Publié dans Politique

Lutte contre la corruption - Rigueur et discipline dans la gouvernance

Publié le dimanche, 07 janvier 2024

« Une tolérance zéro envers les auteurs de corruption, qu'ils soient issus du cercle des dirigeants, de l'Opposition ou de leur entourage ». Cette approche est essentielle pour promouvoir la transparence et l'intégrité dans la gouvernance, indiqua Lalatiana Rakotondrazafy, ancienne ministre de la Communication et de la Culture. Elle a également souligné que la rigueur et de la discipline dans l'application de la loi sont importantes.

C’est ainsi que la fondatrice du parti Freedom a récemment exprimé son point de vue sur les améliorations nécessaires dans la gouvernance. Ses suggestions portent sur la rigueur dans l'application de la loi, l'éducation civique, la confiance envers les dirigeants, la justice sociale et la lutte contre la corruption.

Confiance envers les dirigeants

Elle n’a pas manqué de souligner que du côté de la population, celle-ci doit avoir foi en ses dirigeants et être convaincue qu'ils sont là pour la protéger, quel que soit leur statut ou leur secteur d'activité. Cette confiance mutuelle est cruciale pour la stabilité et le progrès d'une société.

« Un excès de liberté peut nuire à la liberté elle-même ». Elle estime que la population a besoin d'une éducation civique plus poussée et que la justice sociale doit être instaurée pour améliorer la gouvernance.

Les propositions de la fondatrice du parti Freedom mettent en lumière des aspects cruciaux de la gouvernance qui nécessitent une attention particulière. Sa vision pour une gouvernance plus rigoureuse, empreinte de confiance et de lutte contre la corruption mérite d'être sérieusement considérée par les acteurs politiques et la société dans son ensemble.

 

Nikki Razaf

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Editorial

  • Lueur d’espoir !
    Tout n’est pas noir. Une source de lumière apparait à l’horizon. Et l’espoir est permis. En dépit des galères éternelles que la misère nous impose, que l’insécurité nous étreint et que la JIRAMA nous empoisonne tous les jours, une lueur d’espoir nous embaume le cœur. Tous les efforts sont mis en branle mais la misère persiste et signe. Avec un revenu mensuel moyen de 40 euros ou 43 dollars par habitant, de sources autorisées de la Banque mondiale, Madagasikara reste parmi les cinq pays les plus pauvres de la planète. A titre d’illustration, Rwanda 76 dollars, France 3482 euros. Comparaison n’est pas raison mais les chiffres sont là. Ils évoquent certaines situations comparatives indéniables. Les insuffisances chroniques alimentaires surtout dans le grand Sud trahissent malgré les tentatives de certains responsables de relativiser le cas.

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