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Promouvoir la durabilité de la gestion des ressources marines et améliorer l’adaptation de la communauté face aux défis du changement climatique. Tel est l’objectif principal du projet BIOPAMA, axé sur le renforcement de la cogestion du parc national marin de Nosy Hara. C3 Madagascar a mené une étude sur la chaîne de valeur de la pêche aux poulpes sur deux villages cibles, à savoir Antsako et Lalandaka. Ceci en collaboration avec l’ONG « Zoology Society of London », ainsi que la Direction régionale de la Pêche et de l'Economie Bleue dans la Région DIANA. Les recherches se sont également étendues sur Ampasindava, étant donné la centralisation de la collecte des produits dans ce village.

C3 Madagascar a facilité l’obtention des cartes professionnelles de 911 pêcheurs, dont 34 % sont des femmes, travaillant quotidiennement au niveau des 21 villages, zones d’intervention du projet. Une association de pêcheurs a été primordialement constituée dans chacun des villages.  Cet effort a été mené afin de régulariser les captures et de faire respecter les normes applicables en l’occurrence. Pour pouvoir apprécier l’efficience de cette étude, arrivée aux termes de la mise en œuvre du projet, une évaluation de l’amélioration des revenus des ménages sera effectuée.

Compte tenu des résultats de l’analyse faite, tant auprès des membres de la communauté travaillant dans la filière que les entités concernées, des recommandations ont émergé afin d’améliorer ce secteur d’activité. Ces recommandations ont été discutées et partagées avec les partenaires collaborateurs de C3 sur toute la Région de DIANA durant l’atelier de présentation mené par le consultant expert Dr. Stephen Long. Elles touchent non seulement l’amélioration du marché, en valorisant les produits et en révisant les prix, mais également sur le plan juridique, notamment l’application du « Dina »…

Recueillis par P.R.





Des avancées remarquées. Si les travaux sur les berges du canal C3 ont débuté en février dernier, près de 15% sont actuellement réalisés. Les travaux concernent 8 tronçons dudit canal C3, allant du bassin d’Anosibe jusqu’aux berges dudit canal, dans le Fokontany d’Anatihazo Isotry et près du CENAM. Les travaux contribuent grandement à la prévention de l’inondation à Antananarivo, notamment dans les bas-quartiers. Les riverains des Fokontany concernés constatent des changements notables suite aux travaux. A l’exemple des habitants du Fokontany III G Hangar, les berges de ce tronçon du canal C3, très fréquentées, étaient au bord de l’affaissement. A ce jour, près de 90 % du chantier ont été réalisés sur ce point en particulier. Les infrastructures bâties s’inscriront dans la durée et contribueront à l’amélioration du quotidien des communautés concernées.
Par ailleurs, les chantiers avancent sur les rives gauche et droite du bassin tampon d’Anosibe, à Anosibe Mandrangobato I et II, à Ambohibarikely et dans l’Ouest Mananjara. Du côté d’Ankasina, la réhabilitation du tronçon suit également son cours. « Les Fokontany ont été très impliqués. Ils ont grandement facilité le déroulement des travaux », soutient Zoliarisoa Rakotovao, experte en maîtrise d’ouvrage institutionnelle et sociale. Des riverains ont pu bénéficier de contrats ponctuels dans le cadre des travaux menés. Le recrutement de mains-d'œuvre locales non qualifiées dans les Fokontany où les travaux s’opèrent fait partie de l’un des engagements du Projet de développement urbain intégré et de résilience (PRODUIR) pour le grand Antananarivo. Sur l’ensemble des chantiers, le taux de recrutement de mains-d'œuvre locales non qualifiées oscille entre 5 et 10 %.

