Publié dans Politique

Naina Andriantsitohaina - Au contact des habitants d'Antanimena et de Behoririka

Publié le mercredi, 23 octobre 2019

Naina Andriantsitohaina est revenu hier dans le troisième Arrondissement de la Capitale. Le candidat de l'Isika rehetra miaraka amin'i Andry Rajoelina dans la course à la Mairie d'Antananarivo est allé à la rencontre des habitants de certains fokontany de cette circonscription. Accompagné des candidats aux conseillers municipaux de la liste IRK, il a sillonné les rues entre Antanimena et Ambatomitsangana en passant par Behoririka et Tsiazotafo. Les nombreux riverains venus à la rencontre du porte-fanion des Orange n'ont pas hésité à confier leurs desiderata et doléances à cette occasion.

La tenue de grands travaux d'assainissement du lac de Behoririka ou encore le curage des canaux d'évacuation d'eaux usées figurent ainsi parmi les principaux soucis formulés par les populations des quartiers visités. Comme dans la plupart des quartiers de la Capitale ou ceux du même Arrondissement, pour ne citer que Besarety, à chaque forte pluie, les quartiers d'Antanimena et de Behoririka font face à la montée des eaux. La question de la circulation ainsi que la gestion des commerces ont également été abordés par les habitants de ces quartiers. Antanimena, Behoririka ou Tsiazotafo sont, pour rappel, des quartiers commerciaux. La présence notamment des marchands du côté de Behoririka constitue, de tout temps, une gêne pour la circulation. L'installation de toilettes publiques et de bacs à ordures, la réhabilitation des ruelles et l'installation des éclairages publics sont notamment parmi les préoccupations des habitants de ces quartiers. Des préoccupations que devront résoudre celui qui sera le prochain maire de la Capitale.

La Rédaction

 

 

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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