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Conjoncture oblige ! Peu abordé, l’artisanat figure également parmi les secteurs ayant subi de plein fouet les impacts de la fermeture des frontières, et ce depuis le début de la pandémie de coronavirus à Madagascar en 2020. De nombreuses filières d’activités, au sein de ce secteur, reposent exclusivement sur le tourisme. Malheureusement, ce lien avec le secteur touristique est loin d’être évident. L’artisanat n’a pas pu bénéficier des appuis de l’Etat. Les artisans doivent alors trouver différentes alternatives pour garder la tête hors de l’eau, mais surtout se sortir de cette crise. Ils se convertissent ainsi vers d’autres métiers. La Covid-19 n’a pas seulement apporté une vague de contaminations, mais aussi une vague de créativités (forcée) pour les opérateurs.

 

Le RMDM, groupuscule des opposants du régime actuel à Madagascar, multiplie ses gesticulations à l'occasion de la visite du Président Andry Rajoelina en France. Samedi dernier, il a organisé une « manifestation » à Montpellier dans le but « d'informer » les Malagasy de la situation du pays. Malgré les appels lancés sur les réseaux sociaux, peu de gens ont répondu à l'appel. Plus d'une dizaine de participants à la manifestation qui comme à l'accoutumée les dirigeants de RMDM ont gavé leurs auditeurs des mensonges afin de les mobiliser.

 

Après avoir visité les travaux de la réhabilitation de la Rn2 à Toamasina et l'inauguration de l'aire de repos sur cet axe, le Président Andry Rajoelina a mis le cap vendredi dernier sur Paris. Là où à la tête d'une délégation, plutôt économique, il aura cette semaine des rencontres importantes et instructives notamment pour ses interlocuteurs.

La situation d'exception continue. Restauré depuis le 3 avril dernier à cause de l'arrivée de la 2ème vague de la Covid-19, l'état d'urgence sanitaire vient d'être prolongé pour la énième fois sur l'ensemble du territoire malagasy. Cette fois - ci, aucune nouvelle mesure n'a été annoncée après les 15 jours passés. D'ailleurs, le rendez-vous télévisé avec l'un des deux têtes de l'Exécutif n'a pas eu lieu.

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LA UNE DU 23 AOUT 2021

« Je ne serai pas un ministre de discours, mais du travail ». Tels étaient les propos émanant du ministre de la Jeunesse et des Sports, Hawel Mamod’Ali, lors de la cérémonie d’inauguration du boulodrome Fitaratra 2023 à Tongarivo - Tanjombato dans le District d’Atsimondrano. Pour sa première sortie depuis sa nomination du dimanche 15 août dernier, il a inauguré le premier boulodrome suivant les normes internationales dans le District le plus peuplé de la Grande île.

 

Alors que les choses ont failli vraiment s’envenimer jeudi après-midi à Ambohijatovo, entre un groupe de militaires et une faction de policiers de la Force d’intervention (FIP), les hauts commandements des deux Forces, semblent éviter soigneusement d’apporter chacun leurs versions sur l’affaire. Car il s’en était fallu de peu pour que les deux camps, la Police et l’Armée, aient été poussées à se tirer dessus. « Il n’y a rien de tout cela. Il ne s’agissait que d’une simple escalade verbale, un incident comme tout autre à la suite d’une méprise », nous explique une source policière, du côté d’Anosy.

 

Une subvention de l’Etat pour les établissements scolaires publics. Les Ecoles primaires publiques (EPP), les Collèges d’enseignement général (CEG) et les lycées toucheront chacun leur part de « caisse-école », dans les plus brefs délais. Felamboahangy Ratsimisetra, Secrétaire général (SG) du ministère de l’Education nationale (MEN), l’a précisé hier, lors d’une rencontre avec la presse à Anosy.

Un problème qui est loin d'être résolu. Au début de cette semaine, l'association des taxis- ville a fait une pétition afin d'interdire les taxis-motos à exercer dans la ville d'Antananarivo. Ces taximen ont avancé que les deux-roues détruisent leur travail et ne font qu'aggraver l'insécurité qui mine les Tananariviens actuellement.

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Mauvaise passe !

Zone de turbulence ! Passe difficile ! A peine nommé et installé, le Gouvernement Ntsay se trouve dans une mauvaise passe. Des faits hyper-rarissimes ont émaillé la mise sur rail de certains nouveaux membres du Gouvernement.

 

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La Une

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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