Les travaux de confortement des berges permettront une meilleure maîtrise de l'écoulement d'eau. Les murets contribueront à mieux contrôler l'écoulement d'eau, ce qui est particulièrement important pendant les travaux de curage. Ils serviront à maintenir la stabilité des berges et à prévenir d'éventuels problèmes d'érosion. Dans les semaines à venir, le projet procèdera à la réhabilitation d’autres tronçons, entre autres  celui situé entre le pont d’Ambodin'Isotry et le pont en face de la station Jovena, dans la cité des 67 Ha.

Pour information, les travaux préparatoires au curage du canal C3 et de protection des berges sont réalisés de manière indépendante par rapport aux opérations de curage et seront intégrés aux travaux de terrassement et d'assainissement. La majeure partie des structures implantées occasionnera des gains pour les travaux de curage du canal C3 que le projet entamera bientôt. Ainsi, les murets prévus dans ce projet seront construits à l'abri des batardeaux. « En construisant les murets à l'abri des batardeaux avant le curage, nous minimisons les risques de dommages potentiels à l'infrastructure existante », explique notre source auprès du PRODUIR. Les murets serviront également de protection pendant les travaux de curage.
Recueillis par P.R.




Une activité en plein essor. Beaucoup se ruent vers la vente des fleurs rares, plantes grasses ou encore celles d’ornement et porte-chance. Les fleuristes ne se contentent pas tout simplement de la culture traditionnelle, mais utilisent des techniques modernes comme la greffe pour créer d'autres variétés. Et c’est d’ailleurs l'exigence du marché. A part une passion ou un anti-stress, c’est aussi une source de revenu.
Dans la Capitale, le marché des fleurs est encore très vaste. Les commerçants œuvrant dans ce secteur proposent notamment des plantes servant à la décoration, des bulbes à fleurs, arbres et arbustes, graines, accessoires comme des cache-pots, pots et vases. Ils fabriquent également des couronnes, bouquets, ou bien des fleurs séchées. Selon Marie-Odette, jardinière, les Malagasy commencent à apprécier des fleurs et plantes rares malgré le fait que les prix sont encore onéreux. « Les prix varient selon la variété de fleurs, qu’elles soient en boutons ou des graines. C’est pour cela que beaucoup misent sur la greffe afin d'en créer une nouvelle variété », soutient-elle.
Quoi qu'il en soit, les voleurs des plantes rares commencent à nuire à cette activité. Ils connaissent bien leurs cibles. D’après les victimes, malgré qu’elles aient déjà renforcé la sécurité, les fleurs ont disparu. Les bandits connaissent bien la valeur de chaque plante et ils ne prennent que ceux qui sont très chers comme l’anthurium, l’orchidée Vanda, Cattleya, Cymbidium, le dieffenbachia, le bougainvillier panaché rouge, le marantha serpent. Dans d'autres cas, les employés sont même complices des voleurs.
Un anthurium avec une fleur et un bouton pourrait être vendu jusqu’à 450.000 ariary, selon sa variété. « Ce prix ne couvre pas son entretien, puisque l’on doit patienter quelques années pour que la première fleur apparaisse », poursuit Marie-Odette. Lucia Voahirana est  aussi une passionnée des fleurs. Elle économise tant d’argent pour entretenir ses fleurs. Cependant, à plusieurs reprises, elle a déjà été victime de vols. Une dizaine de pots ont été volés en quelques jours seulement. Les voleurs ne s’intéressent qu’aux anthuriums.
Outre les acheteurs de fleurs rares et de plantes d’ornement, les amateurs de plantes porte- chance et grasses se multiplient de jour en jour. Leur prix est fixé à partir de 1.000 ariary le pot. Viennent ensuite les fleurs séchées comme les fleurs de la pampa, le Lepidium, le blé, le chardon, les immortelles, l’hortensia, la lavande, le Limonium. Ces fleurs sont vendues par tige ou en paquet.
Anatra R.



