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Près de 100 000 travailleurs mis en chômage technique pendant le confinement. Le directeur général de la Caisse nationale de prévoyance sociale (CNAPS) Mamy Rakotondraibe a dénoncé hier l’absence de culture de déclaration des employeurs durant le salon des Responsabilités sociétales des entreprises (RSE) et de l’Initiative pour le développement durable (IDD). « 13 000 travailleurs seulement sont déclarés en chômage auprès de la CNAPS. L’effectif est même inférieur à celui de l’année dernière. Cela témoigne qu’on n’a pas encore la culture de la déclaration », annonce le DG durant son intervention. Selon toujours ses dires, ceux qui perdent leur emploi mettent en moyenne six à sept mois pour être embauchés à nouveau. Notons que le Gouvernement a mis en place le prêt exceptionnel « Tsinjo Fameno » pour financer les travailleurs formels pendant la période de soudure.
Par ailleurs, la thématique du débat est axée sur les perspectives et idées émergentes en question de ressources humaines après la crise. Le DG a alors abordé la nécessité de la création du système d’allocation sur le chômage.  Toutes les parties prenantes que ce soit les partenaires techniques et financiers, les membres du Gouvernement, les responsables de la CNAPS ainsi que les représentants des travailleurs étudient déjà les modalités de paiement de l’assurance chômage. « La mise en place de cette allocation n’est pas un débat nouveau au niveau de la caisse. On en a toujours parlé pendant des années mais la conscience collective ne semblait pas être pressée vu que le système représente un coût supplémentaire tant pour les salariés que pour les employeurs. Tout d’un coup, l’assurance chômage devient une urgence pendant la crise de coronavirus car la perte du pouvoir d’achat freine l’économie. Nous étudions actuellement les modalités de paiement pour le premier trimestre de l’année. Etant donné que les gens mettent jusqu’à six mois pour trouver un travail, on essaie de fixer le montant à verser durant le premier mois si c’est à 100% du salaire pendant les trois premiers mois et 50% du salaire pour les trois mois restants. Nous n’avons pas également déterminé le pourcentage de la participation à tirer du salaire de l’employé », poursuit le DG.
Solange Heriniaina

Au cours des dix dernières années, l’Office régional du tourisme d’Analamanga (ORTANA) a promu les attraits touristiques de la Région à travers les randonnées. Cette promotion a porté ses fruits. Toutefois, avec la crise sanitaire, ces activités ont été quelque peu délaissées. Dans le cadre de la relance du tourisme à Madagascar et de la promotion du tourisme national, l’ORTANA avec le ministère des Transports, du Tourisme et de la Météorologie organisent l’Ultra Trek des Collines Sacrées, du 20 au 22 novembre prochain. «Cet événement a pour objectif de faire rayonner Madagascar en tant que destination de randonnée, autant au niveau régional qu’international, mais surtout auprès de la population locale. Nous n’allons pas attendre les touristes étrangers pour redresser notre économie. Nous pouvons ensemble apporter chacun notre contribution» a soutenu Harimisa Razafinavalona, directeur exécutif de l’ORTANA, hier, à Anosy, dans les locaux du MTTM en marge du lancement officiel de l’Ultra Trek des Collines Sacrées.
En effet, cette course contribuera à la promotion des différents parcours, un collier de perles reliant les 12 sommets d’Analamanga, qui viennent d’être balisés suivant les normes internationales, soient près de 350 kilomètres. «Avec ces balisages, les randonneurs, même sans guide, pourront parcourir les Collines Sacrées. Ils ne risquent pas de se perdre. En fait, c’est vraiment l’idée d’encourager les citoyens à se promener dans ces Régions et générer ainsi des impacts sur l’économie locale, au lieu de se limiter à By-Pass », rajoute ce responsable. En passant par Ambatomanga par exemple, les randonneurs peuvent apporter leur contribution au développement de l’économie locale en achetant du fromage. «Ce sont des petits détails mais ils ont toute leur importance, surtout dans la relance de l’économie du pays», stipule-t-il.
Ce Trek se composera alors de cinq courses. Pour les intéressés, les inscriptions ont déjà débuté, jusqu’au 01 novembre prochain.  
Rova Randria

