Société

La règlementation de la circulation des charrettes et pousse-pousse dans la ville d’Antananarivo est opérationnelle depuis le début de ce mois. Après la publication de cette note de service et afin de sensibiliser les conducteurs de ces moyens de transport, les policiers municipaux et communaux ont organisé une rencontre avec les propriétaires de ces moyens de transport, la semaine dernière. D’ailleurs, le manque de communication et de sensibilisation entre les parties concernées reste une grande lacune dans l’application de la loi dans la Capitale.
Un petit garçon de 3 ans fut enlevé le 24 mai dernier à Soavinandriana-Itasy. Le lendemain, ses ravisseurs ont exigé une rançon de 10 millions d’ariary aux parents de l’enfant pour le prix de sa liberté. Vendredi dernier, ces derniers ont envoyé la somme de 1 million d’ariary aux bandits histoire aussi pour les parents du gosse de connaître au moins l’identité de l’inconnu lequel est le propriétaire du numéro de téléphone avec lequel il s’est servi pour réceptionner l’argent. Ce fut chose faite. Entre-temps, l’affaire a favorisé une meilleure collaboration avec la Brigade criminelle et les sociétés d’appels téléphoniques…
Le premier arrivé est le premier servi. D’après l’Arrêté n° 167/2004, article 3 en date du 5 janvier 2004 fixant les conditions d’ouverture des établissements d’enseignement supérieur privé, tous les Instituts d’enseignement supérieur privé, entre autres, ne doivent pas s’implanter à une distance inférieure à une cinquantaine de mètres d’un marchand de boissons alcoolisées. Or, la Direction de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a remarqué ces derniers temps qu’ils sont actuellement nombreux à ne plus respecter les règles. En tenant compte de cette la loi en vigueur, c’est la question d’ancienneté qui s’impose. « Nous ne sommes pas…
Les 27 militaires de l’opération de sécurisation du Sud, trempés dans l’affaire se rapportant sur la découverte macabre de trois corps dans la rivière de l’Onive, dans le District d’Antanifotsy, le matin du 31 mai dernier, ont été déférés au Parquet vendredi dernier. Selon une information encore officieuse, 10 d’entre eux, à savoir deux officiers ainsi que 8 hommes de troupe auraient été écroués à Tsiafahy à titre provisoire.
Plus ou moins calme, le week-end était pourtant long. Trois jours de pause pour les étudiants et les travailleurs, tout le monde a pu passer la fête de la Pentecôte comme il faut, à sa manière. Effectivement, ce genre de fête chrétienne est l’occasion pour les organisateurs d’événements de planifier des rencontres fans-public, afin d’encaisser beaucoup d’argent mais surtout de faire passer des moments inoubliables aux gens. Cependant, cette fois-ci, les manifestations culturelles ou sportives n’ont pas beaucoup attiré la foule.
Pas de salaire pour les catéchistes. Ces employés d’église sont rémunérés selon la possibilité des chrétiens auprès d’un temple. C’est ce que des participants à l’atelier sur la protection sociale des employés d’Eglise, en fin mai dernier à Maevatanàna, ont avancé. Cette formation de quelques jours a vu la participation de 120 responsables d’églises protestantes FJKM, issus de 3 Districts, à savoir Tsaratanàna, Kandreo et Maevatanàna. Selon leurs témoignages, bon nombre de temples auprès de ce synode régional sont en difficulté, notamment en ce qui concerne le paiement des cotisations des employés à la Caisse nationale de prévoyance sociale (CNaPS).…
Les enfants sont particulièrement heureux en ce mois de juin puisque quatre longues semaines sont dédiées à eux. C'est ainsi l'occasion pour les petits de recevoir des cadeaux et jouets, évidemment pour ceux issus de familles aisées. Effectivement, plusieurs associations et sociétés profitent de ce mois pour faire des dons aux enfants vulnérables et ceux qui sont élevés dans des associations et « Akany ». Le groupe FILATEX, toujours actif dans le social, et afin de venir en aide aux gens nécessiteux, vient justement de faire des heureux au Centre de bienfaisance d'Ankadivory Ambohimalaza (CBA).

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Editorial

  • Un phare
    « Je voudrais être un phare qui voulais illuminer les démunis et leur apporter la lumière », telle est la déclaration, érigée en confession de foi, de Harilala Ramanantsoa, porte étendard n° 7 de l’IRMAR – UPAR aux communales et municipales d’Antananarivo-Renivohitra prévues le 11 décembre prochain. A l’issue d’un culte d’action de grâce et de louange au temple du Palais de Manjakamiadana, Harilala Ramanantsoa répond à la question des confrères pourquoi a-t-elle choisi ce site historique pour organiser un culte qu’elle devait déclarer ainsi. Qu’est-ce qu’un phare ? Le Robert le définit en ces termes « une tour élevée sur une côte ou sur un îlot, munie à son sommet d’un feu qui guide les navires ». Sur un véhicule, c’est un feu à longue portée pour offrir la meilleure visibilité la nuit au conducteur.

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