Le parcours peu commun de Bryan Ratsivahiny. A 16 ans à peine, il s'aligne dans la catégorie senior et il est pressé de se mettre dans le bain. Pour l’ouverture de saison, Bryan figure déjà dans le top 5 des meilleurs pilotes de la discipline à Madagascar.  Le jeune prodige de la course automobile a encore fait parler de lui en fin de semaine dernière sur le bout de piste de Base 213 à Arivonimamo lors du championnat de Madagascar de Run sur 400m, Mobil Drag XXL Premier défi. Les mordus de cette discipline devront s’habituer à entendre son nom car il a tous les atouts et le profil d’un futur grand champion.
Avec le soutien indéfectible de sa famille, Bryan Ratsivahiny a su lester des poids dans sa tête.
« Le stress était de taille notamment quand on court contre des pilotes déjà champions durant le premier passage et la finale surtout. Mais j’ai juste prié le bon Dieu de nous aider. Puis je communique avec ma voiture. Allons-y tonnerre, on peut le faire. Mais mon entraînement de Jiu-Jitsu aussi m’a beaucoup aidé durant ce run », avoue Bryan Ratsivahiny. Lui qui se prépare aussi à entrer sur le tatami du Jiu-Jitsu pour sa première compétition.
La journée du dimanche était une grande victoire éclatante, pour le fils du député d’Atsimondrano, Andry Ratsivahiny, car si Herizo Boarilaza alias Bobo a non seulement été couronné champion, il a également établi un record de 9 secondes 13 centième au volant de sa Mitsubishi EVO5. Mais Bryan n’était pas loin avec sa Peugeot 205 avec 13secondes un centième. Cette performance lui a valu son premier titre dans la catégorie de Super Run.
Le classement général issu de la première manche du championnat de Madagascar de Run 400m a respecté la logique avec les gros cylindres de la catégorie Pro Run en haut du podium, Bobo en tête talonné par Tahiana Rasoloarijaona, dit Jaytax, au volant de sa BMW M Xdrive, victime de pépin mécanique en demi-finale et Vazaha du nom civil Jean de Dieu Rafanomezantsoa, a complété le podium avec un temps de 10,77 secondes au volant de sa Subaru, battant Nouroudine et sa Peugeot 205 T16. Les quatre premiers hommes du classement sont tous de la catégorie Pro Run.
Bryan a terminé 5ème du classement général  sur 36 participants, se plaçant derrière Vazaha et Nouroudine mais premier de la catégorie Super Run. C’est  le premier titre de l’année pour le jeune Bryan Ratsivahiny. Chaque étape de sa vie semble avoir rapproché ce prodige de la course automobile de son objectif. Celui de devenir champion de Madagascar.
Rappelons que la saison dernière en 2023, Bryan Ratsivahiny a établi un nouveau record personnel lors de la troisième manche du championnat de Madagascar de run. En 2022, à seulement 14 ans,  Bryan est devenu champion de Madagascar de la catégorie rookie et vice-champion chez les jeunes pour sa toute première compétition au volant de sa 205 s16.
Elias Fanomezantsoa


