Politique

Le président de la section tananarivienne du Syndicat des enseignants-chercheurs et chercheurs enseignants (SECES), le Professeur Sammy Grégoire Ravelonirina et le président de l’Alliance Randrana Sendikaly, Barison Rakotomanga, ont été entendus à la section de recherche criminelle de Fiadanana, hier dans l’après-midi. A l’issue de leur audition, ils auraient été placés en garde à vue, selon les informations recueillies. Les convocations de ces deux personnalités sont liées à une suspicion d'atteinte à la sécurité de l'Etat, selon des copies de leurs convocations parvenues à la presse. Elles font vraisemblablement suite à une lettre publiée sur les réseaux sociaux et signée…

Madagascar - La Covid-19 de nouveau menaçante ?

Publié le mardi, 21 novembre 2023
Des cas confirmés de Covid-19 dans plusieurs Régions. La pandémie refait surface à Madagascar. Depuis le début de ce mois de novembre, quelques patients sont hospitalisés à Antananarivo, selon une source médicale. Pourtant, aucun décès n'a été enregistré pour le moment. Ils sont tous testés positifs avec le PCR. Un autre médecin, d'une clinique privée de la Capitale de confirmer que beaucoup confondent le symptôme de la Covid-19 avec la grippe forte, la fatigue, la diarrhée. Ils s'inquiètent plus par rapport aux dernières vagues. Cinq personnes sur 10 qu'il accueille chaque jour sont atteintes d'une forte grippe, selon lui. « …

Collectif des candidats - L’essoufflement

Publié le mardi, 21 novembre 2023
A quelques jours de la proclamation des résultats, il ne fait aucun doute qu’Andry Rajoelina sera réélu avec un score sans appel. Certains leaders du collectif livrent un dernier combat désespéré pour sauver l’honneur. Ils comptent faire des miracles en manipulant quelques syndicalistes éclopés et en inondant les réseaux d’intox. Les suiveurs du collectif se réfugient dans le silence en espérant à tort que leurs excès seront oubliés et qu’ils échapperont au retour de flamme. Comme il fallait s’y attendre, les candidats de l’Opposition se sont essoufflés. Les grandes gesticulations et les déclarations péremptoires ont laissé la place à l’amertume.…
Le pays attend avec impatience la proclamation des résultats officiels provisoires de l’élection présidentielle du 16 novembre dernier. A pied d’œuvre depuis le jour du scrutin, la Commission électorale nationale indépendante va livrer son verdict à la fin de cette semaine. Selon une publication de l’organe d’Alarobia sur son réseau social, hier dans la mi-journée, 21 Sections de recensement de matériel de vote sur les 119 existantes ont fait parvenir leurs plis de vote auprès de la CENI centrale. Il s'agit des SRMV d'Antananarivo I, Antananarivo II, Antananarivo III, Antananarivo IV, Antananarivo V, Antananarivo VI , Antananarivo Avaradrano, Andramasina, Antsirabe…
Reprise de la fonction élective à partir de cette semaine. Après le 16 novembre, les élus retournent à leur mandat. Ils sont les parlementaires et ceux en charge des Communes. Leur session respective a été mise entre parenthèses avant le premier tour du scrutin présidentiel. D’une manière ou d’une autre, sénateurs, députés, conseillers communaux/ municipaux et maires ont été amenés à mettre en sourdine leur mandat électif au profit de la propagande électorale. La tenue du vote à la date fixée par la Haute Cour constitutionnelle (HCC) devrait rouvrir la route vers le bureau habituel à ces élus.

Raymond Ranjeva - Un « has been » frustré et aigri

Publié le dimanche, 19 novembre 2023
D’aucuns ont remarqué qu’un lobbying est mené ces derniers temps, notamment dans la presse et sur les réseaux sociaux, en faveur de Raymond Ranjeva. Ce dernier, rappelons-le, a pris position aux côtés de la présidente de l’Assemblée nationale, Razanamahasoa Christine, pour s’opposer ouvertement au pouvoir en place sous le couvert d’un soi-disant « plateforme de médiation ». Dans ses propos, l’homme ne cache point son intention d’écarter toutes les actuelles Institutions de la République - de la Présidence par intérim au Sénat, en passant par la Haute Cour constitutionnelle (HCC) et la Commission électorale nationale indépendante (CENI) - qu’il juge…
La récente publication de Transparency International - Initiative Madagascar (TI-IM) soulève des préoccupations sérieuses quant à la crédibilité de cette organisation de la société civile. La directrice exécutive de TI-IM adopte une approche particulièrement tendancieuse, remettant en question l'intégrité de ses rapports. Lors de la diffusion du rapport préliminaire avant les élections, la directrice a elle-même reconnu que les données présentées étaient des allégations non vérifiées. Il est déconcertant de constater qu'elle persiste dans cette méthode en publiant un rapport final tout aussi biaisé, dépourvu de preuves tangibles pour étayer les allégations de corruption électorale à hauteur de 46 milliards…

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Editorial

  • Problématique nationale ?
    La Grande île manque d’eau ! Contradictoire ! L’eau, cet élément le plus précieux parmi les quatre essentiels pour la vie, à savoir la terre, l’air, le soleil et évidemment l’eau, semblerait nous faire défaut en ces temps-ci ? Pour en devenir une problématique nationale. Le conditionnel est de rigueur. Quelque part, on doute sur la pertinence de la chose. On confond, semble-t-il, la situation naturelle du pays avec les dysfonctionnements de la compagnie nationale JIRAMA et du département de l’eau sur la gestion de cet élément indispensable à la vie. En fait, ce n’est pas l’eau qui manque, c’est la gestion rationnelle qui fait défaut. On n’est pas dans les pays du Golfe où l’océan du sable domine l’environnement ou en plein désert du Sahara où l’eau n’existe pas. Certes, il y a le grand Sud où les pluies se font rares, mais de là à dire que l’eau…

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