Une consultation gratuite mais avec de la qualité. A travers une opération menée par l'équipe de la direction des affaires sociales à la Présidence, environ 6 600 citoyens ont bénéficié d’une prise en charge gratuite, réalisée par 5 cliniques mobiles. Dénommée « Caravane de sensibilisation et offre de service de santé », trois Communes, dont la Commune de Betafo dans la Région du Vakinankaratra, Alakamisy Ambohimahy dans la Région Haute Matsiatra et Vohipeno dans le Vatovavy Fitovinany ont été concernées par cette première phase.
Les soins oculaires et auditifs, de soins bucco-dentaires, des tests de dépistage des fistules vésico-vaginales, de drépanocytose, de diabète, de l’IST/VIH, du cancer du col de l’utérus y sont dispensés. A cela s’ajoutent d’autres consultations axées sur le planning familial, les conseils concernant la malnutrition, la dentisterie et l’échographie. Les patients étaient de tous âges et de différents milieux.
Cette caravane médicale entre dans le cadre du « Velirano » du Président de la République Andry Rajoelina sur l’accès à la santé pour tous sans discrimination et une riposte à la pandémie de Covid-19. 15 000 autres devront pouvoir être sensibilisés à la prévention et à la prise en charge des violences basées sur le genre.
 En rappel, 40 % de la population malagasy habitent à plus de 5 km d’un Centre de santé de base, et 20 % de ces zones sont enclavées alors que la population ne dispose pas de moyens de transport adéquats. Egalement, par manque de moyens financiers et de transport, l’accès aux informations sur la santé et les offres de soins sont devenus très difficiles, d’où une augmentation de la vulnérabilité.
Anatra R.


Visage déformé par le choc, jambe disloquée et qui ne tient plus que par un lambeau de chair pour les uns, enfin colonne vertébrale en pleine déconfiture chez un autre, etc.  Tel était l’état des quatre tâcherons victimes d’un effondrement ; et qui se trouvent dans un état critique. Ce sont des tâcherons chargés de démolition mais aussi de travaux de remblayage.  Vers 8h30 du matin hier,  un  bâtiment en cours de démolition et  servant de  local  de  commerce a été  le  théâtre d’un  drame  à  l’issue sanglante dans le quartier d’Antohomadinika Sud. Tout un pan de mur en béton, dont celui d’un balcon, s’effondrait subitement à un moment où les ouvriers l’attendaient le moins.
Ils étaient 7 ou 8 ouvriers à travailler à l’intérieur de cette maison en pleine décrépitude et à étage donc assez vétuste, sise sur le bord de cette rue commerçante, et particulièrement grouillante de passants. L’accident s’est produit de façon si inattendue que les malheureux n’avaient eu aucun moyen de s’échapper à temps, manquant ainsi d’être totalement ensevelis par des tonnes de structures en  béton, de gravats et de débris divers. Les plus touchés sont ceux qui s’échinaient à remblayer des mottes de terre au rez-de-chaussée. « Il a fallu tout un temps pour que les sapeurs-pompiers, venus assez rapidement sur les lieux, ne puissent les dégager entièrement du terrible piège », relate un témoin. Au bout d’un travail acharné, les secours parvenaient finalement à extirper quatre victimes en état comateux des décombres. Du coup, elles ont été transportées d’urgence à l’HJRA où elles devraient être encore sous soins intensifs, du moins vers la fin de l’après-midi hier, selon une source hospitalière.
Ce drame a ému les témoins, assez nombreux à pouvoir assister directement à cette scène horrible. « Nous nous tenons près de l’immeuble lorsque l’effondrement s’est produit avec un bruit épouvantable. Tout s’est produit très vite que nous ne réalisons pas vraiment ce qui était arrivé que quelques secondes après », relate une vendeuse à la sauvette.
L’accident s’est produit pendant l’absence du propriétaire des lieux. Il paraît que les travaux de démolition n’auraient pas encore obtenu une autorisation des autorités compétentes pour le faire. Sur place, et aidés par la Police, des responsables au sein du quartier ont instauré un périmètre de sécurité, empêchant ainsi les curieux de s’approcher de la construction qui menaçait encore de s’écrouler à tout moment. Cette situation n’a pas été du tout apprécié par les marchands de rue, qui se plaignent de ne pas pouvoir continuer leurs activités commerciales juste au pied de l’édifice de tous les dangers.
Franck Roland

