Le traitement systématique par les agents d'une société, en vue d'une désinsectisation du local abritant la société Gamma Textile, une entreprise franche spécialisée dans la confection à Anosizato-ouest, a très mal tourné samedi matin dernier. Au moins 70 salariés qui ont travaillé dans le hangar, ont été victimes de malaises liés à une intoxication d'origine chimique plus ou moins sévère : vertige, difficulté à respirer, syncope, etc. Des salariés s'écroulaient ainsi les uns après les autres. D'autres n'ont perdu connaissance qu'une dizaine de minutes après qu'ils ont quitté précipitamment l'usine. « J'ignore ce qui s'était passé. Mais il y avait cette odeur particulièrement tenace rendant l'air irrespirable », se souvient une femme.
Soumise à la Haute Cour constitutionnelle (HCC) le 24 décembre 2019. La Loi n° 2019-008 relative à la lutte contre les violences basées sur le genre (VBG) fait partie des 6 dossiers en instance auprès de cette juridiction constitutionnelle. Elle y sera ainsi soumise au contrôle de constitutionnalité. Si cette loi s’avère conforme à la Constitution, elle passera au Président de la République pour sa promulgation. Sa publication dans le Journal officiel confirmera sa mise en vigueur. Toutefois, un décret d’application s’impose en cas de nécessité de précision des modalités. Toutes ces étapes à suivre avant l’application de la loi sont attendues cette année 2020.
Simple fait du hasard ? Concours fortuit de circonstances ou simple coïncidence de faits ? Les réalités sont là ! Le chiffre 13 semble, apparemment, porter bonheur à notre Président et par extension le pays entier. Un chiffre craint par certaine civilisation d'un autre continent surtout s'il tombe un vendredi. Par contre, dans d'autres contrées quelque part en Palestine, il y a plus de deux mille ans, il incarna l'espoir et porta du baume au cœur. Quand il fallait remplacer le Douzième, le traitre, qui s'était suicidé, les Onze avaient dû choisir un autre Douzième, Matthias, en fait un Treizième, en lieu et place du traitre, Judas. Ce fut l'apaisement pour les Apôtres !
Conclusion hâtive. Des propos malveillants véhiculés sur les réseaux sociaux font l'état de l'implication d'une société malagasy dans la fuite du Franco-libanais Carlos Ghosn, ex-Pdg du groupe Renault- Nissan du Japon où il était détenu des mois pour des présumés malversations financières. A la veille de la fin d'année 2019, celui-ci a déjoué la surveillance des autorités japonaises et s'est enfui du pays du Soleil levant pour rejoindre le Liban via la Turquie. C'est dans ce dernier pays qu'opère effectivement la société MGN Jet, première compagnie de location de jets en Turquie. Carlos Ghosn a pu s'enfuir de son pays de détention à bord de deux jets privés loués par cette société turque à deux prestataires différents, dont la compagnie Qatar Executive qui gère et exploite un des jets de TOA Aviation Madagascar depuis quelques mois.
Les éléments du Service central des enquêtes spécialisées (SCES) de la Police, ont interpellé 5 ressortissants chinois dont une femme pour trafic de femmes malagasy vers la Chine. Ces arrestations remontent vendredi dernier dans un hôtel sis à Ivato. Tout a démarré en mois de décembre 2019 lorsque la Police était renseignée sur les agissements d'une inconnue, de nationalité chinoise. Elle serait une entremetteuse à la recherche de femmes malagasy en vue de les marier à des Chinois.