Société

L'année dernière, à la même époque, toutes les écoles privées disposent déjà le calendrier soclaire publié par le Ministère de l'Education Nationale et Enseignement Technique et Formation Professionnelle pour la prochaine année-scolaire. Or, à l'heure actuelle, aucune communication s'y rapportant n'a été faite. Pourtant, il ne reste plus que deux mois avant la fin de cette année scolaire. Pour cette raison, une inquiétude s'installe au niveau des établissements scolaires et des parents d'élèves. « Les informations communiquées par le ministère de tutelle tardent à arriver. Nous n'avons pas encore reçu le document officiel annonçant la rentrée et les vacances.
La fête de l'indépendance approche à grand pas. A cette occasion, bon nombre de familles, collègues et amis se donneront rendez-vous pour assister aux podiums et sortir la nuit du 25 juin pour admirer le feu d'artifice. D'après le ministre de la Sécurité publique, le contrôleur général de Police, Rafanomezantsoa Roger, la population pourra célébrer la fête dans la tranquillité. Plus de 1 000 éléments des Forces de l'ordre, composés de la Police urbaine, la Force d'intervention de police (FIP), l'Unité spécialisée de la Police nationale (USPN), ainsi que des policiers en tenue civile sont mobilisés chaque jour dans la…

Drépanocytose - Un traitement à vie

Publié le mercredi, 19 juin 2019
Une maladie dangereuse et mortelle. Actuellement, 1 à 2 % de la population malagasy sont des drépanocytaires et 10 % sont porteurs d'un syndrome drépanocytaire majeur (homozygote SS). Malgré l'avancée de la médecine, cette maladie reste encore incurable. D'après le directeur d'établissement du Centre hospitalier universitaire Joseph Ravoahangy Andrianavalona, Olivat Aimée Rakoto Alson, le recours à la greffe de la moelle osseuse est une issue possible. Pourtant, le coût du traitement est encore trop cher. Ainsi, beaucoup de patients n'ont pas les moyens d'accéder aux soins. De plus, le traitement de la drépanocytose est à vie, et il faut suivre…
Les sages-femmes sont indispensables pour les mères venant d'accoucher et les nouveau-nés. Elles sont présentes dans tous les hôpitaux et rencontrent souvent des problèmes. Mais parfois, ce sont elles-mêmes qui sont les sources du problème. Ce qui est le cas au Centre de santé de base, niveau 2 à Ambohimanambola où une sage-femme « fait la loi ». Selon une information recueillie par une source fiable, une sage-femme venant tout juste de prendre son poste ne respecte pas les droits des mères et des bébés. Apparemment, elle a échangé la douche de la chambre où elle est censée habiter avec…
Des enfants victimes. Ces derniers temps, les personnels médicaux au sein du Centre hospitalier de Soavinandriana (CENHOSOA) sont en mode alerte. Le nombre d'enfants de moins de six ans, admis au sein de leur établissement suite à une ingestion accidentelle de leurs jouets, a connu une hausse importante. En effet, un cas d'accident asphyxique par jour, provoqué par ingestion accidentelle de jouet, y est enregistré, indique le ministère de la Santé publique (MSP) à travers la Direction de la lutte contre les maladies non-transmissibles, dans une note publiée récemment.
Près de la moitié de la population malagasy souffre d'hypertension artérielle. Selon les statistiques officielles, le taux de prévalence est de 43 à 54 %. A Madagascar, cette maladie est devenue un problème de santé publique. L'OMS (Organisation mondiale de la santé) estime que plus de 11 millions de Malagasy, soit près de la moitié de la population, sont hypertendus. De source médicale, une personne est considérée être atteinte de l'hypertension lorsque sa tension artérielle monte jusqu'à 14/9, voire plus. Dans notre pays, cette maladie dite non-transmissible touche fréquemment les personnes âgées de 18 ans et plus.

Finances publiques - Fin de la gabegie 

Publié le lundi, 17 juin 2019
Une bonne gouvernance financière. Le ministère de l’Economie et des Finances met en place une réforme dans la gestion des finances publiques malagasy. Ainsi, un nouveau guide pratique sur l’exécution budgétaire est lancé officiellement hier au sein du ministère de tutelle, situé à l’avenue de l’Indépendance de Toamasina. Ce nouveau document sert de référence dans la procédure d’exécution du budget. « Le Président de la République ne tolère plus la gabegie dans les dépenses publiques. En plus, nous ne possédons que très peu de temps pour mettre en œuvre la loi de Finances rectificative 2019.

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Editorial

  • Un phare
    « Je voudrais être un phare qui voulais illuminer les démunis et leur apporter la lumière », telle est la déclaration, érigée en confession de foi, de Harilala Ramanantsoa, porte étendard n° 7 de l’IRMAR – UPAR aux communales et municipales d’Antananarivo-Renivohitra prévues le 11 décembre prochain. A l’issue d’un culte d’action de grâce et de louange au temple du Palais de Manjakamiadana, Harilala Ramanantsoa répond à la question des confrères pourquoi a-t-elle choisi ce site historique pour organiser un culte qu’elle devait déclarer ainsi. Qu’est-ce qu’un phare ? Le Robert le définit en ces termes « une tour élevée sur une côte ou sur un îlot, munie à son sommet d’un feu qui guide les navires ». Sur un véhicule, c’est un feu à longue portée pour offrir la meilleure visibilité la nuit au conducteur.

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