Un problème de moins pour les habitants issus de divers Fokontany dans la Commune d’Anosiala, dans le District d’Ambohidratrimo. La ruelle de 3km qui relie notamment Ambohipanasina et Fiakarana, mais utilisée par d’autres Fokontany, est désormais construite en pavé. Il s’agit de la ruelle en pavé de meilleure qualité de la Région d’ Analamanga, d’après le gouverneur Hery Rasoamaromaka.
Que reste-t-il du TIM, en particulier, et du RMDM en général, après le départ fracassant des figures de proue de l’opposition Me Hanitra Razafimanantsoa et de Fidèle Razara Piera, tous deux députés de Madagasikara et animateurs de l’émission radiophonique fétiche « Miara- manonja ».
Dans le secteur commercial à Madagascar, nombreux sont les grands magasins qui renouvellent leurs offres pour mieux appréhender le marché. Dans cette optique, un nouvel arrivage d'articles en électroménager de premier choix est disponible auprès de la société « Baolai ». L’on peut notamment citer les lasers tv 100 pouces, les Smart tv et télé led, disponibles entre 22 et 85 pouces (tous garantis 12 mois), les climatiseurs portatifs, les téléphones mobiles, les panneaux solaires mono et polychristalline, les fers à lisser (pour cheveux), les réfrigérateurs, les cuisinières à gaz et électriques, les amplificateurs, les machines à laver,…
Imposition. Le ministre de l'Industrie, du Commerce et de la Consommation, Edgard Razafindravahy a annoncé, hier à Antaninarenina la mise en place de prix de référence pour les principaux produits de première nécessité (PPN) compris dans un « panier ménagère », notamment l'huile alimentaire, le sucre, la farine ainsi que le riz.
Depuis quelques années, Toamasina a été de moins en moins attrayante aux yeux des habitants de la Capitale. Mais cet attrait semble de nouveau confirmé actuellement. De nombreux hôtels affichent complet. De même, les sites balnéaires des alentours attirent de plus en plus de vacanciers. En tête d'affiche, Foulpointe et Mahambo. Dans cette partie du pays, le climat est généralement pluvieux.
La rencontre entre le Président Andry Rajoelina et son homologue français Emmanuel Macron aura bel et bien lieu ce jour, plus précisément à 15h30 (heures de Paris) selon le programme indiqué dans l’agenda du Président sur le site de l’Elysée. Il s’agit du deuxième entretien officiel entre les deux hommes au palais présidentiel de l’Elysée depuis l’arrivée d'Andry Rajoelina au pouvoir en 2019. La première s’est tenue le 29 janvier 2019, à près d’une semaine après la prestation de serment du Président à Mahamasina.
Vers 4h du matin hier, la portion de rue en pavé, allant d’Andavamamba à Anosipatrana, a été le théâtre d’une attaque sanglante de bandits. Quatre individus équipés d’arme à feu, l’ont perpétrée. Les cibles : un reporter photographe de l’Express de Madagascar ainsi que le chauffeur de taxi qui l’avait accompagné. Ces derniers ont été tous blessés, assez gravement.
Le Chef de l’Etat à Paris. En mission, Rajoelina Andry Nirina conduit une forte délégation dans la capitale française. Le Mouvement des entreprises de France (MEDEF) organise annuellement un rendez-vous avec des opérateurs économiques d’autres pays pour promouvoir la promotion et le développement dans les deux sens. Il s’agit donc d’une Rencontre des entrepreneurs francophones, la REF, à laquelle ont été conviés des dirigeants politiques de haut niveau et le gotha des acteurs économiques des pays ciblés dont Madagasikara.
Cette année, la REF s’inscrit dans le cadre global de la mise en orbite de la relance post-Covid. Le point focal de la rencontre consiste à convaincre. Le Président malagasy Rajoelina Andry Nirina, en sa qualité d’invité d’honneur, lors de son intervention d’avant-hier, se livre à un exercice risqué de gymnaste de haut niveau pour vanter le mérite et la qualité du « Vita malagasy ». Il n’hésite pas ainsi à clamer haut et fort que la Grande île est un « terroir d’exception » !
A l’hippodrome Longchamp, lieu de la rencontre, les quelque quarante-quatre opérateurs malagasy présents entourés de certains membres du Gouvernement concernés directement, usent de leurs talents et de leur expertise auprès de leurs homologues français pour susciter leurs intérêts.
Evidemment, la mission est difficile sinon délicate. Rien n’est gagné d’avance ! Il faut militer, se donner la peine de pouvoir « séduire ». Madagasikara a intérêt de se débarrasser de cette image déformée à dessein d’un pays jaloux de sa souveraineté. En fait, pris dans le sens négatif du terme, le souci des malagasy à préserver la souveraineté nationale ne traduit nullement une volonté délibérée de rejeter toute concertation pour une forme de coopération économique ou joint-venture dans un esprit « gagnant-gagnant ». Les investissements étrangers sont toujours la bienvenue.
La situation catastrophique laissée par la pandémie oblige tous les pays touchés à se donner la main de manière à ce que chacun fasse le maximum pour en découdre. Le Chef de l’Etat malagasy, conscient de cette opportunité qui s’offre, ne veut point rater l’occasion de soumettre aux notables interlocuteurs les intérêts que le pays est capable d’attirer.
Les membres du Gouvernement présents à Longchamp doivent faire preuve d’efficacité pour accompagner les opérateurs économiques selon leur domaine de compétence. C’est une mission de haute importance de sorte que chacun en profite dans tous les sens du terme. Il ne s’agit aucunement d’un voyage de plaisance encore moins du tourisme au frais de la princesse. Faut-il rappeler qu’ils sont là sur place pour travailler et rien que travailler. Le pays attend de cette « mission » des résultats probants. La rencontre avec les entreprises de France ne date pas d’aujourd’hui. Il y en avait eu assez auparavant mais les résultats manquent souvent. Elle se terminait parfois en queue de poisson ! Cette fois-ci, espérons-le que ce soit la bonne !
Pour leur part, les opérateurs économiques, les heureux choisis, venus nombreux à Longchamp sauront réellement capitaliser cette aubaine pour booster leurs activités. Le pays en a vraiment besoin. Le marasme déclenché par la pandémie de Covid-19 plonge le pays dans la tourmente indescriptible.
En mission sur le sol français, la délégation malagasy conduite par le Président Rajoelina assumera pleinement sa responsabilité.
Ndrianaivo
Les opérateurs français dans le domaine du tourisme et transport aérien s’inquiètent du maintien de la fermeture des frontières de Madagascar. « Si on veut atteindre ensemble l’objectif fixé de 500.000 touristes en 2023, il faut s’atteler dès maintenant et commencer petit à petit. On voudrait savoir la projection de Madagascar pour l’ouverture de ses frontières », a demandé un des acteurs français dans le secteur du transport aérien. Le ministre du Tourisme malagasy, Joël Randriamandranto, a avancé dans sa réponse le mois d’octobre. « Seulement, cela dépendra de l’évolution sanitaire dans les autres pays. N’empêche, les autorités malagasy distribuent actuellement les vaccins anti-Covid dans les régions touristiques telles que Nosy Be et Sainte-Marie afin que les employés, en contact avec les touristes, soient prêts pour la reprise.»
Une prudence confirmée par le Président Rajoelina qui a argumenté que le confinement est plus coûteux que la fermeture des frontières pour les touristes.
Ainsi à entendre les explications de ces autorités malagasy à la Rencontre des entrepreneurs francophones et ce malgré l’insistance, compréhensible des uns et des autres, l’ouverture des frontières de Madagascar est toujours conditionnée.
La Rédaction