Publié dans Société

Emasculation à Ampandrana - Soupçon sur des personnes de connaissance de la victime

Publié le mardi, 05 mars 2019

Samedi matin, un jeune chef de famille de 32 ans domicilié à Ampandrana-Ouest mourut à la suite de son agression barbare car ils l’ont émasculé. Des passants l’ont retrouvé en train d’agoniser dans les buissons près de la résidence « Orchidée ». Actuellement, l’affaire connaît un développement. Bien que les enquêteurs n’aient encore donné de version officielle sur celle-ci, des bribes d’information glanées auprès de certaines sources, ont permis de savoir qu’un des amis du trentenaire, un habitant du secteur a pris  une bière avec lui dans une échoppe sise rue Jean Andriamady quelques moments avant le drame, ce samedi 2 mars dernier. Un témoin oculaire affirme les avoir vus ainsi.

Par la suite, l’inconnu en cause l’aurait entraîné vers un autre endroit plus discret, qui est situé cette fois du côté de Faravohitra, précisément dans les environs de Mangarivotra où d’autres complices du premier les y ont déjà attendus. A partir de ce moment, nul n’a plus su ce qui a dû se passer. Mais il existe donc une certitude : les assassins ne sont pas à chercher loin. Ils graviteraient dans l’orbite de la victime elle-même, du moins selon ces informations. Seule la poursuite de l’enquête permettra alors de le confirmer ou l’infirmer.

A propos, la Brigade criminelle ne s’était pas encore prononcée sur cette affaire. En attendant de voir, les proches du trentenaire ont procédé à ses obsèques, hier. Ils ont regagné Faratsiho, ville natale du malheureux à ce dessein.

F.R.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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