Société

Les Malagasy sont-ils tellement pauvres qu’ils se permettent de tout voler ? Ou bien, c’est tout simplement une question d’éducation et que nous ne sommes pas habitués à avoir et voir de belles choses dans notre quotidien. En effet, les vols de biens publics continuent de se faire dans la Capitale et ce sont toujours les panneaux solaires et les batteries des poteaux solaires qui sont dépouillés. Pourtant, la Rocade d’Andohatapenaka était si beau dès que la nuit tombait, la route s’est illuminée et les accidents se faisaient rares. Et voilà que des bandes d’affamés d’argent et de non patriotes…
L’agent de 46 ans d’un ministère a fait une chute de plusieurs mètres, précisément depuis le 5e étage de l’immeuble où il a travaillé à Ambohidahy. Ce drame est survenu à l’approche de l’heure de sortie de bureau lundi soir dernier. La victime était tuée sur le coup après avoir heurté violemment le sol et probablement à la suite d’un polytraumatisme sévère.
2 heures et 30 minutes dans le noir ! La JIRAMA, la compagnie nationale d’eau et d’électricité, a annoncé hier, le retour des délestages tournant, sur tout le territoire malagasy. Selon les explications fournies, cette prise de mesure est surtout due à un déficit au niveau de la puissance enregistrée. Effectivement, les pluies ne sont pas du tout suffisantes dans les Régions où se trouvent les barrages. De ce fait, le niveau des eaux n’arrivent pas à faire fonctionner normalement les centrales. En plus de cela, une défaillance a également été constatée au niveau des centrales thermiques.
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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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