Nos archives web
Super User

Super User

La Fédération malagasy de football (FMF) est en pleine ébullition. La nomination du futur sélectionneur de l’équipe nationale des Barea est imminente, mais rien n’est encore officialisé. « Cela reste une décision cruciale que nous prenons très au sérieux », a déclaré le président de la FMF, Alfred Randriamanampisoa. 
Cinq techniciens sont actuellement en lice pour ce poste prestigieux, mais leurs noms demeurent un mystère. Le président de la FMF s’est refusé de tout commentaire sur l’identité des candidats, notamment sur la rumeur persistante concernant Tony Da Silva, entraîneur portugais. « Aucune nomination n’a encore été faite. Nous examinons chaque détail pour ne pas nous tromper dans notre choix », a-t-il affirmé, soulignant l’importance capitale de cette décision pour l’avenir des Barea. 
La FMF travaille en étroite collaboration avec une commission ad hoc composée de représentants de l’Etat, du ministère des Sports et des sponsors pour finaliser cette nomination. « C’est une affaire nationale, pas seulement celle de la FMF », a rappelé Alfred Randriamanampisoa. Les médias jouent également un rôle essentiel dans cette démarche, selon lui. 
Le futur sélectionneur bénéficiera d’un soutien financier tripartite assuré par la FMF, l’Etat et les sponsors, un partenariat inédit visant à garantir des conditions optimales. 
Alors que le premier match de qualification pour la Coupe du monde approche à grands pas en mars, la pression est palpable. Actuellement, les Barea occupent la troisième place du groupe I avec 7 points, derrière le Ghana et les Comores (9 points chacun). Le vainqueur du groupe se qualifiera directement pour le tournoi mondial, tandis que les quatre meilleurs deuxièmes accéderont aux barrages continentaux. 
Pour maximiser les chances, la FMF espère voir les Barea  jouer au stade Barea parmi les six matchs. Des démarches sont en cours pour obtenir l’homologation des infrastructures nationales par la CAF, avec l’appui des instructeurs locaux certifiés. 
La qualification pour la Coupe du monde est un objectif prioritaire pour le président de la FMF. « Nous ne ménagerons aucun effort pour fournir à l’équipe nationale les moyens nécessaires à cette réalisation », a-t-il affirmé. 
Elias Fanomezantsoa

L'économie des entreprises formelles a connu un ralentissement notable au dernier trimestre 2024, loin des prévisions optimistes émises au début de l'année. La dynamique des ventes a considérablement chuté - avec un solde d'opinion depuis l’enquête de conjoncture économique effectuée par la Banque centrale - de -4,2 % contre +27,8 % précédemment. Ce recul a été particulièrement sévère dans les secteurs primaire et secondaire, où les ventes ont chuté respectivement de –20,7 % et –45,8 %. Par contraste, le secteur tertiaire s’est montré plus résilient, affichant une légère amélioration avec un solde de +17,4 %. Parmi les entreprises les plus impactées, les petites structures ont ressenti les effets du ralentissement avec un solde d’opinion de –15,6 %, tandis que les grandes entreprises ont mieux résisté, affichant une légère hausse de +3,6 %. L’une des principales raisons de ce repli généralisé réside dans la baisse des commandes, particulièrement marquée dans le secteur secondaire (-21,4 %). Toutefois, les secteurs primaire et tertiaire ont montré des signes de reprise, enregistrant des hausses de commandes respectives de +4,9 % et +14,8 %. Un chef d’entreprise opérant dans le secteur manufacturier confie : « La chute des commandes nous a contraints à revoir nos objectifs de production. Le coût des matières premières a explosé, nous forçant à répercuter ces hausses sur nos prix de vente, ce qui n’est pas sans conséquence sur la compétitivité ».
Exacerbant
Les coûts d’exploitation hors énergie, qui n’ont cessé d’augmenter, ont touché de plein fouet les entreprises, en particulier celles du secteur primaire. En effet, 91,7 % des entreprises dans ce domaine ont rapporté une augmentation de leurs coûts. Dans ce contexte, les bénéfices ont diminué, exacerbant une situation déjà tendue. Malgré cela, les investissements ont progressé, notamment dans les secteurs primaire et tertiaire. Cependant, les petites entreprises semblent moins enclines à investir en raison de la contraction de leurs marges. « Nous faisons face à une pression croissante sur nos coûts d’exploitation, mais il est impératif de continuer à investir pour rester compétitifs. Malheureusement, cela devient de plus en plus difficile sans une réelle stabilité économique », témoigne un entrepreneur dans le domaine agricole.
Face à ce contexte incertain, les perspectives sont mitigées, avec des entreprises qui espèrent une reprise des ventes et des commandes, mais qui restent prudentes quant à l’évolution de leurs coûts et de leur rentabilité. En effet, l'inquiétude des chefs d'entreprise ne s'arrête pas à la baisse des ventes et des commandes. En parallèle, les coûts unitaires ont également poursuivi leur progression, affectant près de la moitié des entreprises (+47,4 %). Cette hausse, couplée à celle des coûts d'exploitation hors énergie, crée une pression supplémentaire sur les marges déjà fragiles des entreprises, en particulier pour les petites structures qui peinent à répercuter ces augmentations sur leurs clients, sans risquer de perdre en termes de compétitivité.






