Société

7 personnes sont décédées de la peste dans le pays depuis le début de l’épidémie pour cette saison, avec 83 cas confirmés, selon le ministère de la Santé publique. A Madagascar, 40 Districts sont considérés comme foyers pesteux dont Tsiroanomandindy, Ankazobe, Ambositra et Antanifotsy. Comme chaque année, le premier cas a été enregistré dans le District d’Ankazobe avec deux cas confirmés. Puis, au mois d’octobre dernier, une dizaine de malades dont deux morts ont été enregistrés dans le Fokontany de Bemahatazana, Commune de Tsiroanomandidy.
Lundi dernier, les limiers de la Brigade criminelle (BC5) ont interpellé trois personnes dont deux femmes. Motif : ils ont à répondre de leurs actes à propos de leur implication supposée dans une affaire d’enterrement clandestin survenue récemment à Ankafy dans la Commune d’Alasora. Hier, les concernés avaient été placés sous mandat de dépôt à Antanimora. Tout a démarré par le transfert des individus en cause par des éléments du commissariat d’Alasora à la Brigade criminelle. Un renseignement divulgué par le chef fokontany d’Alasora, a évoqué de l’existence d’une inhumation illégale dans la propriété même des personnes en question. Sans…
Des zones d’ombre à éclaircir. Une semaine après la « mort suspecte » de « Tahisy » et de son bébé, des rebondissements de l’affaire sont dévoilés. Dernièrement, la mère de la défunte a fait des excuses publiques lors d’une interview exclusive sur une chaîne télévisée privée de la Capitale. Ceci suite à son audition auprès de la Police nationale, en charge de l’affaire. Elle fait partie des parties concernées qui ont été enquêtées par la Police, non seulement venant de la famille de la défunte et sa meilleure amie mais aussi de celle de son concubin, dénommé « Fana …
Depuis qu’une nouvelle, se rapportant sur l’arrestation supposée de l’auteur présumé du meurtre d’une femme enceinte de 7 mois, a été propagée sur Facebook, la ville d’Ambilobe est en ébullition. Notons que la victime a commencé à ne plus donner aucun signe de vie depuis le 3 février dernier avant que son cadavre atrocement mutilé ne soit retrouvé récemment. Or, une vérification faite ultérieurement auprès de différentes sources, dont celles de la Gendarmerie, a confirmé que ladite arrestation n’était qu’une rumeur. Et que sur le terrain, une atmosphère de rébellion régnait. Elle a provoqué une colère sans précédent chez la…
Principale source de revenu pour 90% des habitants dans le District d’Amboasary Atsimo. Ces derniers vivent de l’exploitation du sisal en tant que salariés d’un groupe implanté dans la Région Anosy, composé de 4 sociétés dirigées par des étrangers. Toutefois, les patrons et les employés sont en conflit depuis des années. « Les employeurs ne respectent pas nos droits fondamentaux. Outre le non-paiement régulier et à temps de nos salaires, ils n’hésitent pas à couper nos indemnités. Pourtant, nous travaillons très dur pour un maximum de production », se plaint le porte-parole des employés.
La dépression tropicale Francisco a déjà péri en mer, tandis que les pluies qui l'ont accompagnée ont laissé des traces dans la partie Est de Madagascar. A Mahanoro, dans la Région d'Atsinanana, plus de 400 personnes sur les 1 171 sinistrés ont dû quitter leurs foyers pour se refugier dans des sites d'hébergement. Actuellement, tout le District est sous l'eau autant que les champs de culture. Outre le problème d'approvisionnement en nourriture, ces gens sinistrés sont également confrontés au phénomène d'insécurité.

Un endroit stratégique attirant bon nombre de visiteurs, dont les citadins et les habitants des Régions. Cette fréquentation massive pourrait s’expliquer par l’existence de l’aire de jeux pour les enfants dans le jardin d’Ambohijatovo. Ce dernier se trouvait pourtant dans un état chaotique ces dernières années, faute d’entretien. Raison pour laquelle le ministère de la Communication et de la Culture (MCC), dont le ministre, les Secrétariat général et le Cabinet, a choisi la rénovation des lieux pour la 12ème édition du « Tagnamaro, andron’ny olom-pirenena », samedi dernier. La peinture de la clôture en acier aux environs du portail principal…

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Editorial

  • Que d’un raccourci !
    On n’en finit … jamais d’épiloguer sur la galère que la Société nationale d’eau et électricité fait subir aux pauvres et impuissants abonnés. Il n’y a pas un jour ou une nuit sans que la JIRAMA fasse la sienne. D’après les constats quotidiens de tous, les délestages et les coupures se durcissent au fil du temps. Sur le Réseau interconnecté d’Antananarivo (RIA), c’est le gala ininterrompu des coupes et des arrêts des machines et appareils ménagers. Ampoules, frigos et autres machines délicates risquent fort d’être endommagées. Au beau milieu du souper, en pleine concentration d’une séance de film, en plein travail dans les ateliers de soudure, en pleine coupe de cheveux ou brushing dans les salons de coiffure, en pleine concentration d’un travail de connexion dans un cybercafé, etc. les coupures intempestives du courant gâchent tout ! La vie quotidienne, de jour comme de nuit, des usagers de la JIRAMA…

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