Société

Aussi curieuse que cela puisse paraître, la circulation restrictive en ville pour cause de coronavirus, semble être loin d'obtenir l'effet escompté. Alors qu'on s'est attendu à ce que les automobilistes, les rares à être encore autorisés à prendre la route, soient devenus plus raisonnables, c'est le contraire qui se produit.
Hier à 15h 20, le Centre de science et d'ingénierie des systèmes (CSSE) de l'Université Johns Hopkins (JHU) a révélé que sur les 1 033 478 cas confirmés au Covid-19, 54 369 personnes de la planète Terre en sont décédées au cours de ces trois derniers mois. Ce qui fait un décès mensuel de 18 000 personnes contaminées, soit 600 morts répertoriés par jour. Le coronavirus est apparu le 17 novembre 2019 dans la ville de Wuhan, en Chine centrale, puis s'est propagé dans le monde entier. Le 13 janvier 2020, un premier patient de 61 ans est décédé dans…
2 millions personnes pourraient être affectées sur le plan sanitaire, économique et social par l’épidémie, si aucune intervention n’est faite. Ce communiqué de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), en début de cette semaine, a causé une panique générale chez la population. Afin de se justifier, l’OMS a tenu à préciser, dans son communiqué datant d’hier, que cette estimation concerne le domaine sanitaire, économique et social et non pas le nombre de malades du coronavirus. D’ailleurs, le Professeur Vololontiana Marie Danielle a affirmé qu’il est impossible que Madagascar atteigne ce pic.
 Le chiffre ne cesse de grimper. Si le 30 mars, Madagascar était à 46 cas confirmés au coronavirus, en l’espace de quelques jours, l'Institut Pasteur de Madagascar (IPM) a déjà identifié 13 autres cas positifs après avoir effectué le test « PCR » ou amplification en chaîne par polymérase. Hier, lors du rapport récapitulatif de 13 heures à la Télévision nationale malagasy (TVM), le nombre total de personnes ayant contracté le coronavirus dans la Grande île s’élève à 59 individus avec 7 cas contacts comprenant 5 individus proches du touriste ayant récemment séjourné à Madagascar. Selon le Professeur Vololontiana Marie…
Alors qu’on a craint le pire, l’affaire s’est donc finalement dénouée sans effusion de sang ou autres violences. Mercredi dernier, les quatre présumés ravisseurs de Tovonazy, ce petit albinos de 6 ans furent arrêtés à Andranovory, Toliara II. Notons que l’un des suspects est une femme. La victime n’a plus laissé aucune trace d’elle depuis le soir du 27 février dernier où ils l’ont enlevée à Ankiliabo, Manja. D’après le commandant de compagnie de gendarmerie de Manja, ce sont les éléments de la Brigade de police routière (BPR) de Toliara qui ont réalisé ce joli coup de filet. « Les…
Les passagers en provenance de l’étranger, ayant voyagé sur les vols du 19 mars 2020 ont passé leur dernier test, hier, au CCI Ivato. Par conséquent, un d’entre eux est testé positif, c'est-à-dire, il était déjà en contact avec le coronavirus. Durant les trois jours de dépistage massif du COVID 19, 12 passagers sont testés TDR +, dont 7 passagers ayant voyagé entre les 11 et 15 mars, 4 pour les vols du 16 au 18 mars et un hier. Sitôt après l’obtention des résultats, des prélèvements nasals ont été envoyés à l’Institut Pasteur de Madagascar (IPM) afin de rechercher…
Ça y est ! C’est le confinement total en marge du COVID-19 pour le président de l’association « Ny fanahy no maha-olona » Ny Rado Rafalimanana. Après son arrestation par l’EMMOREG au CCI d’Ivato mercredi dernier, puis son déferrement au Parquet d’Anosy, l’homme fut immédiatement placé sous mandat de dépôt à la maison centrale d’Antanimora.Pour le moment, les vrais motifs de sa détention provisoire échappent encore au public. Sauf que des bribes d’informations, glanées auprès de sources concordantes, ont révélé que le concerné aurait semé le trouble dans l’organisation même de la campagne de dépistage au COVID-19 se déroulant au…

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Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

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