Société

Fin de la grève. Après une vingtaine de jours d'attente, les membres du Personnel administratif et technique (PAT) de l'université d'Ankatso ont enfin perçu leur solde du mois d'avril. Benja Andriantsizehena Daniel Herbin, directeur des Affaires financières (DAF) au sein de l'université d'Antananarivo a souligné hier que si l'état des salaires du mois d'avril a été déjà envoyé au ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (MESUPRES) le 8 avril, les salaires n'ont été virés que dans la nuit du 16 mai 2022.
Le nouveau plan de la circulation sur l’axe Ambohijatovo-Analakely a engendré des commentaires au niveau des usagers, en particuliers les chauffeurs de taxis-be. En effet, le manque de communication a souvent engendré des conflits entre les usagers de la route, en particulier les transporteurs et la Police municipale. Auparavant, des arrêts de bus ont été déplacés ou supprimés et les gens n’étaient même pas avisés que quelques jours plus tard. Afin d’éviter que cette situation revienne, la Direction de la mobilité et du transport urbain au niveau de la CUA a apporté des explications sur la gestion du flux de…
Jusqu’à hier, les Personnels administratifs et techniques (PAT) de l'université d'Antananarivo n’ont toujours pas touché leurs salaires du mois d’avril. Pire encore, le solde pour le compte du mois mai est « sens dessus-dessous ». Le 9 mai dernier, Rajaonarivelo Rollin Brysola, directeur des Affaires administratives et financières (DAAF) auprès du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (MESUPRES) a déclaré devant les PAT en grève à Ankatso la disponibilité de leurs salaires dans les jours qui suivaient. Promesse non-tenue. Une semaine après, il apporte une autre explication accusant l’université d’Antananarivo d’être à l’origine de ce retard. Hier…
Promotion de la santé pour la mère et l’enfant. Dans le cadre de l’élimination de la rougeole à l’échéance de 2020, Madagascar doit mener des campagnes de suivi tous les trois ans après le rattrapage de 2004. La dernière campagne datait de 2016. En 2019, le pays aurait dû mener une autre campagne. Mais malheureusement, en septembre 2018, une flambée d’épidémie de rougeole a frappé le pays, nécessitant la réalisation d’une campagne de riposte en trois phases. Par conséquent, la campagne de suivi contre cette maladie n’a pas pu être effectuée en la période prévue. Une campagne de vaccination s’avère…
Si les Tananariviens ont remarqué dernièrement l'augmentation des ambulances transportant des patients Covid-19 qui circulent en ville, les statistiques partagées hier, par contre, demeurent encore stables. Selon le ministère de la Santé publique, du 7 au 13 mai, Madagascar n'a déploré aucun décès lié au coronavirus. Cela veut dire qu'aucun patient ayant été victime de complication respiratoire n'a succombé. Le nombre officiel de décès lié au coronavirus reste ainsi à 1 393 à compter du mois de mars 2020.
Renforcer la facilitation de l’accès à la terre pour satisfaire les besoins des paysans et pour le développement socio-économique au niveau local. Le titre foncier ou « kara-tany » contribue à améliorer le sentiment de sécurité de plusieurs milliers de ménages ruraux au niveau des parcelles de terrain où ils ont déjà investi ou sur celles où ils comptent investir afin d’assurer la sécurité alimentaire, le développement de la Région et celui du pays.
« Toute personne physique qui aura pratiqué l'interruption de la grossesse pour motif médical au mépris des conditions prévues par la loi sera punie par les peines prévues par le Code pénal, article 317 ». L'article 28 de la Loi n° 2017-043 le précise. Ainsi, un médecin sera puni par la loi s'il pratique un acte médical pour sauver la vie de sa patiente et/ou sa santé mentale. Une des raisons pour laquelle la députée Masy Goulamaly a présenté une proposition de loi sur la dépénalisation de l'interruption thérapeutique de grossesse (ITG), en cas de maladies, de viols et d'incestes.

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  • Madagasikara - A l’unisson !
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Editorial

  • Mission délicate !
    Le second round de la négociation entre la France et Madagasikara sur les îles Eparses devait débuter à Paris dans la journée d’hier 30 juin 2025. La première étape de la rencontre entre les deux délégations avait eu lieu à Antananarivo en 2019, au Palais de Premier ministre à Andafiavaratra, tout juste en début du premier mandat de l’actuel Chef d’Etat Rajoelina Andry, et réélu pour un second mandat en 2023. La délégation malagasy conduite par la ministre malagasy des Affaires étrangères, Rasata Rafaravavitafika, composée de huit membres, devait rejoindre la capitale française pour être présente au rendez-vous fixé. Huit membres, des experts dans leur domaine respectif, qui ont la lourde tâche de présenter et défendre la cause nationale sur les îles Eparses. Madagasikara revendiquait depuis toujours du moins depuis la Deuxième République, la souveraineté de la Grande île sur ces « îles » tant convoitées et objet de discorde…

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