Publié dans Société

Stationnement Fasan’ny karana - Les tarifs reviennent à la normale

Publié le mercredi, 20 avril 2022

Comme convenu, durant la réunion entre l’Agence de transport terrestre (ATT), le ministère des Transports et de la Météorologie ainsi que le comité de direction du stationnement Fasan’ny karana, les tarifs reviendront à la normale, après la fête de Pâques, c’est-à-dire le mardi 19 avril. Pour la liaison Antananarivo- Antsirabe, plusieurs coopératives ont déjà repris le prix normal. Alors que celle Antsirabe- Antananarivo, une longue file d’attente a été encore constatée au stationnement de Vatofotsy, mardi dernier.

Les transporteurs ont profité des nombreux voyageurs encore bloqués à Antsirabe, après les fêtes. Or, le nombre des taxis – brousse en exercice ne pouvaient pas couvrir la demande. En effet, beaucoup de personnes ont attendu depuis 5 heures du matin à ledit stationnement. De plus, les tarifs avoisinaient les 15 000 et 20 000 ariary, contre 10 000 à 15 000 ariary, selon l’accord.

D’après les passagers, durant la fête de Pâques et la période d’exhumation, les transporteurs procèdent à une hausse des frais et ce n’est pas nouveau pour les habitants de cette ville. « A une période similaire, nous sommes habitués à cette hausse des frais, et sommes déjà préparés, avec ou sans cette organisation du ministère », soutient Nary, un voyageur.

Pour rappel, une hausse temporaire a été annoncée au stationnement de Fasan’ny karana, selon un communiqué publié par le comité de gestion de la gare. Cette décision a été prise afin de gérer le transport des voyageurs, avant et après les fêtes. Des véhicules devraient rouler à vide pour récupérer les voyageurs. Le tarif normal est de 10 000 ariary pour Antananarivo- Antsirabe et 5 000 ariary pour Ambatolampy.

Anatra R.

 

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Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

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