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Même la plus belle chose à une fin. Et comme l'aventure des Barea à la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) 2019 en est une, elle s'est pourtant achevée en quart de finale. Les 120 minutes en huitième de finale contre la RD Congo ont impacté physiquement les Barea face à la Tunisie. Ils se sont finalement avoués vaincus sur un score un peu sévère, disons-le, 3-0. Des réalisations tunisiennes acquises à la 51e, 60e et 91e minute suite à des erreurs dues certainement à la fatigue entraînant dès fois des relâchements payés chers au final. C'est le cas notamment du 2e but qui a pris racine sur une perte de balle au milieu de terrain.

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LA UNE DU 12 JUILLET 2019

Une grande première pour la Grande Ile et l’équipe nationale malagasy. Tout le monde est derrière les Barea qui se sont battus pour arriver à ce stade de la Coupe d’Afrique des nations de football (CAN) 2019. En effet, beaucoup de lieu ont accueilli les fans malagasy pour regarder le match qui a fait face l’équipe malagasy à celle de la Tunisie,  les Aigles de Carthage. A part celui d’Anosy et d’Analakely et bien-sûr les autres lieux dans les lounges et karaoké, deux grands fans zone ORTM ont été installés par le groupe FILATEX notamment à Ankadimbahoaka et à Talatamaty.

Un ouf de soulagement pour la plupart des parents. Ces derniers se sont montrés réticents quant à la suppression de l’examen du CEPE (Certificat d’études primaires élémentaires), prévue dans le cadre de la mise en œuvre du Plan sectoriel de l’éducation (PSE). « L’examen officiel du CEPE sera maintenu, malgré la mise en œuvre du PSE », souligne le Pr Félicitée Rejo- Fienena, ministre par intérim de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle (MENETFP). C’était hier au Carlton Anosy, en marge de l’ouverture de la revue sectorielle conjointe du démarrage du PSE.

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Et la vie continue

Le temps semble s’arrêter ! Loin s’en faut. Imperturbable, l’eau coule paisiblement sous le pont. La terre tourne de même la gravitation universelle autour du soleil. Bref, la vie continue ! Tellement, les prouesses inespérées de nos jeunes talents des Barea nous obnubilent et nous propulsent dans le monde de l’euphorie parfois de l’irréel  que les réalités ici-bas semblent nous échapper et les frontières de l’impossible n’existent plus.  Nos jeunes et vaillants « zébus » nous montraient qu’aucun obstacle ne puisse entraver celui qui a la foi ferme en la réussite.

 

Des prévisions encourageantes. La saison touristique s’annonce très bien pour Madagascar. Effectivement, selon une étude réalisée par ForwardKeys, la Grande île est en bonne place pour vivre un boom touristique pour cette année. « Chaque jour, nous analysons plus de 17 millions de réservations. Et au cours de notre étude, il a été constaté que les arrivées à Madagascar en 2018 ont augmenté de 8% par rapport à l'année précédente et de 19% au cours des cinq premiers mois de 2019 » précise Olivier Ponti, de VP Insights, chez ForwardKeys.

Victime de faux et usage de faux. « On m’a retiré mon autorité parentale basée sur une soi-disant violence conjugale qui n’a jamais eu lieu ni prouvé et été commise par ma personne sur mon ex- épouse ainsi que sur un constat d’adultère qui a été annulé car sans fondement effectué après le jugement du divorce et non frappé d’appel avec la grosse bien signifiée, sans enquête approfondie ni ma présence. » Tel est le récit d’un père, un étranger, en butte avec une saga judiciaire enclenchée par son ex- épouse, une Malagasy. Sans hésitation, il relate les faits.

 

En deux jours seulement, les limiers du commissariat central d'Antsirabe ont pu arrêter quatre passeurs supposés qui ont transporté vers la Capitale plus de 26 kg de drogue au total sur la RN7. Le premier coup de filet date le lundi 8 juillet dernier. Là, c'était d'abord deux présumés passeurs venant d'Ihosy en taxi-brousse,  étaient surpris avec 9 kg de substance narcotique dans leur bagage à main, précisément dans une sacoche.

 

 Ce soir, l’équipe malagasy Barea fera face à celle de la Tunisie, les Aigles de Carthage, en quarts de finale. Un grand événement que le peuple malagasy tout entier attend avec impatience dont le premier sifflet annonçant le coup d’envoi tout comme celui de la fin du match et désignera le vainqueur. Qui continuera l’aventure ?  Les 25 millions de malagasy résidents dans la Grande île et la diaspora espèrent en tout cas que les Barea de Madagascar arrivent à la phase finale de la compétition de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2019. Joie, pleurs et colère seront au programme ce soir et un petit conseil : faites attention à vos émotions ! Effectivement, la CAN n’a pas fait que des heureux, la compétition a causé également du malheur…malheureusement, plusieurs personnes sont mortes  à cause d’émotions fortes dues à la victoire de l’équipe nationale malagasy. Le plus connu est l’ancien député de Madagascar, Harijaona Randriarimalala alias Jaona Elite qui a tiré sa révérence alors qu’il regardait le match à l’Akoor Digue. Victime d’un arrêt cardiaque, l’intervention des médecins n’a pas pu le sauver. Apparemment, d’autres victimes ont également rejoint les firmaments, toujours à l’issue du match qui mettait à l’affiche les Barea et la République Démocratique du Congo.
L’Hypertension
 Des explications peuvent expliquer la liaison entre l’émotion et l’arrêt cardiaque. En effet, la gestion de l’émotion dépend de chaque individu. L’hypertension, une pathologie cardiovasculaire définie par une pression artérielle trop élevée est une maladie psychosomatique. Cela signifie que des facteurs physiques sont impliqués dans son apparition, tout comme des facteurs mentaux. Cela explique que la relation entre et hypertension est possible. L’hypertension se caractérise par une augmentation de la pression qui pousse le sang contre les parois des artères, au-delà des limites considérées comme normales.

Le Conseil d’Etat a tranché. Le chantier de construction « illicite » à Alarobia appartenant à un actuel député affirmant être très proche du régime actuel doit être fermé.  Pour comprendre l’histoire il faut remonter à la mi-avril dernier. La Police de l’Aménagement du territoire avait constaté une construction illicite à Alarobia, sur un terrain ayant appartenu  au ministère des Travaux publics d’avant. Le rapport de descente établi le 30 avril 2019 mentionne la constatation d’une construction « sans permis de construire dans l’enceinte dudit terrain ». De ce fait, il a été établi l’arrêté 036 – 2019 du 30 avril 2019 portant arrêt des travaux du chantier de la Construction à Alarobia pour cause d’infraction. « La décision d’arrêt de travaux est justifiée la constatation de construction illicite pour défaut de permis de construire. L’obtention du permis de construire a été refusée par la Commune urbaine d’Antananarivo car le terrain n’appartient pas à l’initiateur de la construction. Ledit terrain selon le dernier Certificat de situation juridique émis par les services des Domaines appartient à la Société GOTAM SIC », précise une voix autorisée.  Suite à la non-observation de cet arrêté, le ministère de l’Aménagement du territoire, de l’habitat et des travaux publics a établi un nouvel arrêté, 11 251/2019 du 03 juin 2019, portant fermeture et scellage du chantier la construction à Alarobia, Commune Urbaine, selon les explications.

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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