Le secteur privé et l'administration fiscale à Madagascar se sont réunis hier dans un dialogue franc et transparent afin de discuter de la réforme fiscale en cours. Germain, directeur général des impôts, a souligné que « l'objectif principal du contrôle fiscal était d'assurer l'égalité entre tous les entrepreneurs en matière d'imposition, identifiant les disparités existantes où certains paient trop peu, tandis que d'autres paient trop ». 
Au sein du Groupement des entreprises de Madagascar (GEM) et de l'administration fiscale, les représentants du secteur privé ont insisté sur l'importance d'un dialogue constructif pour soutenir cette réforme. Ils ont unanimement convenu que cette initiative ne devrait pas pénaliser les entreprises respectueuses de leurs obligations fiscales, mais plutôt les aider à prospérer en améliorant les lois fiscales. Les discussions ont également mis en lumière l'importance de maintenir des taxes professionnelles équitables pour tous les acteurs du marché. Un autre point important abordé lors de la réunion était celui du recouvrement forcé.
Les participants ont souligné que « cette mesure était conçue pour garantir le respect des obligations fiscales sans nuire aux entreprises ». Ils ont également convenu que « l'amélioration du contrôle fiscal et du recouvrement forcé était essentielle pour optimiser l'environnement des affaires à Madagascar ». Dans un esprit de collaboration et de développement, les parties prenantes ont souligné « l'importance de travailler ensemble pour promouvoir un environnement fiscal juste et favorable aux affaires. La réforme fiscale est perçue non pas comme une contrainte, mais comme un moyen d'améliorer la gouvernance fiscale et de soutenir le développement économique du pays ».
Le directeur général des impôts a également évoqué la possibilité de proposer des modifications à la loi fiscale si nécessaire dans l'intérêt de Madagascar. Cette réunion témoigne de l'engagement des acteurs économiques et fiscaux à travailler ensemble pour faire avancer la réforme fiscale à Madagascar. Le dialogue ouvert et transparent reste au cœur de cette démarche, avec comme objectif ultime de créer un environnement fiscal favorable à la croissance économique et au développement durable du pays.

Le GEM, une force unie du secteur privé

Francis Rabarijohn, président du GEM, souligne l'importance du contrôle fiscal pour améliorer les revenus. Il rappelle l'engagement des membres du GEM, incluant des groupes sectoriels tels que le Groupement des entreprises franches et partenaires (GEFP), la Confédération du tourisme de Madagascar (CTM), la Chambre de commerce et d'industrie France-Madagascar (CCIFM), tous réunis pour établir un dialogue avec la Direction générale des impôts. Avec plus de 120 membres et environ 2.200 entreprises directes et indirectes, le GEM représente une force unie du secteur privé dans les discussions fiscales.

Carinah Mamilalaina

Un concept qui sort de l’ordinaire. Après leur participation à l’évènement « Rock Impact » au Cibus Tamatave et après avoir cartonné sur la scène de l’Institut français de Madagascar (IFM) en février dernier, Mashmanjaka et sa bande ont décidé de repartir à la conquête du public tananarivien pour une retrouvaille avec ses fans. En effet, le groupe montera sur la scène du Kudéta Urban Club, situé à Anosy, ce soir à 20h pour présenter son tout nouvel univers musical, et ce à la veille d’un jour chômé. « L’idée est simple : il s’agit de faire un nouveau genre de concert la veille d’un jour férié. Ainsi, pour cette première édition, le prochain jour férié sera le 1er mai. Ainsi, Nan’s Prod invite tous les noctambules et amateurs de musique ce soir au Kudéta Urban Club, Anosy pour le concert de Mashmanjaka. Le groupe, accompagné par Hazavagna Muzika, sera à l’affiche de cet événement. Le concept de "Demain c’est fait rien", pour dire ainsi "Demain c’est férié" vise à offrir une expérience musicale unique aux Tananariviens, en leur permettant de profiter d’une soirée de divertissement de qualité avant une journée de repos bien méritée », explique un responsable au sein de la maison de production musicale Nan’s Prod. Ce groupe, originaire du Sud-est de Madagascar, toujours aussi électrisant et galvanisant, promet une soirée des plus endiablées au plaisir de ses fans.
Illustre
Mashmanjaka a été bercé par les chants et les musiques traditionnelles typiques de cette localité dès l’enfance. En 1997, il avait cofondé « Lonaky Ambanitana » et s’était installé à Antananarivo en 1999. Sa rencontre avec le groupe de rap Makua l’a propulsé sur la scène du hip-hop malagasy. Il a également partagé des moments mythiques avec des artistes de renom comme Sean Paul, Diam’s, et d’autres venus dans la Grande île au milieu des années 2000. L’artiste a décidé de voler de ses propres ailes et lançait sa carrière solo en 2010, en développant une identité culturelle unique et captivante. Depuis 2015, Mashmanjaka, sous le concept « Mashmanjaka Hazavagna », fusionne le reggae « New roots » avec de la musique locale, créant ainsi une représentation artistique riche et varié.
Ce chanteur continue à conquérir le cœur des fans de la musique urbaine grâce à son style et son flow. Son influence croissante fait de lui une figure incontournable de la scène musicale malagasy, célébrant l’unité inter-générationnelle à travers sa musique engagée. Sur scène, Mashmanjaka sera accompagné par les musiciens qui ont écrit l’album avec lui, à savoir Ranto Niaina à la guitare, Dads à la basse et Cedrick Ratovo à la batterie. Il reste à savoir si les habitués des lieux sauront prendre du plaisir avec cette affiche exceptionnelle. Ce qui est certain, c’est qu’avec ce genre de groupe en « live », le public pourrait s’attendre à une musique d’ambiance urbaine, des rythmes perforants, un dynamisme passionnant, alternant roots, ragga dance hall et hip-hop avec un petit pep de reggae.
Si.R

