Publié dans Société

Association du Grand Sud Est - Rasivindravalotry Claudio officiellement président

Publié le jeudi, 01 octobre 2020

Une guerre froide entre les membres. L’association du Grand Sud Est à Toamasina, rassemblant les natifs des Régions de Nosy varika, Mananjary, Ifanadiana, Ikongo, Manakara, Vohipeno, Farafangana, Vondrozo, Vangaindrano, Befotaka, Midongy Atsimo, Taolagnaro est divisée en deux camps à cause de la couleur politique. Afin de dissimuler les malentendus, les conservateurs des us et coutumes de cette association, notamment les Ampanjaka, ont effectué une déclaration officielle, mercredi dernier.

Après un conclave, ils ont avancé que Rasivindravalotry Oswaldo Claudio est nommé officiellement président de cette association pour Toamasina durant un mandat de 4 ans. En effet, durant 10 ans successifs, c’est le District de Manakara qui a été à la tête de l’association et puis Farafangana pendant 12 ans. C’est seulement une année que le District de Vangaindrano a pris le flambeau mais il a quitté son poste à cause de son étiquette politique. A cette époque où la partie politique HVM a été encore au pouvoir, il a subi diverses maltraitances pour enfin abandonner, et ce, à cause de son étiquette politique MAPAR. Il a été alors remplacé illégalement avec des faux récépissés.

Cette association a été créée dans le but de rassembler les natifs de ces Régions, sur ce, une réconciliation a été organisée pour réunir les camps adverses, notamment Manakara et Vangaindrano. Ce dernier qui a été victime des micmacs perpétrés par quelques personnes qui ont divulgué que la présidence de l’association Grand Sud Est revient encore au District de Manakara. Une annonce solennelle a été effectuée à l’issue de laquelle Vangaindrano dirigera l’association qui d’ailleurs a eu leur bénédiction. Les Ampanjaka ont ainsi l’intention de porter l’affaire devant le Tribunal concernant l’usage de faux perpétré par le préfet de Toamasina qui a octroyé un faux récépissé.

Recueillis par Anatra R.

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Editorial

  • Déficit de confiance
    Les investisseurs boudent. Apparemment, ils hésitent mille fois et réfléchissent soixante-sept fois avant de débarquer sur la Grande île pour placer sinon fructifier leurs précieux capitaux. La directrice générale de l’Economic development board of Madagasikara (EDBM), Josielle Rafidy, devait avouer récemment et publiquement que les investisseurs, du moins les vrais et potentiellement importants, tardent à venir au pays. L’EDBM est l’agence nationale chargée de promouvoir les investissements à Madagasikara. De ce fait, l’EDBM a pour objectif de renforcer la compétitivité du secteur privé, d’accroître l’investissement privé et étranger direct et d’accompagner les investisseurs. A ce titre, l’EDBM propose des services qui pourraient être utiles aux investisseurs tels que des conseillers spécialisés et un guichet unique dans l’objectif précis de faciliter l’implantation et l’expansion des entreprises. En somme, tout y est pour accueillir, comme il se doit, les investisseurs ayant choisi la Grande île pour placer et pour fructifier leur argent.…

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