« L’argent de la Commune urbaine d’Antananarivo ne doit pas partir dans les poches de certains », martèle-t-il, avant d’avancer ces propositions telles que l’amélioration de la collecte des impôts. En troisième lieu, il s’engage à « appuyer les petits marchés qu’il affirme être la base du développement économique de la ville, et soutenir l’entrepreneuriat, gage de développement ». Il s’engage notamment à l’intégration dans le secteur formel des marchands de rue ainsi que la construction d’infrastructures marchandes. Les marchands de rue seront dégagés uniquement lorsque des infrastructures pour les accueillir seront prêtes, affirme le candidat-maire. La lutte contre l’engorgement de la circulation constitue le quatrième engagement de Naina Andriantsitohaina. Il annonce dans ce cadre sa volonté de mettre un terme au partenariat avec Easy Park ou encore son souhait de construire des parkings et de nouvelles fourrières. En cinquième lieu de ses pactes avec les Tananariviens, Naina Andriantsitohaina place « Les sports et les divertissements comme levier de solidarité des jeunes ». Il souhaite en effet pouvoir mettre en place de nouvelles infrastructures sportives et culturelles. « Antananarivo, ville verte », est son sixième pacte, dans lequel il s’engage notamment développer, créer et entretenir les espaces verts de la Capitale. « Antananarivo, capitale culturelle et historique » est l’avant-dernier engagement du prétendant à la mairie. Un engagement où il entend notamment redorer le blason de la Ville des Mille. Enfin, le « développement de l’habitat digne et valorisation de la ville », constitue son dernier pacte.
La Rédaction