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LA UNE DU 29/04/24

Le Tai chi et le Qi Gong peuvent rassembler des gens du monde entier pour une cause commune de bien-être et de guérison. Ces pratiques ancestrales offrent non seulement des avantages physiques, mais aussi une profonde connexion avec soi-même et avec les autres. C'est inspirant de voir tant de personnes se réunir pour respirer ensemble et partager une vision de paix et de santé.

Le dernier samedi d’avril de chaque année a lieu la journée mondiale du Tai chi et du Qi Gong dans plus de 100 villes, couvrant 80 nations. Les pratiquants de ces arts martiaux se réunissent, pour respirer ensemble, fournissant une vision de guérison pour notre monde.

Plus d'une semaine après le meurtre barbare d'un Chinois d'une cinquantaine d'années à Masindray- Avaradrano, l'enquête menée par la Gendarmerie a été finalement couronnée. Après l'arrestation, puis la garde à vue du gardien, principal suspect, mais aussi l'épouse de celui-ci, l'affaire franchit une nouvelle étape. Samedi dernier, le couple fut déféré au Parquet, puis cette instance judiciaire l'a fait placer sous mandat de dépôt, l'homme à Tsiafahy pour homicide, son épouse à la maison centrale d'Antanimora, pour complicité.

Une zone de perturbation atmosphérique se rapproche lentement de la Grande île. Hier, son centre était situé à 900 km au nord-ouest d'Antsiranana. Selon la prévision émise par la Météo Malagasy, elle est accompagnée d’un vent de 30 à 40 km/h et des rafales pouvant atteindre 50 km/h. La partie du Nord-est de l’île, notamment la partie orientale de la Région de SVA ainsi que le Centre-est du pays sont ainsi influencés par ce système jusqu’à vendredi. Cependant, cette zone de perturbation atmosphérique va s'affaiblir progressivement en milieu de semaine. A l’heure actuelle, elle se déplace progressivement vers le sud ou le sud-ouest. Dans les deux prochains jours, son intensité va augmenter. Ce qui fait qu’elle pourrait devenir une tempête tropicale. 

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Editorial

  • Et les gouverneurs !
    Qu’en est-il de nos vice-rois ! On revient à la charge pour remettre sur le tapis le cas de ces hauts dirigeants dans les Régions. Coup de tonnerre ! Le Chef de l’Etat décida de procéder à un Conseil des ministres en direct le 8 janvier à travers les antennes nationales publiques à partir du Palais d’Etat d’Iavoloha. Gageons que si le maître des céans en a voulu ainsi c’est qu’il a mille raisons de le faire. Le peuple vit dans la tourmente. Un Conseil en direct suppose que toutes les interventions durant la réunion soient transmises sans faute et atterrissent « directement » chez les téléspectateurs, dans chaque foyer. Le terme « direct » signifie qu’il n’y aura aucune possibilité de changement ni de tripatouillage en cours de route.

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