Publié dans Société

Groupe SODIAT - Trois cadres bénéficient d’une formation en leadership

Publié le dimanche, 08 décembre 2019

« Seul on va vite, ensemble on va loin ». Trois cadres supérieurs du groupe SODIAT, à savoir Razakasolo Herisoa, directeur de coordination, Rabemanantsoa Hanitrinionja Laingompitia Rasoanaivo, directeur administratif et financier ainsi que Razafindrakoto Andrianarisoa,  responsable administratif et financier (RAF), viennent de bénéficier d’une formation de trois mois sur le leadership, dispensée par l’Institut malagasy de leadership (IML). Ce dernier étant constitué par l’Institut d’études politiques (IEP), le Centre d’études diplomatiques et stratégiques (CEDS Madagascar) et des dirigeants formateurs en leadership. Issus de la deuxième promotion « Miara-dia », les trois représentants dudit groupe avec dix autres participants ont été amenés à sortir leur aptitude afin d’assurer la réussite de leur environnement professionnel et social.

 

L’autre objectif consiste à exploiter le potentiel de leurs collaborateurs. « Avant, j’ai été un manager. Et aujourd’hui,  je peux dire que je suis un leader. Les directives envoyées à l’endroit des personnels vont s’améliorer. Il est temps actuellement de les impliquer davantage dans leur rôle au sein de  la société. Etre leader, c’est de savoir mobiliser les collaborateurs pour qu’ils puissent montrer leurs atouts personnels. Il s’agit d’une assurance au développement du groupe », souligne Razakasolo Herisoa.

Quant à Rabemanantsoa Hanitrinionja Laingompitia Rasoanaivo, avec ses acquis en leadership, elle va s’en servir pour la réussite du groupe, laquelle se repose tout particulièrement sur la solidarité. « Je veillerai à la transmission de la vision du leadership en ce 21ème siècle. Je vais faire en sorte que tous les collaborateurs dans le groupe SODIAT soient à l’écoute et être en mesure d’apprendre à partir des partages d’expérience pour mieux réussir ensemble », confie-t-elle. Ces propos sont partagés par le troisième responsable ayant bénéficié de ladite formation. Et lui d’ajouter que les compétences des personnels représentent un atout pour la réussite qui est à valoriser au sein du groupe. « J’ai appris au cours de cette formation l’importance de la considération des collaborateurs. Du coup, il leur faut des encouragements, des langages bien appropriés qui forment une équipe. Bref, des éléments clés qui favorisent en fait leur motivation voire leur implication », précise-t-il.

Outre les formations théoriques et les applications sur terrain qui ont renforcé ses acquis, cette deuxième promotion de l’IML a surtout profité des séances de partage d’expériences en termes de posture de leadership à travers deux grandes personnalités, en la personne de Francis Ambroise, directeur général de la STAR et de Hassanein Hiridjee, PDG du groupe Axian. A cela s’ajoutent les interventions des sortants de la première promotion qui sont devenus des facilitateurs, dont Stefana Sbirkova - actuellement directeur général de l’hôtel Le Louvre à Antananarivo, Hary Andriantefihasina - président du SEBTP (Syndicat des entrepreneurs du bâtiment et des travaux publics) et vice-président du GEM (Groupement des entreprises de Madagascar) et Zamine Karim, administrateur d’entreprise pharmaceutique.

K.R.

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Editorial

  • Lueur d’espoir !
    Tout n’est pas noir. Une source de lumière apparait à l’horizon. Et l’espoir est permis. En dépit des galères éternelles que la misère nous impose, que l’insécurité nous étreint et que la JIRAMA nous empoisonne tous les jours, une lueur d’espoir nous embaume le cœur. Tous les efforts sont mis en branle mais la misère persiste et signe. Avec un revenu mensuel moyen de 40 euros ou 43 dollars par habitant, de sources autorisées de la Banque mondiale, Madagasikara reste parmi les cinq pays les plus pauvres de la planète. A titre d’illustration, Rwanda 76 dollars, France 3482 euros. Comparaison n’est pas raison mais les chiffres sont là. Ils évoquent certaines situations comparatives indéniables. Les insuffisances chroniques alimentaires surtout dans le grand Sud trahissent malgré les tentatives de certains responsables de relativiser le cas.

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