L’année 2025 s’annonce cruciale, mais peu chargée, pour les Barea de Madagascar. Non qualifiée pour la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) qui se déroulera au Maroc à partir du 21 décembre 2025, la sélection malgache se concentrera sur les éliminatoires de la Coupe du Monde 2026. Un défi de taille pour une équipe qui peine à retrouver son éclat d’antan.  

 

Depuis trois jours, la Gendarmerie de Vohémar est sur les traces d'Y.G.R. En effet, ce jeune étudiant de l'université d'Ankatso demeure introuvable depuis cette date alors qu'il est poursuivi pour injure publique à connotation diffamatoire. Sa victime : une personnalité à la Primature, sans que la source ne donne plus de détails.

Les faits ne se sont pas déroulés sur la voie publique, ni dans un quelconque bureau administratif. L'injure adressée à la victime se serait plutôt passé à travers un support informatique, autrement dit sur les réseaux sociaux, selon toujours l'information.

 

L’année jubilaire de l'Eglise catholique ne prendra fin qu’en décembre 2025. Le pèlerinage est un événement marquant cette célébration. Dans le cadre des vœux du Nouvel an, le Nonce apostolique de Madagascar, Monseigneur Thomasz Grysa, a annoncé dans une vidéo la tenue d’un pèlerinage national. Il se tiendra le 18 mai prochain à l'Ilot de la Vierge, situé à Ampefy. Cet événement religieux sera organisé pour ceux qui ne pourront pas se rendre au pèlerinage à Rome (Italie). Dans de cette vidéo, il a également précisé que ceux qui ne pourront pas se rendre à Ampefy auront la possibilité de se rendre à la nonciature apostolique du Saint-Siège, située à Villa Roma, Ivandry,  qui aura lieu le 20 mai, à l'occasion de la fête du Pape. Cet évènement sera marqué par une sainte messe. 

 

Le calendrier officiel des jours fériés pour l’année 2025 à Madagascar compte dix jours fériés habituels. Toutefois, seuls sept d’entre eux seront chômés et payés pour les travailleurs. Cela est conforme à la législation en vigueur. Le premier jour férié de l’année, le Nouvel an, a été célébré avant-hier. Les prochains jours fériés et chômés incluront le 1er mai, Fête du travail, un jeudi.

%PM, %02 %948 %2025 %21:%Jan

Attentes et actions !

Le Nouvel an pointe son nez. L’année 2025, la bienvenue, débarque de nulle part. Qu’elle apporte dans son escarcelle, si le Bon Dieu veuille bien, paix et sérénité, bonheur et prospérité !

