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Le sang a giclé, à la suite d’une collision spectaculaire, tôt hier matin sur la RN2, au niveau d’Ambatolaona. Bien que l’on ne signale aucun décès, le bilan fut pourtant lourd avec au moins dix blessés dont la plupart souffrant de multiples fractures, ou autres hématomes. Personne ne croira qu’il y a des survivants à en voir l’état des véhicules. En fait, l’un de ces derniers est un minibus Mercedes Sprinter d’une coopérative de transport. C’est lui qui a percuté de plein fouet une voiture garée sagement sur le côté de la chaussée. Le conducteur a dormi à l’intérieur, contexte du couvre-feu oblige. Depuis la veille, il a dû faire cette halte à Ambatolaona. Celui-ci figure sur la liste des blessés, assez graves. 
La majorité de ces derniers avait été évacuée soit au centre de santé à Manjakandriana, soit dans la Capitale, pour les cas les plus graves, selon la Gendarmerie d’Ambatolaona. Quant aux dégâts matériels, ils sont également lourds, comme il est évoqué plus haut
Le Sprinter assure la liaison entre Fénérive-Est et la Capitale qu’il devait rejoindre dans la matinée, hier. Son conducteur est pointé du doigt d’avoir adopté un style de conduite plein de négligence, situation aggravée par un excès de vitesse. « Avec la vitesse à laquelle le Sprinter était lancé, le chauffeur, à un moment donné, a perdu le contrôle. Après que le minibus a d’abord percuté un talus, il s’est déporté brutalement sur l’autre côté, pulvérisant ainsi au passage l’autre véhicule en stationnement », confie une source auprès de la Gendarmerie.
Bien que le conducteur du Sprinter ait été blessé, son état n’est pas à craindre. Du coup, la Gendarmerie l’a embarqué au poste à Ambatolaona où il fut placé en garde à vue. Quant au propriétaire du minibus, cette Force l’attend également, pour le besoin d’une enquête.
 Sans doute, il s’agit de l’un des plus graves accidents de circulation impliquant un véhicule
de transport enregistrés sur une route nationale, depuis que le pays a entamé son dé-confinement en relation avec la lutte contre la propagation du
coronavirus.
Franck R.

