Société

Les étudiants des universités publiques et privées sont actuellement confrontés à des grandes difficultés financières. D’une part, ils ne peuvent pas rentrer chez eux, et de l’autre ne bénéficient plus de subventions de leurs parents ni travailler en tant que vacataires dans les écoles privées. Afin que les étudiants puissent rentrer dans leurs villes d’origine, l’université de Toamasina a mis en place une organisation. Dans un communiqué publié dans sa page Facebook en fin de semaine dernière, il a été avancé que des voyages en groupe seront organisés pour ceux qui souhaitent regagner leurs villes d’origine. Ces voyages seront répartis…
« Je me porte très bien, malgré quelques malaises quotidiennes », avance le chanteur Henri Ratsimbazafy, hier, durant un entretien au téléphone. Il a avancé que ces rumeurs l’ont attristé et choqué, lui et sa famille. L’artiste a même soutenu que certains veulent devenir des acteurs, mais ne savent pas maîtriser l’art. « Certes, il est nécessaire de plaisanter. Mais ce genre de blague est de très mauvais goût », avance-t-il. Ces propos touchent le plus profond de son âme. Néanmoins, il ne pense pas porter plainte contre qui que ce soit. D’ailleurs, pour lui, ces rumeurs n’ont aucun impact…
Sous forme de prêt mais sans intérêt. Les employés cotisants à la Caisse nationale de prévoyance sociale (CNaPS) auront doit à des subventions variant entre 200 000 et 500 000 ariary, remboursables en 12 mois. Ceux qui ont perdu leur emploi à cause de la crise liée à la Covid-19 en seront prioritaires. La Caisse dispose d’un budget de 1 500 milliards d’ariary pour la mise en œuvre de ce projet de protection sociale. Pourtant, les membres de l’Union des syndicalistes autonomes de Madagascar (USAM) s’opposent à ce que les subventions proposées soient remboursées, mais octroyées gratuitement. Comme argument, les…
Comme on le sait, un élément de la Gendarmerie, qui a participé au braquage d’un fourgon Vw Crafter, tôt mercredi matin à Anosipatrana, fut éliminé par la Police au cours de son intervention, et qui visait à empêcher le premier à prendre la fuite. Après l’élimination de cette brebis galeuse de la Gendarmerie, la Police a continué l’enquête. Le même jour du mercredi des faits, les fins limiers de la Brigade criminelle (BC4) ont jeté deux autres suspects à l’affaire dans le filet, quelques heures même après les évènements sanglants du Fasan’ny Karana.
Des services de livraison partout. Avec la suspension des lignes nationales, bon nombre des transporteurs ont perdu leurs emplois et se trouvent actuellement dans une grande difficulté financière. Afin de faire face à la crise, certains d’entre eux se concentrent sur le service de livraison dans leurs axes respectifs. Outre les stationnements et gares routières comme Maki Andohatapenaka, Fasan’ny Karana, Ambodivona, d’autres services se trouvent dans les endroits populaires comme Analakely, Boulevard de l’Europe, Ankazomanga. D’ailleurs, ces chauffeurs ont déjà des clients fixes et ce sont eux leurs principaux cibles. Toutefois, ce service est un dernier salut pour eux.
Une nouvelle organisation s’impose. Face aux troubles, désordres et mécontentements de la population, lors des distributions de ticket de « Vatsy Tsinjo », 4 départements ministériels à savoir le ministère de l’Intérieur et de la Décentralisation (MID), celui des Mines et des Ressources stratégiques, celui de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche (MAEP) ainsi que celui de la Communication et de la Culture (MCC) donnent la main aux chefs de Fokontany d’Antananarivo. Ceci avec la collaboration de la Région d’Analamanga et les Communes concernées, entre autres la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA), ou encore les députés. Puisqu’il faudrait reculer pour…
Dans environ deux mois, les candidats au baccalauréat 2020 vont débuter les épreuves écrites. Vu la propagation de la Covid-19 et les mesures de sécurité sanitaire, ces futurs bacheliers ne peuvent rejoindre leurs établissements scolaires respectifs, ainsi les révisions en ligne demeurent très pratiques. « Comme mes élèves sont tous connectés sur Facebook, il nous a été très pratique depuis quelques mois de créer un groupe afin de s'échanger mais surtout d'envoyer et réceptionner leurs travails. Je peux dire qu'ils sont plus ou moins préparés à franchir cette dernière ligne droite de leur enseignement secondaire », indique un prof de…

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Editorial

  • Débrayage inapproprié
    Les employés de la JIRAMA déclenchent un mouvement de grève. Sauvage ou irréfléchie ! Anachronique ou irresponsable ! Anti-économique ou contre-productive ! On hésite de quel adjectif devrait-on qualifier de façon précise cette énième grève du personnel de la JIRAMA. Quoi qu’il en soit, un débrayage dans un service public est toujours considéré comme inapproprié. Quels que soient les arguments avancés pour justifier le geste, un arrêt de travail d’un service public comme celui de la JIRAMA pénalise en premier lieu les usagers. Les clients, pour ne pas le dire la population, se voient priver de leurs besoins fondamentaux : l’eau et l’électricité. En fait, ils sont punis pour quelque chose dont ils n’ont rien à voir. Dans ce genre de situation, les innocents usagers sont toujours les premières victimes. Et éternelles victimes ! Déjà en temps « normal », ils subissent le calvaire dû aux délestages intempestifs et aux…

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