« Attendre et agir ». Voilà les deux mots magiques qu’il faille retenir en ce début d’année. Suite au discours de fin d’année du Chef de l’Etat Rajoelina Andry Nirina, les attentes pour une meilleure condition de vie de tous les Malagasy sonnent fortes. Déterminé à prendre à bras-le-corps tous les  dispositifs nécessaires pouvant redresser le pays, le Président de la République annonce des mesures drastiques. 

Le ministère de l’industrialisation et du commerce (MIC) a récemment organisé sa première édition des portes ouvertes, le mois dernier à Ambohidahy. Cet événement a rencontré un franc succès, attirant de nombreux visiteurs issus de divers horizons. Quarante-trois stands étaient installés, offrant aux participants un aperçu complet des services et activités proposés par le MIC, les agences sous sa tutelle ainsi que ses partenaires. Cette initiative visait à rapprocher le ministère du grand public, en facilitant l’accès à l’information et en renforçant les échanges entre les différentes parties prenantes. « J’ai découvert des programmes qui pourraient grandement bénéficier à ma petite entreprise. 

Après une semaine de congé, le Musée de la photographie, situé à Andohalo, est de nouveau ouvert au public, invitant ainsi les passionnés d'art et de culture à découvrir une programmation riche et variée. L’exposition baptisée « Lutteurs bara » se démarque parmi les autres, offrant un regard unique sur la pratique ancestrale de la lutte à Madagascar. Cette exposition est une extension de « Voyage en pays bara et vezo », et elle met en avant le travail de Jacques Faublée, ethnologue et photographe (1912-2003), dont les œuvres saisissantes plongent les visiteurs au cœur de cette tradition. 

 

Dans cette interview, le ministre de l’Eau, de l’Assainissement et de l’Hygiène (MEAH) Lalaina Andrianamelasoa fait un point détaillé sur les avancées du projet de pipeline Efaho et les autres initiatives pour améliorer l’approvisionnement en eau, notamment dans le Sud du pays. Il aborde également les défis rencontrés à Antananarivo, ainsi que les solutions à court et long terme mises en place pour répondre aux besoins urgents de la population. 

 

Fil infos

  • Antananarivo-Ville - Affrontement civil redouté
  • 80e AG des Nations unies à New York - Un entretien Rajoelina – Guterres en vue
  • Etudier en France - L’octroi de visa étudiant traité en toute transparence
  • Délestage et pénurie d’eau - Ron Weiss, le premier responsable
  • 80ème AG des Nations Unies - Discours attendu du Président Andry Rajoelina
  • Délestage - Des coupures à fractionner !
  • 80e AG des Nations unies - Andry Rajoelina porte-voix de l’Afrique australe 
  • Andry Rajoelina chez le Père Pedro - Fin de la décharge d’Andralanitra pour bientôt
  • Actu-brèves
  • Environnement - Madagascar, tout feu, tout flamme

La Une

Recherche par date

« September 2025 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
Pub droite 1

Editorial

  • Octogénaire !
    L’Organisation des Nations unies a quatre-vingt ans. Pour un couple de vieux mariés, c’est une véritable noce de chêne, symbole de solidité et de longévité. La vieille Dame de New-York, du haut de ses 80 ans, peut certainement être fière de sa longévité. Pour un homme, avoir les 80 ans, c’est plus que la maturité, plutôt l’âge de vieillesse. Mais pour une Organisation mondiale telle l’ONU, c’est l’opportunité d’un second ou d’un troisième départ ! Neuf secrétaires généraux se sont succédé au siège à New-York : Trygve Lie (Norvège) 1946 – 1952 / Dag Hammarskjöld (Suède) 1953 – 1961 / U Thant (Birmanie) 1961 – 1971 / Kurt Waldheim (Autriche) 1972 – 1981 / Javier Perez de Cuellar (Pérou)1982 – 1991 / Boutros – Boutros Ghali (Egypte) 1992 – 1996 / Kofi Annan (Ghana) 1996 – 2006 / Ban Ki Moon (Corée du Sud) 2007 – 2016 / Antonio Guterres…

A bout portant

AutoDiff