Légitime requête

Publié le vendredi, 02 octobre 2020

Il semble qu’on ne s’accorde aucun repos quelque part là-haut. On travaille sans relâche. La répartition des tâches au sommet de l’Etat fonctionne à merveille. Qu’on le veuille ou non, la bataille contre la pandémie de Covid-19 prendra fin un jour. Les bilans de ces dernières semaines témoignent clairement que le pays est en passe de maîtriser le mal. Les taux de guérison grimpent tandis que le taux de létalité baisse et ce jusqu’au point où il descend même à zéro. Mais à peine qu’on entre dans la phase pour se débarrasser de ce redoutable ennemi qu’est le coronavirus, une nouvelle bataille se profile déjà à l’horizon et s’annonce aussi difficile que complexe à savoir la relance. En effet, le Président en tandem gagnant avec le PM est déjà à pied d’œuvre. Il s’attèle à la mise en orbite de la relance économique du pays. Madagasikara parmi les pays les plus vulnérables encaisse durement les impacts nuisibles de la pandémie du coronavirus. L’économie agonise, le social se désintègre et la politique s’échauffe. Exactement comme partout ailleurs, sous d’autres cieux, le pays va mal. Et pour tout redresser, il en faut des mesures courageuses et radicales. La situation telle que nous vivons exige de la part de tous une coopération franche et loyale. La solidarité internationale est fortement souhaitée. Il faut bien qu’on se donne la main. Une aubaine se présente, l’Assemblée générale (AG) de l’ONU qui, cette année 2020, célèbre son 75ème anniversaire.
Sur la tribune des Nations unies, le Chef de l’Etat Rajoelina et le Premier ministre Ntsay, à deux occasions différentes durant la même AG, ont lancé un leitmotiv commun recommandant « l’esprit solidaire » et ce afin de remettre en marche de façon efficace et rapide le monde.
Le PM qui représente Madagasikara lors du discours solennel de l’Assemblée générale, par visioconférence, appelle la communauté internationale à unir les forces pour éradiquer cette terrible pandémie. Il n’a pas oublié de témoigner aux yeux du monde entier l’efficacité du remède traditionnel amélioré (RTA) le Covid-Organics (CVO) qui a permis d’ailleurs à la Grande île de se défaire de l’emprise de la pandémie.
Pour sa part, le Chef de l’Etat focalise son intervention sur la nécessité d’offrir aux pays en difficulté, les pays pauvres s’entend, terriblement secoués par la crise sanitaire, l’opportunité de pouvoir se relever rapidement. Rajoelina dans son franc-parler habituel demande aux pays nantis d’effacer la dette des pays pauvres. En effet, il est pratiquement impossible pour les pays endettés avant la crise sanitaire de pouvoir sortir du cercle vicieux de la pauvreté après le coup fatal de la pandémie de Covid-19. Certainement, l’écart entre pauvres et riches va se creuser davantage. Le Chef de l’Etat malagasy fait appel aux pays riches pour qu’ils fassent preuve d’humanité. Une légitime requête qui s’inscrit dans le cadre de la nécessité absolue d’une solidarité juste et équitable entre humains.
Pour une fois, les pays riches sont appelés à faire abstraction de leurs intérêts propres au profit des moins chanceux. Nul n’est sans savoir que la vulnérabilité de ces pays en détresse d’aujourd’hui résulte des exploitations ignobles et  injustes de leurs ressources humaines et de leurs richesses naturelles par les principaux pays nantis d’aujourd’hui. Andry Rajoelina évoque un simple retour d’ascenseur !
Ndrianaivo

Le patron de la Confédération africaine de football (CAF) depuis 2017, Ahmad, a présenté son bilan aux présidents des Fédérations affiliées. En fonction de leurs réactions, le président Ahmad va décider de briguer ou pas à sa propre succession le 12 mars 2021 à Rabat.
Officiellement, le président de la Confédération africaine de football (CAF) ne sait pas encore s’il va être candidat à sa propre succession, le 12 mars 2021 à Rabat. Ahmad a toujours dit qu’il ne fera pas plus de trois mandats au sein du Comité exécutif de la CAF. Lui qui en a, tour à tour, été membre (2013-2017) puis patron (2017-2021), pourrait bel et bien s’y présenter dans cinq mois.
Mais ce sera une surprise, une très grande surprise s’il ne brigue pas un second mandat. En effet, le patron du football africain est en pré-campagne depuis plusieurs semaines. La présentation de son bilan aux présidents des Fédérations nationales s’inscrit dans cette opération de charme.
« La transformation du football africain », le nom d’un document de pré-campagne d’une demi-dizaine de pages, énumère toutes ses réalisations au cours de sa première mi-temps. « Ce fichier ne porte pas le logo de la CAF, car il est à l’initiative de l’équipe du président et a été réalisé sur ses fonds propres », assure-t-on dans son entourage. Ce bilan est accompagné d’un formulaire de soutien à remplir et à signer par les présidents de Fédérations », rapporte une source.
En réalité,  Ahmad est en train de sonder l’électorat. Il veut avoir une idée claire de son objectif avant de décider de franchir le pas et d’annoncer officiellement sa candidature et ce de savoir s’il va avoir assez de soutien pour rempiler. Car celui-ci connaît trop bien les risques de retournement de situation. Lorsqu’il s’était présenté face à son prédécesseur Issa Hayatou en 2017, peu sont en effet ceux qui le soutenaient ouvertement face au Camerounais. Et, à l'arrivée, il l'avait pourtant emporté par 34 voix contre 20.
Pour rappel, « une candidature à la présidence de la CAF doit être proposée par au moins une association nationale membre de la CAF. [Cette] candidature à la présidence de la CAF n’est recevable que si elle est soutenue, par écrit, au moins par trois associations nationales membres de la CAF, dont obligatoirement l’association nationale membre du candidat concerné ». En outre, « un candidat à la présidence de la CAF doit avoir joué un rôle actif dans le football (en tant que joueur ou officiel de la FIFA, de la CAF ou d’une association nationale membre de la CAF ou d’un de ses membres affiliés) durant aux moins deux des cinq dernières années ayant précédé le dépôt de sa candidature ».
Receuillis par E.F.

