Société

Stade Barea - Les voleurs de métaux jetés en prison

Publié le mercredi, 09 décembre 2020
Le mal s’infiltre partout ! Et tous les secteurs d’activité n’échappent pas aux voleurs. Récemment, les auteurs du forfait ont même frappé en plein cœur du stade Barea de Mahamasina, actuellement en chantier. Sur place, une patrouille de police, effectuant une ronde, a surpris cinq individus suspects en train d’évacuer en cachette une importante quantité de matériaux essentiellement métalliques de ce stade. Du coup, les éléments de ladite patrouille ont embarqué les suspects au bureau de la Police pour les y interroger. “Aucun suspect n’a pu démentir. Il s’agit d’un flagrant délit de vol auquel ils n’ont pas pu nier”,…
« Je pensais que c'était quelque chose d'impossible mais l'Etat Malagasy l'a rendu possible. Je suis éternellement reconnaissante envers le Président Andry Rajoelina. Il a mené une lutte acharnée pour la reconstitution de nos patrimoines historiques, dont ceux marquant l'époque de la royauté ». La princesse Fenosoa Ralandison Ratsimamanga, descendante directe des reines Ranavalona II et Ranavalona III, s'est exprimée ainsi, émue et en larmes. Ceci après la récupération de la robe de la princesse Ramasindrazana, tante et conseillère politique de la reine Ranavalona III, après la vente aux enchères qui s'est tenue à Londres (Royaume-Uni), mardi dernier. « Je…
« Nous incitons les éventuelles victimes de corruption sexuelle faite par des individus malveillants et peu scrupuleux qui useraient de leur statut pour profiter de la fragilité de certaines étudiantes à les dénoncer sur la plateforme " i-toroka", traduit littéralement en malagasy par « oser dénoncer ». Tel a été le message partagé par le Professeur Vololontiana Hanta Marie Danielle, doyenne de la Faculté de médecine, en réaction aux résultats d’une enquête menée par l’un des réseaux de journalistes d’investigation à Madagascar sur les cas de corruption sexuelle dans le milieu universitaire, et notamment au sein de la Faculté de…
Un phénomène grandissant. Ces dernières années, une augmentation importante des flux de migration interne depuis le sud du pays vers les centres urbains et les zones rurales de l’ouest et du nord-ouest a été constatée. Si la migration interne n’est pas un phénomène nouveau à Madagascar, les dynamiques sous tendant cette migration ont significativement changé, entrainant des effets qui, auparavant, n’avaient jamais été observés, et bouleversant des dynamiques sociales, politiques et économiques locales, régionales et nationales.
43 000 livres sterling soit environ 1,75 milliard de Fmg. C’est pour cette somme que les autorités malagasy ont pu récupérer un lot comprenant une robe royale ayant été portée par la princesse Ramasindrazana – tante et conseillère politique de la reine Ranavalona III la dernière souveraine de Madagascar –, ainsi que plusieurs documents royaux, qui furent vendus aux enchères à Londres. Un montant qui finalement reste relatif, le patrimoine historique n’ayant pas de prix.
Une contrainte liée au temps. Les travaux de réhabilitation d’un tronçon de route reliant Andohatapenaka vers Vatobe, 67 Ha Atsimo et Mada Hôtel menant vers CENAM n’ont pas commencé à temps. Bien que le début des chantiers ait été prévu au début de cette semaine, jusqu’à hier, aucune fermeture de route n’a encore été observée sur les axes concernés, du moins jusque dans l’après-midi. La preuve, d’une part, les « taxis-be » ont encore pu effectuer normalement leur activité du côté de Vatobe.
Après plusieurs mois d’un semblant d’accalmie, le quartier d’Ampamantanana Androndra renoue avec ses vieux cauchemars liés aux attaques de bandits. C’est ce qui venait de se produire vers 1h du matin lundi dernier où un chef de famille fut grièvement blessé à la suite de l’assaut dont sa maison était la cible. Sur les lieux, six individus armés de revolver notamment, mais aussi de toute une panoplie d’objets tranchants, ont fait effraction dans le foyer de cette petite famille. De leur côté, les quelques personnes présentes étaient traumatisées et surprises qu’elles furent totalement paralysées. “Les assaillants ont d’abord feint de…

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Editorial

  • Que d’un raccourci !
    On n’en finit … jamais d’épiloguer sur la galère que la Société nationale d’eau et électricité fait subir aux pauvres et impuissants abonnés. Il n’y a pas un jour ou une nuit sans que la JIRAMA fasse la sienne. D’après les constats quotidiens de tous, les délestages et les coupures se durcissent au fil du temps. Sur le Réseau interconnecté d’Antananarivo (RIA), c’est le gala ininterrompu des coupes et des arrêts des machines et appareils ménagers. Ampoules, frigos et autres machines délicates risquent fort d’être endommagées. Au beau milieu du souper, en pleine concentration d’une séance de film, en plein travail dans les ateliers de soudure, en pleine coupe de cheveux ou brushing dans les salons de coiffure, en pleine concentration d’un travail de connexion dans un cybercafé, etc. les coupures intempestives du courant gâchent tout ! La vie quotidienne, de jour comme de nuit, des usagers de la JIRAMA…

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