Publié dans Société

Commune rurale d'Ambatolampy - Dotation de 30 lampadaires par Filatex

Publié le vendredi, 16 avril 2021

Après l'éclairage des villes d'Antsiranana et de Morondava par le groupe Filatex,  actuellement c'est au tour d'Ambatolampy d'en bénéficier. 30 lampadaires autonomes à énergie solaire et qui ont été livrés avec des panneaux, viennent d'être remis à la Commune rurale d'Ambatolampy. « Non seulement, cette dotation s'inscrit au développement qui profite à tous les habitants, mais l'installation des lampadaires autonomes à énergie solaire va également faire régner la sécurité », s'est réjoui Mika Rakotomalala, maire de la Commune rurale d'Ambatolampy, hier en marge de la cérémonie de remise des dons qui s'est déroulée dans l'enceinte du groupe Filatex à Ankadimbahoaka. D'après ses explications, c'était à travers une collaboration avec l'association Soatiana que ce partenariat s'est concrétisé.

 

« Nous disposons déjà de 50 luminaires "tête de cobra" offertes par l'Etat et qui ont été installées au niveau des 9 Fokontany issus de notre Commune. Cependant, quelques quartiers périphériques n'ayant pas accès à l'électricité de la JIRAMA requièrent encore des éclairages publics, d'où l'importance de cette dotation », a-t-il précisé. Au cours d'une interview, le maire a rassuré que la Commune garantit la sécurité de ces matériels et projette déjà d'autres collaborations de grande envergure avec ledit groupe.  

« Nous continuons de soutenir le développement des Communes à Madagascar. Et même si nous traversons cette crise sanitaire, de telle action va se poursuivre. Il faut savoir que la responsabilité sociétale de l'entreprise du Groupe Filatex a pour objectif d'aider la population locale, mais aussi de prendre part au développement durable de la Grande île. La remise de ces lampadaires à la Commune d'Ambatolampy en constitue la preuve », a affirmé Tanteraka Rakotoarisoa, directeur RSE dudit groupe.

K.R.

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Editorial

  • Traque aveugle (II) ?
    Nous revenons à la charge. Au risque d’être taxé d’entêté, il nous est impossible de ne pas revenir sur le thème précédent (« Traque aveugle » du 14 /11 /25) afin d’interpeller vivement ce que nous appelions, au final, de traque aveugle à l’encontre des entités de productions appartenant à des nationaux et laisser, non-inquiétés, certains ressortissants étrangers souvent naturalisés malagasy aux pratiques douteuses. Des voix commencent à s’élever et finissent par remonter en surface. Ces voix discordantes inondent la toile et dénoncent : « pourquoi s’acharne-t-on sur certains rares Gasy, capitaines d’industrie, en laissant « en paix » les … autres ! Suivez mes yeux ! Lors de la première édition de la « Traque aveugle » du 14 novembre 2025, on était amené à capter l’attention du public sur certaines opérations militaires, des fois, musclées qui sont en fait, de source avisée, des perquisitions officielles. On différencie difficilement…

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