« Nous devons être le changement que nous souhaitons voir dans le monde ». C’est ce message de Mahatma Gandhi que l’ambassade de l’Inde à Madagascar veut faire passer en marge de la mise en œuvre de la transition énergétique. En effet, afin de marquer d’une pierre angulaire la célébration du 150ème anniversaire de ce prophète, l’ambassade indienne a installé un panneau solaire sur son toit. La célébration s’est tenue hier à Tsaralalàna, en présence du Premier ministre Ntsay Christian et de la ministre de l’Environnement et du Développement durable, Baomiavotse Vahinala Raharinirina. Cette utilisation de l’énergie solaire a fait de l’ambassade indienne la première ambassade à Madagascar, mais également dans le monde à utiliser des sources d’énergie propre et verte. « Etant une petite ambassade, nous ne consommons en moyenne que 8 kilowatts d’électricité par jour. J’ai donc pensé pourquoi ne pas installer une source d’énergie solaire sur le toit. D’autant plus qu’Antananarivo reçoit du soleil toute l’année. Grâce à cette initiative, nous devenons la première ambassade indienne au monde mais également à Madagascar à devenir une ambassade propre et verte. Imaginez que toutes les ambassades et missions diplomatiques dans le monde utilisent une forme d’énergie renouvelable pour lutter contre le changement climatique. Ne serait-ce pas un changement que nous aimerions voir ? », déclare Abhay Kumar, ambassadeur de l’Inde à Madagascar durant son discours.
Il faut savoir que la Grande île fait partie de l’Alliance solaire internationale (ASI) lancée à l’occasion de la COP 21 par le Premier ministre indien Narendra Modi et le Président français François Hollande. Notre pays a ainsi ratifié l’accord cadre de l’alliance dès le premier jour de la conférence de Marrakech sur le changement climatique en 2016. C’est une raison pour laquelle le Gouvernement malagasy s’oriente également vers l’énergie verte. « La transition énergétique est devenue incontournable dans un souci de protéger l’environnement. De plus, notre pays possède de forts potentiels pour rendre possible la production d’énergie verte, compétitive et renouvelable. Je soutiens toute activité durable, écologique et qui apporte des bénéfices à la population tout en préservant la nature, avance la ministre de l’Environnement.
Solange Heriniaina