  La FMF dévoile son nouveau logo. La fédération malagasy de football a annoncé, hier, à l’hôtel Havana Resort Ambohidahy le lauréat du prix de concours logo. En même temps, l’évènement était l’occasion d’officialiser son nouveau logo devant les médias.
Sur 590 prétendants qui ont participé, 27 présélectionnés ont été choisis et trois sont sortis du lot. Il s’agit de Zofitia Andrianjafimanana. Il a empoché un million d’ariary grâce à son logo. Le nouveau logo comprend les trois couleurs de base : blanc, rouge, vert. Il présente aussi des branches de Ravinala et bien évidemment, on retrouve le traditionnel zébu.

Rakotoarivony Tokiniaina le deuxième gagnant a reçu le prix de cinq cent mille ariary, tandis que Sedera Kanto Andriatahiana a fini troisième et empoche deux cent mille ariary.
« La fédération mise sur la réforme et la modernisation, le changement de logo fait partie de ce renouveau. Une résolution des participants lors de l’assise nationale organisée les 28-29 janvier derniers. Nous tenons à remercier le Président de la République, Andry Rajoelina et le ministre de la Jeunesse et des Sports, Tinoka Roberto pour leur indéfectible soutien à nos Barea», explique Jocelyn Razafimamonjy, président de la commission communication au sein de cette instance nationale de football.
Ce logo a déjà suscité la critique des supporteurs. En effet, certains sont contre le changement de logo car ils pensent que Madagascar est connu par l’ancien logo. D’autres n’admettent pas le drapeau qui représente d’après eux celui de la Bulgarie.
Pour revenir aux Barea, la FMF a réitéré la tenue du match retour contre la Côte d’Ivoire au stadium Barikadimy Toamasina. Ce dernier a déjà bénéficié d’une homologation provisoire. En attendant la décision de l’instance continentale sur l’état d’urgence sanitaire, le stade ne peut être utilisé qu’à 30% s’il n’y a aucun éventuel changement. Pour le moment, beaucoup de pays restent fermés. Madagascar en fait partie. Effectivement, une option reste ouverte, les matchs aller et retour pourront se tenir dans un terrain neutre ou dans un autre pays. « Tout dépend de la décision de l’Etat sur l’ouverture des vols internationaux et celle de la CAF qui en décidera après », annonce le premier vice-président de la FMF.
Elias Fanomezantsoa

