Société

Encore des cash-point comme cibles des bandits ! Et ces assauts sont survenus en espace de quelques heures dans deux endroits différents de la Capitale, distants d’au moins 9km l’un de l’autre, dans la matinée d’hier. Le premier du genre s’est produit vers 11h du matin dans le quartier d’Ambohidahy Ankadindramamy où les bandits ont fait une victime. Ils ont fait feu dont le projectile a effleuré l’oreille du préposé de ce cash-point.
Chaque année, 18 074 nouveaux cas de cancer sont dépistés à Madagascar, selon la statistique de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS). Toutefois, les 4 services d'oncologie se trouvant dans le pays ne traitent en moyenne que 16 000 patients par an. Un tiers des décès par cancer sont dus aux 5 principaux facteurs de risques comportementaux et alimentaires, à savoir l'indice élevé de masse corporelle (obésité), la faible consommation de fruits et légumes, le manque d'exercices physiques (sédentarisme), le tabagisme (cigarettes et tabac sans fumée) ainsi que la consommation d'alcool.
Le Syndicat des enseignants-chercheurs et chercheurs-enseignants (SECES) des universités de Madagascar et le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (MESUPRES) ont enfin trouvé un accord. Par conséquent, les enseignants ont décidé de reprendre leurs activités et de terminer l’année académique 2018-2019.
L’acte d’une malade mentale ou celui d’une provocatrice ? Le comportement d’une mère de famille a horrifié les passants, près du canal Andriantany aux 67ha, au cours de la matinée hier. Son geste a failli pousser ces témoins à déverser leur colère sur la concernée. Tant elle a fait montre d’une cruauté et d’une inhumanité sans pareil. Cette mère a simplement jeté son enfant dans les eaux malodorantes dudit canal. Inutile de dire que la victime était à deux doigts de se noyer. Heureusement que des personnes de bonne volonté ont réagi avec promptitude pour alerter la Police.
Madagascar figure parmi les pays où bon nombre de ressortissants chinois font des allers-retours. Face à la propagation du Coronavirus en Chine, le ministère du Travail, de l'Emploi, de la Fonction publique et des Lois sociales (MTEFPLS) a pris l'initiative de suspendre la délivrance des permis de travail pour les Chinois qui veulent exercer dans le pays. D'après Fenitra Randrianarisoa, directeur de la migration professionnelle au sein du MTEFPLS, cette mesure a été prise depuis le 1er février dernier, et ce jusqu'à nouvel ordre, afin de diminuer les risques de contamination du Coronavirus dans le pays.
Deux personnes sur 3 continuent à pratiquer la défécation à l’air libre dans les Régions Vatovavy-Fitovinany et Atsimo-Atsinanana. Ces Régions figurent parmi les zones ayant un taux le plus élevé en la matière dans le pays, soit près de 2 millions de personnes pratiquantes, plus exactement 1,7 million. Selon les résultats de la dernière enquête nationale sur la situation sociodémographique des ménages (MICS) en 2018, moins de 1% de la population des 2 Régions a accès à des services de base d’eau potable, d’assainissement et d’hygiène.
Les flammes venaient de tuer ! La victime : un chef de famille de 55 ans. L’on ne parle plus des destructions. C’était samedi après-midi dernier à Anjanahary II N, théâtre d’un incendie sans précédent. Sous l’effet du vent, d’épaisses volutes de fumée noirâtre montaient à l’assaut du ciel et se dirigeaient vers l’ouest, couvrant partiellement ainsi des zones entières s’étalant sur 2 ou 3 km. Pendant cela, des témoins qui occupent des zones situées en hauteur comme Faravohitra, ont pu parfaitement voir de puissantes flammes en train de consumer une, ou plutôt des constructions en majorité construites en bois,…

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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