5 à 20 %. Telles sont les fourchettes de valeurs relatives à la hausse du taux de réussite à l’examen pour l’obtention du Brevet d’étude de premier cycle (BEPC) dans la plupart des Circonscriptions scolaires (CISCO) qui ont publié les résultats depuis le début de cette semaine. Pour la CISCO de Toamasina I, cette hausse s’élève à 19,7 %, avec un taux de réussite de 48,31 % contre 28,61 % l’année dernière. La hausse se constate également dans la meilleure moyenne dans cette CISCO de l’Atsinanana, soit 18,67/20 cette année contre 17,77/20 en 2019. Mieux, le CEG de référence dans cette localité enregistre un taux de réussite de 100 %, un fait rare dans les établissements publics.
Pour la CISCO d’Antananarivo ville, 51,74 % des candidats ont décroché leur 2ème diplôme officiel cette année, contre 36,91 % en 2019, soit une hausse de 14,83 % enregistrée. Ce taux de réussite a tourné, notons-le, autour de 48 % en 2017 et 2018. Quant à la CISCO d’Antananarivo Atsimondrano, le taux de réussite est passé de 47,72 % en 2019 à 54,47 % cette année, soit une augmentation de 7,35 %. « Les candidats ont eu le temps de réviser et traiter divers sujets durant le confinement. Les sujets uniques proposés dans tout Madagascar étaient plus ou moins faciles à traiter, sauf pour le Malagasy. Les notes des candidats y sont désastreuses, mais ils ont quand même pu se rattraper avec les autres matières », avance Arsène Ramananjatovo, chef de ladite CISCO.
Les 7 Circonscriptions scolaires regroupant la Direction régionale de l’éducation (DREN) de Vakinankaratra enregistrent toutes une hausse considérable du taux de réussite, variant entre 12 et 22 %. La CISCO de Betafo note le meilleur taux de réussite, soit 62,91 %, suivie par Mandoto, Antsirabe II et Antsirabe I, avec respectivement 57,88 %, 56,41 % et 54,46 % des candidats. Au total, ladite DREN enregistre un pourcentage de réussite de 52,38 % cette année contre 37,18 % en 2019, soit une hausse de 15,2 %. Soulignons que sur 22 536 candidats inscrits, 1 166 ont raté leur 2ème examen officiel, soit un taux d’absence de 5,17 %.
Recueillis par Patricia Ramavonirina


« Changer l’histoire par la science ». Cette devise trône sur la façade de l’usine « PHARMALAGASY » qui a officiellement ouvert ses portes, hier à Tanjombato, et ce après 5 mois d’installation. L’expression en dit long sur les motivations du régime dans la mise en place de cette unité de fabrication locale de médicaments. En effet, la naissance de cette nouvelle usine constitue un nouveau tournant dans l’histoire de la pharmacopée malagasy. La cérémonie s’est tenue devant un parterre d’invités dont des membres du corps diplomatique, des représentants des partenaires ainsi que des chefs d’institution. L’on n’a pas manqué de remarquer la présence de l’ancien Président, Didier Ratsiraka.
D’emblée, la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Assoumacou Béatrice, a remercié le Président de la République pour son soutien inconditionnel à la recherche. « Nous sommes passés de l’utopie à la réalité », a déclaré ce membre du Gouvernement.

Résolution  du problème d’approvisionnement

Le choix de cette période de crise sanitaire pour ouvrir cette nouvelle usine pharmaceutique est plus qu’une opportunité pour la Grande île. Qui plus est, cela coïncide avec les recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui tend vers une valorisation de la médecine traditionnelle.
« Je suis heureuse de parler de fabrication locale de médicaments et autres produits essentiels, une thématique très importante pour l’OMS », a souligné Charlotte Ndiaye, représentante de l’OMS à Madagascar. Et d’ajouter que « nous adressons nos encouragements aux scientifiques et chercheurs malagasy (…) ainsi que nos vives félicitations pour le leadership du Président dans la lutte contre la pandémie de Covid-19 ». Cette initiative saluée par cette organisation mondiale résoudra également le problème d’approvisionnement en médicaments puisque Madagascar importe encore plus de 80% de ses besoins.
Pour sa part, le Président Andry Rajoelina a déclaré que « le choix du lieu d’implantation de PHARMALAGASY à Tanjombato n’est pas un hasard. L’endroit a déjà abrité l’OFAFA (Orinasa Fanamboarana Fanafody) en 1981 sous le régime de l’ancien Président Didier Ratsiraka ». Ladite société a été fermée en 2007. Le Président se désole de l’état dans lequel se trouvait la société lors de sa visite des lieux au mois de mai, mais cela a davantage renforcé sa volonté d’implanter cette nouvelle usine.

