Publié dans Société

Violent accident à Ambohitrimanjaka - Fauché par une voiture, un piéton meurt démembré

Publié le jeudi, 22 mai 2025

Vers 19h45, un dramatique accident de circulation a eu lieu à 500m du secteur des boutiques d'Art malagasy, juste sur la route menant vers Ambohitrimanjaka.

Une voiture de marque Volkswagen golf, type 6 GTI, immatriculée 9.....TA. , et conduite par un homme de 23ans, étudiant de son état, a heurté mortellement un piéton dont  l'identité reste encore  inconnue, selon la Police.

La victime a été tuée sur le coup. Pire, le choc était tel que son corps a été même démembré, sa tête et ses deux jambes ayant été arrachées, selon toujours cette source policière. Aux dernières heures, il a été vérifié que le crâne du piéton est resté à sa place.

D'autres sources ont avancé que l'accident aurait également été fatal pour le conducteur de la Golf, qui finit sa course sur le plan d'eau. De son côté, la Brigade des accidents (BAC) de Tsaralalàna, qui était déjà sur place, n'a pas encore confirmé, ni infirmé. Enfin, cette Vw aurait été repérée, quelques moments avant le drame, du côté d'Analamahitsy, moteur rugissant et fonçant à tombeau ouvert, on dirait comme dans un entraînement à un rallye, selon une source.

 

Franck R.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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