Société

En action en cette situation d'urgence sanitaire face au coronavirus. Les membres de l'association Fitia se sont dépêchés hier au marché d'Anosibe pour sensibiliser les occupants sur les gestes à adopter pour prévenir la contamination du COVID-19. Cela a été également l'occasion pour la Première Dame, représentée par son équipe, de distribuer des Equipements de protection individuelle (EPI).
 Un enregistrement d'une voix féminine, avançant un bilan de 200 cas confirmés du coronavirus à Antananarivo, 70 autres à Toamasina ainsi que la mort de la jeune fille de 19 ans a fait le tour des réseaux sociaux, en début de semaine. Sitôt, la fausse déclaration de cette femme a causé une panique générale de la population, non seulement à Antananarivo, mais aussi dans les autres régions qui ne sont pas encore concernées par la menace. D'ailleurs, ces dernières vont jusqu'à interdire les Tananariviens de rejoindre leur ville dans le contrainte de contaminer les autres. D'autant plus qu'elle a prétendu…
174 sans-abris dont des femmes enceintes, enfants et personnes âgées errant à Analakely et ses environs sont désormais logés au centre social créé par la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA), situé à Anosizato, jusqu’à la fin du confinement. Dans les prochains jours, ce nombre devrait augmenter puisqu’il y a encore des SDF qui trainent dans les rues de la Capitale. Vu l’environnement dans lequel ils vivent et la malnutrition, leur système immunitaire est très fragile. Outre la distribution des nourritures, ils sont pris en charge par la CUA et le ministère de la Population, de la Protection sociale et de la…
Les personnes testées positives au coronavirus ne sont pas seules dans ce combat. C’est le message que la Première dame a véhiculé au cours d’une action humanitaire organisée, avant-hier. Des paniers garnis ont été offerts gracieusement par la Première dame, Mialy Rajoelina et son équipe à travers l’association Fitia aux personnes en confinement du Centre hospitalier universitaire (CHU) Andohatapenaka. La nuit de mardi dernier, les 19 personnes mises en quarantaine auprès de cet établissement sanitaire, déclarées positives au Covid -19, ont reçu des paquets remplis de mets. Cette aide se compose notamment d’aliments qui renforcent les défenses immunitaire dont du…
Depuis la mise en quarantaine des personnes ayant effectué un voyage ou ayant résidé en France, et qui sont rentrées depuis peu au pays, ces dernières semblent être loin d’avoir l’esprit tranquille. En d’autres termes, les malheureux sont terrorisés. Certains de leurs voisins de quartier les harcèlent car ils leur en veulent pour le fait d’avoir prétendument transporté le Covid-19 dans le pays. D’après la Police, les victimes, c’est-à-dire ces compatriotes en quarantaine, ont dû l’appeler d’urgence dans l’espoir d’être protégés d’une éventuelle foudre populaire. « Ces personnes en confinement ont dû alors appeler la Police. Elles ont pris peur…

RN1 - Un convoi de camions bloqué

Publié le mercredi, 25 mars 2020
Les directives émanant du Chef de l’Etat Andry Rajoelina ainsi que du ministre de l’Agriculture sont claires à propos de la circulation des biens et des marchandises dans le pays, en pleine période de Covid-19. Que personne ne doive faire aucune restriction à son transport. Pourtant, la situation observée récemment sur certaines routes nationales risque bien de contredire le numéro Un de la nation. Car malgré tout, des barrages visant à empêcher les camions de marchandises de continuer leur route ont été quand même érigés, dans certains grands axes. Ces barrages seraient parfois le fait d’un maillon de la chaîne…
Vers minuit, le 30 janvier dernier, un gang composé de quelques individus ayant agi sous visages découverts, ont attaqué un cash-point dans le quartier des 67 Ha. Depuis, les fins limiers de la Brigade criminelle et du Commissariat du 4ème Arrondissement ont démarré une enquête sur cette affaire. Leurs efforts ont été couronnés de succès car jeudi dernier, ils ont arrêté deux présumés auteurs du forfait. Après le déferrement de ces derniers, le 23 mars dernier, tous les deux ont atterri à la prison de Tsiafahy.

Fil infos

  • Stockage de matériels de la JIRAMA à Toamasina - Le Groupe Sodiat apporte des clarifications
  • Persécutions politiques - Les collaborateurs de Rajoelina dans le viseur du régime
  • Fête de la Nativité - Pas de trêve politique
  • Administration public - Six Chefs de Région "par intérim" nommés 
  • Haute Cour Constitutionnelle - Des soi-disant démissions contestées
  • Gouvernement de la Refondation - Distribution de vivres dans le Grand Sud en fin de semaine dernière
  • Parlement - Clap de fin pour le Sénat
  • Face-à-face entre un fourgon et un camion - Un survivant dans un état critique
  • PLFI 2026 - Un budget insuffisant et opaque selon le Collectif des citoyens
  • Famille Ravatomanga - Domicile et bureau « visités » à une heure du matin…

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Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

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