Politique

Depuis sa nomination en tant que ministre des Affaires étrangères de Madagascarn le 14 janvier dernier, Rasata Rafaravavitafika s'est distinguée par son engagement à renforcer les relations internationales de son pays. Son parcours dynamique au cours de ses deux mois ou presque à la tête du département à Anosy a dépeint le portrait d'une diplomate active et déterminée qui parcourt le globe pour promouvoir les intérêts de Madagascar. En à peine quelques semaines, la toute nouvelle numéro une de la diplomatie malgache a vu l'Europe, l'Afrique, l'Asie et l'Océanie.
Encore un bandit de moins en matière de kidnapping. Le week-end dernier, la Gendarmerie a neutralisé, et ce, définitivement Dôfa, alias Fôngitiky, ce malfaiteur rendu tristement célèbre en termes d’enlèvements dans la localité de Brieville, district d'Andriamena. Les circonstances ayant conduit à l'élimination du concerné.
Au lendemain de la célébration du 8 mars, le Président Andry Rajoelina prolonge sa visite à Toamasina. Le Chef de l’Etat poursuit son engagement de rester aux côtés de la population et de résoudre les difficultés au quotidien. A Toamasina, les litiges fonciers font rage, notamment à Ambalamanasy. Un cas particulier a déjà été discuté en Conseil des ministres. « On ne peut tolérer le fait qu’un particulier ou un groupe restreint puisse avoir des bénéfices d’un terrain au détriment de la population », a déclaré le Président au cours d’un déplacement samedi à Antanandava, dans le District de Toamasina…
Le taom-baovao malagasy, célébré comme le nouvel an malgache, suscite depuis longtemps des divergences quant à sa date de célébration, créant ainsi une cacophonie au sein des différents courants qui revendiquent chacun la légitimité de sa propre interprétation. Ces variations de date continuent cette année encore.Les arguments avancés par chaque lignée, héritière des anciens royaumes malgaches, mettent en lumière la complexité de cette question. Une faction célèbre le taom-baovao du 9 au 11 février, en s'appuyant sur une tradition remontant à 449 ans, selon laquelle l'année commence avec l'Alahamady. En revanche, d’autres optent pour le 6 septembre, symbolisant le début…
Pour Esther Rajohnson (91 ans), cette épouse d’un ex-officier militaire du pays, il y a une grande différence dans la conception des droits féminins pendant la période de sa jeunesse dans les décennies 1950 et 1960 par rapport à celle des femmes d’aujourd’hui. « Dans les années 60, les femmes n’ont revendiqué que le droit de vote. Et à peine ont-elles osé revendiquer l’égalité des deux sexes dans le milieu du travail », déclare-t-elle. En revanche, cette mamie tranquille, solitaire, mais qui n’est jamais en retard des actus, se dit profondément dépassée par les revendications des femmes d’aujourd’hui quand il…
Appel à l’action. Hier à Toamasina, à l’occasion de la Journée internationale des droits de la femme, le Président de Madagascar, Andry Rajoelina, a encouragé les femmes à se présenter en grand nombre aux futures échéances électorales, citant en particulier les législatives. « La voix des femmes réclamant l'égalité des droits résonne dans le monde entier », a-t-il déclaré durant son discours en soulignant l'impact mondial de la lutte des femmes pour l'égalité des droits. Toutefois, conscient des défis persistants, il a ajouté : « Des étapes importantes ont été franchies pour le développement des femmes, mais le chemin vers…
Afin de raffermir la lutte contre la corruption au niveau des Tribunaux malgaches, l’éradication des rabatteurs figure parmi les actions à entreprendre par le ministère de la Justice. Ainsi, il a été décidé que des caméras de surveillance seront installées dans les Tribunaux. Cela vise à surveiller les rabatteurs, qui sont impliqués dans des pratiques corrompues au sein de ces instances. Ces caméras ont été aussi mises en place dans le but de lutter contre la corruption et d'améliorer les services judiciaires. En effet, de nombreux arnaqueurs ne se privent pas de berner les gens qui ont des services à…

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Editorial

  • Etat de droit (suite)
    Nous n’aurions pas un temps assez et suffisant pour décortiquer, décrypter et détaler dans son intégralité ce concept d’Etat de droit. Tellement vaste, tellement délicat et tellement basique, le sujet nécessite une analyse pointilleuse. Elle s’inscrit dans une logique rationnelle visant à essarter l’énorme chantier de la Refondation. Comme nous l’avions déjà eu auparavant, lors des précédentes communications, l’occasion de définir les règles de base relatives à la Refondation. Il nous est impératif d’insister à apporter notre part de brique dans cette œuvre si délicate et si compliquée de refondation de l’Etat et de la Nation malagasy. Nous jugeons, plutôt je le juge indispensable de bien créer une condition de visibilité maximale autour de l’Etat de droit. Une Refondation sans l’implication et l’interaction directe de l’Etat de droit claudique assurément. Elle avancera clopin-clopant.

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