Société

80 % de la population malagasy vivent des ressources directes de la terre, et il revient au pays de déployer des efforts pour leur réserver un avenir meilleur. A cet effet, la distribution de plus de 200 000 certificats fonciers est prévue s’effectuer cette année sur tout le territoire. En 2015, Madagascar a adopté une politique foncière qui repose sur divers objectifs et visions de développement, ce qui implique que plusieurs étapes restent encore à franchir en termes de droit foncier. Il est actuellement temps de revoir l’application de cette politique foncière. Dans ce cadre, un atelier régional des institutions…
Un samedi par mois dédié au patriotisme. « Tagnamaro, andron’ny olom-pirenena », une journée de mobilisation citoyenne, arrive actuellement à sa troisième édition. En 3 mois, l’appropriation des citoyens à cette initiative du ministère de la Communication et de la Culture (MCC) à partir du modèle rwandais se confirme. Des critiques sont toutefois lancées sur le fait qu’elle soit obligatoire, notamment pour les employés de certains départements ministériels. D’autres pointent du doigt le jour de sa mise en œuvre. Le ministre de tutelle met les points sur les « i ». Des activités entreprises durant la journée d’hier dans les…
Samedi dernier, un officier de police, ex-journaliste, a insulté publiquement un reporter-photographe et a ordonné la confiscation de son appareil photo. Dans le feu de l’action, ce dernier a été blessé et son outil de travail est endommagé. Quelques secondes avant le dernier coup de sifflet, des policiers en tenue civile venus pour assister à la deuxième demi-finale du « Smatching » au Palais des sports, Mahamasina, ont eu une dispute sous les regards attentifs des journalistes qui ont été présents. Un reporter-photographe du quotidien « Free news » a eu le reflexe de les prendre en photo. L’un des…
Le Gouvernement malagasy vient récemment de fixer le salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG) à 200 000 ariary. Les salariés concernés peuvent ainsi respirer une grande bouffée d’air frais et oxygéné. Cependant, les professionnels libéraux et les sans- emploi font des sacrifices de jour comme de nuit pour survivre. « Notre survie dépend de ma force physique et de ma motivation. Je travaille pour que ma femme et mes deux enfants puissent manger régulièrement. Depuis une dizaine d’années, je nourris ma famille grâce à mon métier de docker. Quotidiennement, je gagne en moyenne 3 000 ariary. Cet argent sert à acheter…
La nuit du mercredi, les limiers du commissariat de police d’Alasora, ont réalisé une importante prise dans le domaine de la contrebande d’alcool artisanal. Leur action s’est traduite par la saisie de 260 litres de ce produit prohibé, connu sous l’appellation familière de « Toaka gasy ». De plus, deux suspects furent interpellés. Il s’agit du conducteur mais aussi du présumé propriétaire de la cargaison.
Une publication sur Facebook fait actuellement le buzz. Elle est relative à un prétendu cas de maltraitance de la part de l’équipe médicale d’un établissement hospitalier public de la Capitale, ce qui aurait conduit au décès du patient. Les faits qui y sont relatés sont tout simplement aberrants, du moins s’ils sont avérés. En attendant la confirmation ou non, nous rapportons ci-après un cas qui s’était déroulé dans un hôpital voisin du premier, dont l’authenticité ne peut être mise en doute puisqu’il a nous été relaté par un témoin direct.
Corban performance Consulting a publié depuis sa page Facebook que les usagers de la route dépensent quotidiennement trois heures dans les embouteillages soit 15 heures par semaine, 60 heures par mois. En une année, le nombre d’heure perdue à attendre que la circulation se libère s’élève à 720 heures soit 1 mois équivaut à 30 jours. En tenant compte du Salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG) fixé récemment à 200 000 ariary, une entreprise qui embauche perd mensuellement la somme de 100 000 ariary y compris les heures de travail. En une année, un trou à plus d’un million d’ariary est…

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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