Parmi les impacts de la crise sanitaire. La baisse du taux de nouveaux utilisateurs de planification familiale (PF) en fait partie pour Antananarivo, selon les informations émanant du réseau « Santé et droits sexuels et reproductifs » (SDSR) Madagascar. Ce taux a chuté jusqu’à moins 46% en avril et moins 44% en juillet auprès de 18 Centres de santé de base (CSB), selon l’analyse comparant les données de 2020 par rapport à celles de 2019. D’un autre côté, bon nombre de formations sanitaires dans toute l’île, notamment les CSB dans les zones éloignées, ont fait face à une rupture de stock en produits contraceptifs. Les préservatifs, les pilules et les doses d’injection ont été les plus manquants dans les stocks, à en croire un chef CSB situé dans une Commune rurale d’Ankazobe, voulant garder son anonymat. « Nous avons dû faire patienter nos utilisateurs jusqu’au nouvel approvisionnement. D’ailleurs, certains d’entre eux ont manqué au rendez-vous, notamment durant le confinement total, à cause de l’absence des transports en commun », informe ce médecin. Les utilisateurs issus des milieux défavorisés en sont les principales victimes, faute de moyens pour s’acquérir des produits dans les cliniques privées.
Difficultés dans l’approvisionnement
Le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA), l’un des grands pourvoyeurs des méthodes PF à Madagascar allouant un financement conséquent, reconnait ce fait. « La chaîne d’approvisionnement de produits contraceptifs, depuis le sommet jusqu’au terrain, a connu des difficultés durant la crise sanitaire. Cette situation est notamment due aux problèmes de confinement, dont l’interruption de la circulation. Les résultats d’une étude y afférente, démontrant cette perturbation de l’approvisionnement et entraînant la rupture de stock des produits contraceptifs, sortiront bientôt », confirme Ngoy Kishimba, conseiller en population et développement au sein de l’UNFPA. A cela s’ajoute l’indisponibilité des prestataires mobilisés pour faciliter l’accès aux services de PF. « Ces prestataires ont été redéployés dans les autres services de prise en charge des patients de la Covid-19 », rapporte le conseiller auprès de cet organisme onusien. Comme solutions, ladite étude propose d’une part le renforcement du cadre d’investissements, en élargissant le partenariat, et d’autre part la consolidation des interventions stratégiques afin d’atteindre l’objectif « 0 besoin non satisfait en PF d’ici 2030 ».
Recueillis par Patricia Ramavonirina



Après 7 mois de suspension de vol extérieur, la réouverture de l'île de Nosy Be aux voyageurs internationaux a ravivé les acteurs touristiques. Cependant, la Covid-19 persiste et signe toujours faisant encore des victimes à Madagascar. Pour empêcher que la situation sanitaire ne dégénère notamment avec le rebond de l'épidémie dans plusieurs pays européens, l’Etat doit être vigilant vis-à-vis des entrées venant dudit continent entre autres. La semaine dernière, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a averti que l'Afrique ne peut pas se permettre une deuxième vague de Covid-19 qui serait particulièrement dévastatrice pour l'économie.
C’est dans ce contexte que l’Aviation civile de Madagascar (ACM), dans une note adressée aux compagnies aériennes, a publié hier une liste de dix pays pour lesquels l’embarquement des passagers vers la Grande-île est interdit. Une décision qui fait suite aux annonces du Président de la République en fin de semaine dernière, concernant les restrictions aux frontières imposées aux passagers en provenance des pays subissant une seconde vague de l’épidémie de la Covid-19. Sont ainsi concernés par cette mesure de l’ACM, l’Allemagne, la Belgique, l’Espagne, la France, l’Italie, les Pays-Bas, la Pologne, le Royaume- Uni, la Russie et l’Ukraine.
Ces pays figurent notamment dans une liste établie par le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) recensant les pays où l’on assiste à un grand rebond épidémique du coronavirus. Une liste rouge où figure notamment la France, l’Espagne, la Pologne ou encore le Royaume-Uni. Les informations partagées par les médias internationaux indiquent par exemple qu’un couvre-feu s’applique en Belgique, en France et en Slovénie, le reconfinement a été d’ordre en Irlande et au Pays de Galles. De nouvelles restrictions s’annoncent en Italie. Suivant les critères établis par l’Organisation mondiale de la santé, ces Etats sont donc à un stade où le virus circule sur l’ensemble de leur territoire et que leurs activités collectives sont fortement impactées voire restreintes. 
Statistiquement parlant, Madagascar demeure actuellement une destination touristique sécurisée. Dans l’objectif de rompre les chaines de contamination, le Gouvernement se devait soit d’établir des mesures de sécurité sanitaire de haut niveau soit d’interdire aux passagers en provenance de ces pays à risques de franchir les frontières de la Grande-île. « Le virus sera hors de contrôle si les pays africains continuent à s'ouvrir sans que des systèmes d'intervention et de protection adéquats soient mis en place », a alerté le directeur régional de l'OMS pour l'Afrique, Matshidiso Moeti. Certes, des opérateurs malagasy ont déjà participé aux formations et ont même signé une charte les engageant à respecter les protocoles, toutefois le danger peut surgir à tout moment. Même avec l’application des gestes barrières spécifiques au tourisme dans les chambres et espaces communs, le déplacement des touristes venant de ces pays peut être risqué. En Algérie par exemple, une tendance à la baisse des nouveaux cas de contamination est aussi observée. Par contre, la décision de l'ouverture des frontières est reportée jusqu'à la fin de la pandémie
Il est à noter que le virus Covid-19 a touché hier 41 555 291 cas confirmés et a fait au total 1 144 049 morts dans le monde entier.  A Madagascar, le bilan datant de samedi dernier n’a plus indiqué que 357 patients en cours de traitement. 
K.R.

