Société

Le Gouvernement malagasy vient récemment de fixer le salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG) à 200 000 ariary. Les salariés concernés peuvent ainsi respirer une grande bouffée d’air frais et oxygéné. Cependant, les professionnels libéraux et les sans- emploi font des sacrifices de jour comme de nuit pour survivre. « Notre survie dépend de ma force physique et de ma motivation. Je travaille pour que ma femme et mes deux enfants puissent manger régulièrement. Depuis une dizaine d’années, je nourris ma famille grâce à mon métier de docker. Quotidiennement, je gagne en moyenne 3 000 ariary. Cet argent sert à acheter…
La nuit du mercredi, les limiers du commissariat de police d’Alasora, ont réalisé une importante prise dans le domaine de la contrebande d’alcool artisanal. Leur action s’est traduite par la saisie de 260 litres de ce produit prohibé, connu sous l’appellation familière de « Toaka gasy ». De plus, deux suspects furent interpellés. Il s’agit du conducteur mais aussi du présumé propriétaire de la cargaison.
Une publication sur Facebook fait actuellement le buzz. Elle est relative à un prétendu cas de maltraitance de la part de l’équipe médicale d’un établissement hospitalier public de la Capitale, ce qui aurait conduit au décès du patient. Les faits qui y sont relatés sont tout simplement aberrants, du moins s’ils sont avérés. En attendant la confirmation ou non, nous rapportons ci-après un cas qui s’était déroulé dans un hôpital voisin du premier, dont l’authenticité ne peut être mise en doute puisqu’il a nous été relaté par un témoin direct.
Corban performance Consulting a publié depuis sa page Facebook que les usagers de la route dépensent quotidiennement trois heures dans les embouteillages soit 15 heures par semaine, 60 heures par mois. En une année, le nombre d’heure perdue à attendre que la circulation se libère s’élève à 720 heures soit 1 mois équivaut à 30 jours. En tenant compte du Salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG) fixé récemment à 200 000 ariary, une entreprise qui embauche perd mensuellement la somme de 100 000 ariary y compris les heures de travail. En une année, un trou à plus d’un million d’ariary est…
Réédition d’une version remaniée du guide des usagers de la route, publiée en 2008. Etant donné que les axes routiers sont les principales artères de la vie économique interne de Madagascar, ils assurent la communication et le flux de biens et des personnes dans tous les coins de l’île. Vu l’ampleur des trafics routiers et la fréquence d’interactions et de transactions sur les axes routiers, force est de constater que ces axes sont à haut risque de corruption. En parallèle, le nouveau Code de la route d’août 2017 a apporté des changements notables qui ne sont pas encore bien connus…
L'assassinat de façon inhumaine d'un retraité français de Guadeloupe, du nom de Francisco Perez (64 ans), de Monica Soa (48 ans) - sa femme malagasy - et de Ferlando Randrianjaka (7 ans), l'enfant adoptif du couple, dans leur maison de dépôt à Vohitsara Toamasina, n'en finit pas d'horrifier l'opinion locale. En attendant que la Police puisse avancer l'enquête, le gardien qui était au service des victimes, et qui a disparu depuis l'éclatement de l'affaire, reste encore introuvable. Il est l'un des principaux suspects dans celle-ci.
80 % des patients qui consultent les cabinets ophtalmologiques nécessitent le port des lunettes à cause de la fatigue des yeux. Outre la pollution, les nouvelles technologies représentent l'un des facteurs principaux causant la maladie oculaire. Cependant, les matériels issus des nouvelles technologies sont devenus inséparables du quotidien de nombreuses personnes, notamment les parents, les adolescents et même les enfants. Toutefois, leur utilisation engendre des perturbations comme le trouble du sommeil. D'après l'explication d'un spécialiste, une exposition prolongée devant l'écran pourrait avoir des répercussions irréversibles sur la vue.

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Editorial

  • Sous-bois
    Un arbre peut en cacher un autre ! Une affaire peut en cacher une autre ! Une similitude simple, en apparence, mais reflète une réalité déconcertante. Dans la vie « sociétale » entre les arbres dans la grande forêt dite forêt vierge, il y a en fait « deux forêts » : la forêt des grands arbres et la forêt des petits arbres appelée aussi le sous-bois. La première, constituée de hauts bois où l’on peut rencontrer des essences à haute valeur ajoutée. La seconde, essentiellement composée des bois de petite taille. La relation entre ces deux types d’essence n’est pas si facile que ça ! La première cache la seconde. Les grands arbres et le sous-bois ont un point commun : le besoin des rayons solaires pour survivre. Et c’est une lutte permanente entre les deux. Quelle analogie, une grande affaire cache une autre ! En effet, sous l’ombre…

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