranompokonolona » d’Analakely, l’endroit où le groupe a fait sa première apparition en public il y a tout juste deux décennies, Fidy Rabearisoa, accompagnés de ses chanteurs et musiciens, visent une grande scène pour poursuivre la fête.
Comme un anniversaire digne des grands, le groupe s’emparera du Palais des sports à Mahamasina, ce dimanche 19 mai à partir de 15h. Un concert qui marquera les esprits des amateurs de chansons évangéliques, plus particulièrement les férus du chant gospel. A cette occasion, TGC, sous la direction de Fidy Rabearisoa, va jouer du gospel tantôt traditionnel et tantôt gospel moderne dont certains morceaux sont bien connus du grand public, comme « Misaora an’i Jehovah, « Mandrakizay », « Anao ny dera ». Le groupe profitera également de ce show pour lancer la vente de son quatrième album, baptisé « Misandrata ianao », sorti l’an dernier. Un autre disque intitulé « Best of TGC », contenant les tubes phares du groupe avec quelques touches de modernité, sera également mis en vente durant le concert.
Ainsi, les fans du groupe et les amateurs de chant gospel sont sollicités à venir partager ce moment qui promet d’être édifiant, porteur d’un grand espoir et de réconfort spirituel. Il s’agit d’un spectacle destiné pour tout le monde, mais pas uniquement pour les chrétiens. Le public va entendre des morceaux harmonisés et arrangés de manière vivante, des chants véhiculant une véritable émotion et un enthousiasme communicatif, faisant du gospel une musique de fête et de joie. Des valeurs que le groupe « Tana Gospel Choir » partage avec générosité et complicité depuis des années et interprète toujours avec autant de passion. Bref, le groupe laissera encore, comme d’habitude, entraîner les âmes dans la douceur musicale. Le dirigeant Fidy Rabearisoa a martelé que plusieurs concerts sont d'ores et déjà en préparation au cours de cette année pour fêter en fanfare les 20 ans du groupe. Au cours de ces dernières années, TGC a réalisé plus d’une centaine de représentations, rassemblé plus de 40 chanteurs et enregistré 4 albums.
Si.R