Publié dans Société

Ambassade de l'Inde à Madagascar - Une plaque dédiée à une philosophie indienne

Publié le jeudi, 10 mars 2022

« La terre entière est une seule famille ». Telle est la signification  du concept « Vasudhaiva Kutumbakam », l'une des philosophies fondamentales de la civilisation indienne. Cette philosophie sociale essaie de favoriser la compréhension que toute la création est une seule famille, à en croire l'ambassadeur de l'Inde à Madagascar, Abhay Kumar. « Vasudhaiva Kutumbakam a été et continue d'être invoqué par les dirigeants indiens à différentes occasions et dans différents contextes », a-t-il informé, tout en citant quelques déclarations des personnalités et élues de l'Inde.

« Je crois que cette philosophie peut aider les pays à s'engager et adhérer au développement durable, à prévenir de la perte de la biodiversité, à œuvrer pour atténuer le changement climatique et réduire la pollution de l'environnement, les 3 défis les plus urgents auxquels notre planète est confrontée aujourd'hui », conclut le diplomate.

Présente au siège de l'ambassade de l'Inde à Tsaralalàna lors de la cérémonie du dévoilement de la plaque « Vasudhaiva Kutumbakam », la ministre de la Communication et de la Culture, Lalatiana Andriatongarivo a fait le lien avec le programme « Iray ihany isika » de son département. D'ailleurs, l'ambassadeur de l'Inde a parlé, dans son discours, du « Fihavanana », un mot malagasy qui englobe le concept de parenté, d'amitié et de bienveillance entre les êtres, à la fois physique et spirituel.

P.R.

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Editorial

  • En pis !
    On s’attend au pire. La pluie tarde à tomber. Pour des raisons qui échappent au commun des mortels, « madame » boude. Jusqu’à hier tard dans la nuit, elle n’a pu arroser les sols ici-bas ni verser ce bien trop précieux devenu si rare ces derniers temps. De mémoire d’homme, un septuagénaire, soixante-seize ans pour être précis a déclaré qu’il ne se souvient point d’avoir vécu un janvier sec du moins en ce début du premier mois de l’année. Naturellement et habituellement voire climatiquement parlant, le premier des douze de l’année, censé être la période où la pluviométrie accuse une densité la plus élevée, subit une sécheresse troublante. C’est en principe le mois le plus humide de l’année.

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