Publié dans Sport

Football - Ligue des Champions - La fin n’est pas encore proche pour Jérémy Morel

Publié le vendredi, 08 mai 2020


 « On n’est pas encore en Ligue des champions. On a une chance de pouvoir y aller mais il va falloir travailler très dur pour espérer rejoindre la phase de groupe, si on doit le faire sur le terrain. Cette saison particulière rend la prochaine incertaine car on sait qu’on est qualifiés pour la phase de groupe de la Ligue des champions mais on doit passer par les tours qualificatifs. Là, on devra attendre fin août. On partira donc avec un budget « Europa League ». A nous d’aller chercher le bonus sur le terrain mais ça veut dire qu’on ne pourra pas constituer non plus avec un budget « Ligue des champions » car c’est très incertain », déclare Nicolas Holveck, dirigeant du stade Rennais, club de l’international malagasy Jérémy Morel. Ce dernier est en fin de contrant le mois de juin prochain. Après, il sera libre. Malgré cela, il ne compte pas encore prendre sa retraite. Loin de là. Pour l’avenir de Jérémy Morel, il souhaite toujours continuer avec les Rennais. Il doit attendre pour connaître la position du club et de ses dirigeants. Morel incarne la 63ème nationalité sportive dans l'histoire du Stade Rennais. Premier international malagasy par la même occasion.
Le 26 octobre 2018, Jérémy Morel annonce qu'il a décidé de donner suite à la proposition de sélection de Malagasy. En effet, le père de Jérémy Morel est né sur l'île, donnant le droit à Jérémy de prétendre à la sélection malagasy. Il disputait la Coupe d'Afrique des Nations 2019 avec la sélection insulaire, la première de son histoire.
Il honore sa première sélection avec Madagascar le 18 novembre 2018, lors d'un match sans enjeu des éliminatoires de la CAN 2019, contre le Soudan (défaite 3 buts à 1).
Il inscrit son premier but de la sélection lors de l'éliminatoire de la CAN 2021 face au Niger, match gagné 2-6 par les Barea lors de sa 7ème sélection. En fin de contrat avec le Stade Rennais, au mois de juin, Jérémy Morel annonce que la fin n’est pas encore proche pour lui. Il ne compte pas du tout ranger ses crampons si jamais son contrat n’est pas renouvelé. Et il compte  bien grappiller encore quelques sélections. Il ne mesure pas vraiment ce qu’il a apporté au football malagasy mais la jeunesse de la sélection tient encore de ses expériences. D’ailleurs, le plaisir avec la sélection est toujours intact pour l’international malagasy pourquoi donc arrêter ? Lui qui envisage encore disputer son dernier CAN en 2021.
E.F.








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Editorial

  • Désagrément séculaire
    Antananarivo, la ville basse, vit tous les ans les difficultés humainement gênantes dues aux caprices des eaux en période de pluie. En 1610, quand le Roi Andrianjaka, le demi-frère d’Andriatompokoindrindra, se décida de déménager le chef-lieu de son royaume d’Ambohimanga, à Analamanga, il ne comptait pas, à jamais d’ailleurs, s’installer sur la vaste plaine de Betsimitatatra mais il choisit le site d’une colline hautement perchée surplombant ladite plaine. Un choix délibéré et assumé ! Notons qu’Analamanga n’était pas un lieu inhabité. A son arrivée, des occupants s’y installaient déjà : les Vazimba. Ces derniers y vivaient paisiblement. Au moment où les guerriers – éclaireurs envoyés par le souverain d’Ambohimanga frappèrent à la porte, les Vazimba, premiers occupants de la Colline bleue n’ont pas déployé de la résistance. Ils obtinrent en revanche l’assurance de pouvoir se déménager à Antehiroka.

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