Expulsé de son terrain depuis 2015, René Randriakoto, le père Lova Renée - la jeune fille star des réseaux sociaux - a fait le déplacement dans la Capitale pour dénoncer une pratique malsaine dont plusieurs malagasy sont victimes dans toute l'île. Selon ses dires, la famille Réné a déjà occupé depuis 1975 la villa lot E 0 43 dans la parcelle 11/47, sise à Mangarano II Toamasina. Soudain, en 2011 des inconnus ont débarqué pour faire le bornage dans leur terrain, et c'est là que le cauchemar commence pour cette famille.

L'affaire a démarré en août 2019 à Imerintsiatosika.  Des aviculteurs locaux ont été arnaqués à hauteur de 400 millions d'ariary, soit le prix de plus de 10 000 unités de poulets de chair. A l'index : l'épouse d'un colonel en exercice ! Chaque fois qu'elle le voulait, elle a réussi à commander puis obtenir ces quantités de marchandises auprès de ces pauvres éleveurs, en prétendant agir au nom de la Présidence de la République, mais aussi de la Primature, sous prétexte d'approvisionner le Palais d'Iavoloha, sinon la Primature, et enfin pour les besoins des militaires basés à travers le pays . Pour mieux les convaincre, la femme de l'officier se les jouait par le sentiment en mentionnant aussi la mère du Chef de l'Etat en exercice. Or, ce qui était loin d'être le cas. Car ces deux plus grandes institutions n'ont jamais formulé une quelconque commande de poulets de chair. N'en parlons donc pas de l'Armée.

 

A l'issue du premier appel, le centre d'examen du baccalauréat au Lycée moderne Ampefiloha (LMA) n'a enregistré que 48 candidats absents sur 1 602 inscrits. Hier, c'est-à-dire après 5 épreuves écrites passées, le chiffre émis par Manjato Rasamimanana Eddy, chef de centre, a pourtant augmenté. Hier, ledit centre a recensé 24 futurs bacheliers qui ont abandonné les épreuves, ce qui fait un total de 72 candidats qui vont certainement échouer à cet examen officiel. En tenant compte des précédents examens, cet effectif pourrait encore évoluer jusqu'à cet après-midi, lors de la dernière épreuve à traiter.

 

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  • Visite d’Etat - Madagascar et la France scellent six accords
  • Commission mixte sur les îles Eparses - Un second rendez-vous le 30 juin prochain à Paris 
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Editorial

  • Royalement !  
    Tapis rouge avec les honneurs à l’aéroport international Ravinala Airports à Ivato ! Tapis rouge avec le summum de la préséance protocolaire au Palais d’Etat d’Iavoloha. Le Chef de l’Etat français Emmanuel Macron et son épouse, en visite d’Etat sur le sol malagasy, ont été reçus royalement par le pas-tout entier. Le couple présidentiel français a été accueilli à l’aéroport par Premier ministre, chef de Gouvernement, Ntsay Christian. Immédiatement, le cortège présidentiel se dirige vers le Palais d’Etat d’Iavoloha où le Maître des céans Rajoelina Andry Nirina et son épouse l’attend.

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