Présentation du CVO +

Les gélules CVO + sont les premiers produits de l’unité de fabrication PHARMALAGASY et étant fabriquées à partir de l’Artemisia. Selon les explications, une gélule contient 100mg d’artemisinine (un dérivé de l’Artemisia) ainsi que du Ravintsara. La capacité de production de l’usine est de 22 500 gélules par minute. Le Chef de l’Etat a réitéré que Madagascar est le plus grand producteur d’Artemisia, avec une qualité supérieure en Afrique voire dans le monde. Il revient également sur les essais cliniques effectués avec la bénédiction de l’OMS.
« Madagascar est le seul pays africain à avoir effectué 3 essais cliniques avec des résultats concluants à partir de trois protocoles de traitement de la Covid-19 : l’injection à base d’artesunate, la décoction Covid-Organics et les gélules CVO + ». Selon ses explications, 7 millions de citoyens ont bénéficié du tambavy Covid-Organics sur tout le territoire national.
Outre ces gélules destinées à renforcer le système immunitaire et lutter contre la Covid-19, l’usine prévoit de produire 12 autres nouveaux médicaments dans les 3 années à venir. Des médicaments génériques contre les maladies chroniques comme la toux, la diarrhée, ou encore les antibiotiques et autres vitamines. Annonçant la prochaine mise en place de l’usine d’assemblage de voiture dans la Grande île, le Président de la République a reconnu que « PHARMALAGASY est la locomotive de l’industrialisation à Madagascar ».
Sandra R.

Une guerre froide entre les membres. L’association du Grand Sud Est à Toamasina, rassemblant les natifs des Régions de Nosy varika, Mananjary, Ifanadiana, Ikongo, Manakara, Vohipeno, Farafangana, Vondrozo, Vangaindrano, Befotaka, Midongy Atsimo, Taolagnaro est divisée en deux camps à cause de la couleur politique. Afin de dissimuler les malentendus, les conservateurs des us et coutumes de cette association, notamment les Ampanjaka, ont effectué une déclaration officielle, mercredi dernier.

 Dans la nuit du mercredi dernier, un gang composé de plusieurs individus armés a attaqué une propriété privée appartenant à un grossiste dans le quartier de Soamahatamana, à Antsirabe. Des coups de feu ont été entendus, histoire chez les assaillants d’intimider les voisins des victimes, et surtout les terroriser. Ils ont également lancé une volée de débris de pierre, ces objets qui sont transformés en de redoutables armes. Les cibles : des voisins des victimes ou autres curieux, qui ont tenté de regarder la scène depuis leurs maisons.    Les bandits ont fait la main basse sur une somme de 15 millions d’ariary, et ce, au prix d’un forcing sans précédent. Puisque l’endroit se trouve un peu en retrait du centre-ville, les assaillants ont pris leur temps pour dévaliser les locataires.

Une bonne nouvelle. Après l’alerte lancée sur les réseaux sociaux, tous les acteurs concernés se sont mobilisés. Leur priorité a été d’y acheminer des aides d’urgence alimentaire. Différentes images partagées sur Facebook entre autres démontrent que les autorités locales avec l’aide de l’Etat ont déjà distribué des vivres notamment du riz aux communautés locales. Dans un communiqué publié également par le Programme alimentaire mondial (PAM), une assistance d’urgence à 150 ménages représentant 750 personnes dans les Fokontany de Marovahatse et Ifotaka a été apportée. Des vivres composés de riz, de haricot, de l’huile et de farine de maïs/soja fortifiée en vitamines et minéraux y ont été distribués. 

Une légère amélioration par rapport aux résultats de 2019. 51,74% des candidats qui se sont présentés à l’examen pour l’obtention du Brevet d’étude de premier cycle (BEPC) dans la Circonscription scolaire (CISCO) d’Antananarivo- ville viennent de décrocher leur diplôme. Ce taux de réussite a augmenté de 14,83% par rapport à celui de l’année dernière, lequel était de 36,91%. Il a tourné autour de 48% en 2017 et 2018. « Malgré les semaines de suspension des cours à cause du confinement lié à la pandémie de coronavirus, les candidats ont quand même eu le temps de réviser chez eux et de revenir en classe pendant quelques semaines, avant de passer à la session. D’un autre côté, les sujets uniques dans tout Madagascar étaient plus ou moins faciles à traiter, d’après les candidats.

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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